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POURQUOI MES COLLÈGUES NE SAVENT PAS QUE JE SUIS ÉCRIVAIN ?

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Aujourd’hui, je voulais mettre en lien mon activité en tant qu’auteur indépendant avec mon autre emploi, salarié, qui me permet de remplir le frigo… Car non, je ne vis pas encore de la vente de mes livres et je dois travailler à côté de cette activité ! Et tu sais quoi ? La plupart de mes collègues ne savent même pas que je suis écrivain. Étonnant, n’est-ce pas ?


1/ Je travaille en CDI à 35h pour une grande enseigne de sport

Si tu me suis depuis quelques temps déjà, tu n’es pas sans savoir que j’ai un emploi salarié à côté de mon activité d’auteur indépendant. Je te l’apprends peut-être, ceci dit : je travaille pour la plus grande enseigne de sport en France, celle-là même où tu vas très certainement t’équiper et équiper tes enfants lors de la rentrée ! Mais là n’est pas le propos… Si j’évoque mon emploi salarié, c’est avant tout pour te parler de mes collègues et du lien avec mon activité d’auteur indépendant. Depuis que je publie des livres en auto-édition, certains savent que j’écris des livres, d’autres n’en ont aucune idée. D’autant plus qu’il y a deux ans, j’ai changé de magasin, passant de la région parisienne à Bordeaux, ma ville d’enfance et de cœur. Mais pourquoi je te parle de tout cela aujourd’hui ?

2/ Comment ai-je fait connaître mon métier d’écrivain à mes collègues ?

Si j’évoque ce sujet, c’est parce que cette année, quand j’ai publié le roman « Les Anonymes », certains de mes collègues ont appris à ce moment-là que j’étais écrivain. Ils se sont mis à m’en parler, ce qui m’a amené à mettre mon roman en libre service dans la salle de pause… Pourquoi ai-je agi de la sorte ? Je me suis rendu compte que je suis très pudique et que j’ose rarement parler de cette activité autour de moi. Ce qui est un tort, quand on sait combien il est difficile de faire connaître ses livres quand on est indépendant ! Mais bon, un de mes collègues a pris le roman en libre service et l’a lu, s’inscrivant ensuite à ma newsletter et achetant mon tout premier livre. Mais il a fallu qu’il vienne vers moi pour qu’on parle de mon métier d’écrivain.

3/ Il faut que je m’affirme plus et que j’ose parler de mon métier d’écrivain

Cette expérience de vie m’a ensuite fait penser à une autre collègue, qui a travaillé chez nous pour la saison estivale. Au détour d’une discussion, pendant la pause repas, elle aussi s’est mise à me parler de mes livres, de l’écriture etc… Alors que je n’avais jamais évoqué le sujet avec elle ! Ce qui doit vouloir dire que mes collègues parlent de mon activité indépendante entre eux, alors que j’ose moi-même à peine affirmer que je suis auteur. Quelle bêtise… En bref, j’aimerais m’affirmer un peu plus, car je ne sais que trop bien qu’il faut en passer par là pour faire découvrir mes écrits au plus grand nombre. Même si mes Fidèles Lecteurs, ceux qui sont inscrits à ma newsletter, m’aident déjà beaucoup… Mais si je ne m’aide pas moi-même, jamais je n’y arriverai ! Qu’en penses-tu ?


Tu en sais désormais plus sur mon activité d’auteur indépendant, mon rapport avec mes collègues et surtout le fait que j’ai un emploi qui me permet de gagner ma vie. Si cet article te fait réagir, je t’encourage à me laisser un commentaire ou tu peux aussi m’envoyer un petit mail à ygiammona@hotmail.fr ! Le moindre petit mot de sympathie peut faire le plus grand bien, tu ne t’en rends pas compte… Quant à moi, je te laisse là-dessus et te dis à bientôt pour évoquer mon quotidien d’écrivain.

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ZÉRO POINTÉ, COMMENT RÉAGIR QUAND ON NE FAIT AUCUNE VENTE

Il y a des fois où… ça ne veut pas ! Il y a quelques jours, j’ai vécu une expérience franchement désagréable. C’était un samedi, lors d’une séance de dédicaces où je pensais pouvoir vendre quelques livres. Oui, mais voilà : j’ai attendu, je me suis ennuyé, j’ai fait chou blanc et la suite logique s’est imposée à moi. Depuis, je me pose tout un tas de questions, me demandant ce que j’ai fait de mal ou si je n’ai pas perdu mon temps pour rien. Vais-je obtenir toutes les réponses à mes interrogations ? Aucune idée, mais cela me fait du bien de partager ce que je ressens via un article…


Le constat : zéro pointé

Pour commencer, remettons les choses dans leur contexte. Samedi dernier, le 16 septembre, je suis allé faire une séance de dédicaces au centre culturel du Leclerc de Léognan, en Gironde. J’avais contacté la responsable, quelques mois auparavant, qui m’avait très gentiment répondu et invité à venir présenter mes deux derniers livres. Pour tout te dire, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. J’étais déjà allé dans un magasin Cultura, où j’avais eu une très bonne expérience, mais je n’avais jamais fait un centre culturel dans un Leclerc. J’avais vu des auteurs le faire sur les réseaux sociaux, et j’avais déjà vu, dans ce magasin où je fais mes courses, des auteurs exposer leurs ouvrages. Quand je suis arrivé, vers dix heures, c’était plutôt calme pour un samedi… mais cela ne laissait en aucun cas présager de ce qu’il s’est passé par la suite.

En effet, j’ai passé six heures de dédicaces à ne vendre aucun livre. Zéro pointé. Il faut dire qu’il y a relativement peu de passage dans ce centre culturel, situé dans un coin du Leclerc. Certes, à côté de l’entrée mais en décalé, ce qui fait que les gens filent tout droit faire leurs courses sans forcément voir qu’il y a là un auteur. Quelques personnes se sont arrêtées à mon stand et j’ai pu échanger avec elles. Mais trop peu. Et puis, leur but n’était pas d’acheter mes romans, mais plutôt de discuter, savoir ce que je faisais et se renseigner, également, sur l’auto-édition. Deux personnes ont vu que j’écrivais du thriller, un genre qui ne les attirait pas. Je ne peux pas leur en vouloir et comme je leur ai dit, il en faut pour tous les goûts. Un monsieur avait l’air plus intéressé, mais n’a rien acheté…

D’où ma question, qui tourne en boucle dans ma tête depuis quelques jours : était-ce le bon endroit pour faire une séance de dédicaces ?

L’analyse : le problème vient-il de moi ou du lieu ?

Depuis cette séance ratée, je me pose beaucoup de questions. Je me dis que le souci vient peut-être de moi. Depuis le Covid, j’ai perdu l’habitude de présenter mes livres lors de salons ou de séances comme celle-ci. Si je disais bonjour aux gens, j’ai eu beaucoup de mal à aller vers eux ou à leur dire une phrase d’accroche du genre « vous auriez deux minutes pour que je vous présente mon travail ? » Si j’avais été capable de capter l’attention de quelques personnes, peut-être ne serais-je pas parti bredouille. La deuxième réflexion que j’ai eue concerne les couvertures de mes livres : peut-être qu’elles n’attirent pas assez le regard ou ne disent pas clairement ce à quoi le lecteur doit s’attendre. Pour « Le Bébé de Francesca », je me dis que la couverture annonce bien la couleur. Mais concernant « Les Anonymes » ? Probablement pas…

Autre réflexion : le lieu n’était pas idéal. Comme je l’ai dit, ce centre culturel se trouve dans un coin du Leclerc, avec les livres qui ne sont pas visibles depuis le sas d’entrée. Voilà pourquoi mon stand a été avancé, mais finalement je me retrouvais à côté des câbles USB et chargeurs de téléphone. Pourquoi ne m’ont-ils pas mis au milieu des ouvrages, pour attirer l’œil des clients venant chercher des livres ? En parlant de cela, des gens qui viennent dans le but d’acheter un livre à Leclerc, il y en a finalement peu. Il s’agit d’un supermarché, et un samedi les gens viennent plutôt faire leurs courses que dépenser leur argent dans l’achat d’un livre. Quoiqu’il en soit, au terme de cette réflexion, je me dis que tous les facteurs que je viens d’évoquer n’ont pas aidé. C’est un tout qui a mené à ce zéro pointé.

Conclusion : ne pas rester sur un échec

Finalement, cette mauvaise expérience va me permettre d’apprendre et de rebondir. Premièrement, je me dis que je ne dois plus aller faire de dédicaces à Leclerc, en tout cas plus celui-ci. Une dame m’a évoqué le Leclerc de Langon, dans le sud du département, qui a l’air plus accueillant et plus propice pour un auteur indépendant. Je tenterai peut-être ma chance, mais j’ai quand même eu de meilleures expériences dans des magasins Cultura, donc je vais en recontacter pour les fêtes de fin d’année pour voir s’ils ont des dates de disponible. Il y a aussi la Fnac, qui parfois reçoit des auteurs donc il faut que j’axe mes recherches sur ce type de magasin, qui vend plus de la culture qu’un supermarché.

Deuxièmement, il faut que je fasse plus de salons, comme je le faisais avant le Covid. Je me suis fait une liste de ceux que j’aimerais faire l’année prochaine, s’ils existent encore. Je vais faire du mailing pour rebondir et ne pas rester sur cet échec. Dans quelques semaines, je serai présent lors d’un salon du livre à Sainte-Hélène, en Gironde, près de Lacanau. Là, les gens qui viendront seront intéressés par les livres et la lecture. J’espère parvenir à prendre mon courage à deux mains pour attirer leur attention avec une simple question pour ensuite pouvoir leur parler de mes livres, de mon univers et des frissons que j’aime provoquer chez le lecteur. Quoiqu’il en soit, je ne compte pas rester sur cet échec et je vais tout faire pour repartir en salon et en séance de dédicaces, car c’est ce qui permet de rencontrer de potentiels nouveaux lecteurs.


Comme je viens de te le dire, j’ai envie de reprendre les salons plus régulièrement et de faire plus de séances de dédicaces. Quand on n’est pas connu, c’est le seul moyen de vendre des livres et de se faire connaître. Le Covid a tout stoppé, d’accord, mais il y a des gens qui se battent pour que tout reprenne. Et si les auteurs ne s’inscrivent pas, les salons ne pourront pas avoir lieu. À moi donc de me bouger, de rebondir après cet échec et de revenir plus fort pour faire connaître mes romans !

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ET SI ON PARTAIT À LA DÉCOUVERTE DE LA LIBRAIRIE DES AUTEURS INDÉPENDANTS ?

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Après une pause estivale bien méritée, je vais essayer d’écrire plus régulièrement des articles sur mon blog, afin de te partager ce qu’il se passe dans mon univers… enfin, on pourrait plutôt parler de microcosme, chacun son point de vue ! Si tu me suis sur les réseaux sociaux, tu as pu voir il y a quelques mois que mon dernier roman est en vente dans une librairie : la librairie des auteurs indépendants ! L’occasion pour moi de te la présenter, et de te parler de la personne qui fait vivre ce lieu unique de partage et d’évasion…


Cette librairie se situe dans la Creuse, à Evaux-les-Bains, et elle a été créée par une auteure ! Oui, tu as bien lu. Si tu ne la connais pas encore, il s’agit de Stéphanie Munch, qui offre un sanctuaire aux livres autoédités dans sa librairie : Le Coin des Indés. Âgée de 45 ans, Stéphanie est elle-même autrice auto-éditée, spécialisée dans le fantastique et l’horreur. Elle a eu envie de mettre en avant ses pairs, voilà pourquoi elle a créé cette librairie qui a ouvert ses portes le 22 avril dernier. Je n’ai pas encore eu la joie d’aller visiter sa petite boutique, mais j’ai pris contact avec Stéphanie pour y exposer mon dernier thriller, « Les Anonymes ». Et je dois t’avouer que je ne suis pas peu fier de voir mon livre dans une librairie, une grande première pour moi !

Tu es un auteur indépendant et tu ne connais pas encore Stéphanie Munch ? Il est temps de réparer ton erreur ! Si tu prends contact avec elle, après quelques questions, la lecture de quelques pages de ton livre et un échange cordial par mail, elle acceptera certainement que tu lui envoies ton roman. Qui de mieux, d’ailleurs, que Stéphanie elle-même pour parler de sa librairie ? Le 24 août dernier, une interview est parue sur le site de Sophie Lim Auteur, où la fondatrice de cette librairie donnait quelques détails sur le nombre d’auteurs qui étaient exposés chez elle : « À ce jour, la librairie compte une centaine d’auteurs, 129 références et un total de 350 livres en rayon. » Comme vous le voyez, Stéphanie ne fait pas de discrimination, tout le monde peut être accepté, le tout est de remplir les conditions requises !

Pour ce qui est du côté pratique, si tu habites du côté d’Evaux-les-Bains, voici les jours d’ouverture de la librairie de Stéphanie Munch : « La librairie est ouverte du lundi au vendredi, de 15h à 18h. Mais pour les jours spéciaux, comme le 15 Août, j’ouvre également le matin. » Enfin, si tu es toi aussi auteur indépendant et que tu souhaites prendre contact avec Stéphanie, voici ces fameuses conditions requises, dont je t’ai parlé, pour soumettre ton livre à la librairie : « Être autoédité, avoir corrigé son livre et m’envoyer des extraits par mail. Je suis ouverte à tous les genres et à tous les styles, mais le critère absolument essentiel, c’est d’être passé par la case correction. » Normal, on ne vend pas n’importe quel livre en librairie. En tout cas, on peut remercier Stéphanie pour son initiative, qui peut nous aider à nous faire connaître.


Voilà, maintenant tu en sais plus sur cette librairie réservée aux auteurs en auto-édition. Si tu veux en savoir plus, je t’invite à découvrir le compte Instagram de la librairie, où Stéphanie Munch publie régulièrement les nouveautés qu’elle expose et les événements qu’elle met en place. N’est-ce pas là une belle initiative ? Qu’en penses-tu ?

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À LA DÉCOUVERTE DES SECRETS DE FABRICATION DU ROMAN “LES ANONYMES”

Cela fait bientôt un mois que mon dernier roman, « Les Anonymes », est disponible sur Amazon et sur ma boutique en ligne. Ce qui m’a donné envie de t’en parler d’une façon quelque peu différente. En effet, j’ai eu envie de te dévoiler quelques secrets autour de la fabrication de ce livre, notamment en ce qui concerne son écriture. Mais je vais aussi te parler des personnes qui y ont contribué, ainsi que des choix que j’ai effectués pour construire la couverture. Suis-moi, je t’ouvre une porte d’accès vers mes secrets les plus profonds…


La genèse du projet : d’où m’est venu cette idée ?

Et si je te disais d’abord comment m’est venue cette idée d’écrire une histoire qui tourne autour d’une société secrète de tueurs en série ? Je te dévoile tout ! En fait, je me suis dit que tout le monde connaissait les Alcooliques Anonymes et que ce serait une bonne idée de transposer leurs activités en créant des réunions de tueurs en série, un peu sur le même modèle. Par conséquent, la phrase d’accroche du roman m’est venue pendant son écriture : “Et si une société secrète de tueurs en série existait, à quoi ressemblerait-elle ?” Je tente de répondre à cette question et pour m’y aider, plusieurs symboles sont venus s’ajouter, comme le masque de Guy Fawkes qui fait penser au groupuscule Anonymous. Car l’organisation dont je parle est un savant mélange des Alccoliques Anonymes et des Anonymous, si tu ne l’avais pas encore compris.

L’écriture du premier jet

Pour ce qui est de l’écriture de ce roman, je l’ai démarré en décembre 2021. Je dois rappeler ici que ma fille était née à peine deux mois auparavant, donc ma disponibilité pour écrire était assez inconstante. Voilà pourquoi l’écriture du premier jet a été un peu plus longue que pour mes deux premiers romans, puisque j’ai terminé de l’écrire au début du mois d’avril 2022. Soit environ quatre mois de travail, alors que je pense être capable d’écrire un premier jet en trois mois en temps normal. Quoiqu’il en soit, j’ai mis un peu plus d’un trimestre, ce qui a décalé ensuite tout mon planning. Au départ, je souhaitais publier ce livre à la fin de l’année 2022, mais quand j’ai travaillé sur le deuxième, puis le troisième jet, je me suis résolu à ne le publier que lors du premier trimestre de l’année 2023.

Bêta-Lecture et Corrections

En ce qui concerne cette partie-là, c’est surtout l’occasion de remercier une fois de plus deux personnes qui ont largement contribué à l’écriture de ce roman. Il y a tout d’abord eu Céline Spreux, qui écrit elle-même des livres et s’est occupée de la bêta-lecture. Elle a été très professionnelle et s’est investie à fond dans sa tâche. Elle m’a donné des conseils pour améliorer mon premier jet, en me disant ce qui allait et ce qui n’allait pas dans mon intrigue sans me ménager. Elle avait un œil extérieur et ce qu’elle m’a conseillé, je l’ai suivi à 95%. La deuxième personne se nomme Loli Artésia, encore une auteure, qui s’est occupée de la correction orthographique. Je la remercie également pour son professionnalisme, mais aussi pour ses remarques remplies d’humour ! D’autant plus que la plupart du temps, elles étaient pertinentes et m’ont aidé dans ce processus d’écriture.

Les différents choix pour la couverture

Enfin, parlons de cette couverture. Premier point : non, ce n’est pas moi sur la photo qui la compose ! Ça pourrait, bien entendu, mais désolé de te décevoir… On m’avait d’ailleurs déjà demandé cela pour mon premier roman et je me demande pourquoi les gens pensent que je me mets en scène sur les couvertures de mes romans ! En réalité, j’ai pris une photo libre de droit, comme à chaque fois que je publie un livre, pour composer sa couverture. Je te rappelle d’ailleurs, si tu ne le sais pas encore, que c’est moi qui l’ai réalisée, suite à un contretemps avec une graphiste qui réalisait avant les couvertures de mes livres. Bref, je suis tout de même content du résultat, car je trouve que j’ai bien travaillé le graphisme du titre pour qu’il se marie bien avec l’image utilisée.


Maintenant que tu en sais un peu plus sur les secrets de fabrication du roman « Les Anonymes », j’espère que cela te donnera encore plus envie de le découvrir ! Pour cela, tu peux le commander au format papier sur ma boutique en ligne, je me ferai un plaisir d’y ajouter un marque-page (offert) et une dédicace avec ma plus belle plume.

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CHAT GPT, L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE QUI VA REMPLACER LES AUTEURS ?

Cher Lecteur, voici un nouvel article (ça faisait longtemps) ! Parfois, je cherche pendant des heures et des heures un sujet à traiter, qui me semble intéressant à la fois pour moi mais aussi (et surtout) pour toi. D’autres fois, comme cela a été le cas ce week-end, il me tombe dessus et me donne envie de le partager avec toi à travers un billet de blog. Nous allons donc tenter de répondre à la question suivante : Chat GPT, l’intelligence artificielle va-t-elle remplacer les auteurs ?


Chat GPT, qu’est-ce que c’est ?

Pour commencer, je vais t’expliquer ce qu’est Chat GPT. Tu n’en as peut-être pas encore entendu parler, même si cela m’étonnerait beaucoup ! Seul un ermite perdu au fin fond des Pyrénées ne sait pas encore ce qu’est Chat GPT. Pour faire simple et ne pas trop rentrer dans des explications techniques (qui ne m’intéressent pas du tout, soit dit en passant…), Chat GPT c’est une nouvelle intelligence artificielle qui peut comprendre et répondre à des questions en utilisant le langage naturel. En gros, Chat GPT répond à vos requêtes, traite ensuite votre demande et y répond en fonction des informations dont elle dispose. Il est important de savoir que Chat GPT ne va pas piocher ses informations sur le net en temps réel. En effet, sa base de données ne contient que des informations antérieures à 2019, ce qui peut poser problème lorsque la recherche concerne des événements plus récents.

Par conséquent, parmi les nombreuses tâches que peut accomplir Chat GPT, il y a la rédaction de contenu. Et c’est ce qui nous intéresse, nous auteurs ! En effet, l’intelligence artificielle peut générer du texte pour des articles de presse et de fiction, réaliser des résumés de documents ou d’articles plus longs, générer des idées d’articles, des titres voire même des paragraphes de textes de fiction ou de non-fiction. Quand on lit cela, on peut prendre peur et se dire que ça y est, les ordinateurs et les robots vont remplacer les humains dans le domaine de l’écriture. Comme je comprends ta réaction ! Moi aussi, tout cela me fait peur. Mais – et c’est ce qui m’a donné envie d’écrire cet article – des auteurs comme Jérôme Vialleton, que je suis depuis quelques temps, préfèrent voir le verre à moitié plein. Car Chat GPT n’a pas que des avantages.

Est-ce la fin des auteurs ? Pas sûr…

Ce samedi, Jérôme Vialleton a publié une vidéo sur sa chaîne YouTube pour démontrer que Chat GPT pourrait remplacer les auteurs, sans pour autant produire des textes de qualité similaire qu’un être humain. En effet, il s’est amusé à tester Chat GPT en lui demandant d’écrire des paragraphes de fiction. Pour plus de détails, je t’invite à regarder la vidéo de Jérôme, que je te partage ci-dessous. Le premier test concernait l’écriture du synopsis d’un roman. Résultat ? Comme le décrit si bien Jérôme, Chat GPT a pu écrire un texte qui tient la route, mais comme il se base sur des milliards de données déjà écrites, il ne peut rien inventer de lui-même. Il parvient très bien à rassembler les informations dont il dispose ; cependant, Chat GPT ne pourra jamais faire preuve d’esprit créatif. Ce que nous, les êtres humains, sommes capables de faire !

Le test ne s’arrête pas là. Jérôme Vialleton a ensuite souhaité faire une recherche plus précise, en demandant à Chat GPT d’écrire un paragraphe dans lequel un personnage voit mourir son ami. Histoire de comparer cela à un texte qu’un auteur comme toi et moi pourrait écrire… Je t’encourage à regarder la vidéo vers 3’38 pour lire le texte produit par l’intelligence artificielle. Si tu as la flemme, pas de panique, je te parle tout de suite du résultat produit. On voit tout de suite que le texte écrit par Chat GPT manque de plusieurs choses : de l’émotion, des précisions et des métaphores. Par ailleurs, le vocabulaire utilisé semble pauvre et le texte est surtout explicatif. Les actions s’enchaînent simplement, sans qu’aucune émotion ne soit transmise au lecteur. Chat GPT ne propose que du factuel, donc il ne peut pas faire mieux qu’un auteur qui sait transmettre des émotions.

Conclusion : Chat GPT ne va pas nous remplacer (ouf !)

Comme on l’a vu dans le paragraphe précédent, Chat GPT n’écrit que des textes explicatifs, avec du factuel. Ce que la plupart des auteurs ne font pas. Je me mets dans le même sac que toi, qui lit cet article : quand on écrit une histoire, on souhaite transmettre une émotion. Ce point est primordial, car c’est justement ce que Chat GPT ne sait pas faire. En revanche, si tu écris des articles comme celui que tu es en train de lire ou si tu es journaliste, tu as peut-être un peu de souci à te faire, car Chat GPT est capable d’écrire des textes explicatifs au moins aussi bien que toi ! Mais pour ce qui est de l’analyse et des émotions, rien à craindre pour l’instant, nous sommes sauvés ! Jérôme insiste sur le « pour l’instant », car cela pourrait changer, ne l’oublions pas…


Comme tu le vois, on peut toutes et tous repartir travailler sur nos manuscrits car Chat GPT ne va pas prendre notre place. Mais on doit quand même prendre conscience que les gens qui créent ce genre d’intelligence artificielle, s’ils ont pu mettre sur pied Chat GPT, pourraient un jour créer un logiciel permettant d’écrire avec de l’émotion et de l’analyse. Nous ne sommes à l’abri de rien, donc à nous de continuer à travailler notre écriture pour montrer à ces inconscients qu’une machine ne pourra jamais remplacer un être humain.

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DÉCOUVREZ LE MEILLEUR CONSEIL D’ÉCRITURE QUE L’ON M’AIT JAMAIS DONNÉ

Dans ce nouvel article, je voulais partager avec toi une chose qui me paraît essentielle. Il s’agit d’un conseil que je m’efforce de suivre dans mon quotidien d’auteur indépendant. Certes, il tient dans une phrase. Cependant, je vais développer en t’expliquant quels principes j’essaie de suivre, qui découlent de cette phrase. De ce conseil qui parfois change la vie d’un écrivain en herbe. Même s’il n’est pas facile à suivre tout le temps, surtout quand on a une vie de famille à gérer.


Après avoir lu cette introduction, je suis sûr qu’il te tarde de savoir quel est ce fameux conseil qu’il m’a été donné de lire. Et que je suis depuis quelques temps maintenant, même si ce n’est pas toujours évident. Ce conseil, je pense que tous les écrivains devraient le suivre, bien que nous ne soyons pas tous pareils. Chacun a ses habitudes de travail et peut-être que certains auteurs aiment écrire avec de la musique, d’autre dans le calme complet. Quoiqu’il en soit, je reste convaincu que tout un chacun devrait suivre ce précepte. Alors, quel est-il ? Je crois que je t’ai assez fait attendre… Ce conseil, très simple, se résume en une phrase : pour rester concentré sur son travail, il vaut mieux se couper de toutes formes de distractions. C’est simple mais je vais te donner quelques détails pouvant aider à appliquer ce précepte au quotidien.

Ce précepte te paraît bateau ? C’est tout à fait normal : il l’est. Cependant, à l’heure des réseaux sociaux, des notifications à gogo et de la vie de famille pour certains auteurs – à gérer en même temps que leur métier d’écrivain – il est essentiel de l’avoir en tête. Le grand Stephen King lui-même en parlait dans son livre « Écriture : Mémoires d’un métier ». C’est là que j’ai lu ce conseil pour la première fois, avec une ligne directrice à suivre. Pour le maître de l’horreur, il suffit de se couper de tout et de s’enfermer dans son bureau pour ne pas être sujet aux distractions de la vie. Cela vaut surtout quand l’écrivain écrit le premier jet de son histoire. À cet instant, il doit se retrouver seul avec lui-même et ses idées. D’où le précepte, pour être efficace, de s’affranchir de toutes ces distractions.

Il y a une autre personne qui, récemment, m’a aidé dans l’application de ce conseil dont je te parle depuis le début. Il s’agit d’un auteur auto-édité, comme moi. Il s’appelle Jérôme Vialleton et publie des livres remplis de conseils pour les écrivains en herbe. Selon lui, à l’heure actuelle, il faudrait appliquer plusieurs préceptes pour pouvoir toujours suivre la même ligne directrice et se sentir efficace quand on écrit. Pour résumer, selon Jérôme, il faudrait couper toutes les notifications sur son ordinateur et son téléphone, mais aussi couper internet pour éviter les distractions. Pas facile dans la société actuelle. De plus, il faudrait se couper du monde extérieur, ce qui rejoint l’idée de Stephen King de s’enfermer dans son bureau. En somme, ce qu’il nous propose est simple : si on décide d’écrire pendant une heure, on ne fait que ça et on remet le reste à plus tard.


Je dois t’avouer qu’il n’est pas toujours facile d’appliquer tous ces bons conseils. Couper sa connexion internet, je suis d’accord mais parfois on en a besoin pour travailler. Éteindre son téléphone portable, pourquoi pas mais cela reste difficile de nos jours. Quoique le plus dur pour moi, depuis bientôt un an, c’est de travailler en ayant une vie de famille et un petit bébé à mes côtés. Mais le maître mot est de s’adapter, en permanence. Pour ne pas perdre l’objectif de vue : rester efficace dans mon travail d’auteur indépendant.

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UNE RENTRÉE LITTÉRAIRE ACTIVE : UNE NOUVELLE ET UN ROMAN EN PRÉPARATION

Bonjour à toi, Fidèle Lecteur ! Je sais, les vacances sont (déjà) terminées et c’est bien triste… Mais tu as quand même de quoi te réjouir : la plupart de tes auteurs préférés ont travaillé et ils ne sont pas restés complètement inactifs pendant l’été. Et je dois t’avouer une chose : je fais partie de ceux-là. Du coup, j’espère que si tu lis cet article, cela veut dire que je fais partie de ces écrivains dont tu raffoles ! Sans aller jusque-là, tu as peut-être lu un ou plusieurs de mes livres et tu attends la suite avec une petite pointe d’impatience… C’est permis de rêver, non ? Allez, trêve de galéjades, voici ce que je t’ai préparé pour une rentrée littéraire qui s’annonce active, de mon côté, d’ici la fin de l’année.


Un nouveau roman pour le mois de décembre

Tout d’abord, je vais te parler d’un projet qui devrait voir le jour au mois de décembre, si tout va bien : mon prochain roman ! J’avais peur d’être en retard par rapport à mon planning annuel, mais j’ai bien avancé durant l’été. Tout d’abord, j’ai passé plusieurs semaines à corriger mon manuscrit, à ajouter des éléments et à en enlever d’autres. Cependant, depuis bientôt trois semaines, il est parti en bêta-lecture ! Je t’avais d’ailleurs partagé cette information via mes différents réseaux, le 16 août dernier pour être précis. Tu l’as probablement vu passer… Dès qu’il sera revenu, je te dirai si j’ai beaucoup de travail pour parfaire ce futur roman, dont j’ai déjà le titre (même s’il n’est peut-être pas encore définitif). Ensuite, il y aura une autre étape primordiale à effectuer : la correction professionnelle, mais ça aussi je t’en reparlerai en temps voulu !

Si j’ai déjà ce qui sera probablement le titre de ce troisième roman, j’ai tout de même de quoi m’occuper en attendant le retour de bêta-lecture. Tout d’abord, je vais devoir réfléchir à la couverture et contacter la graphiste qui confectionne celles de mes livres depuis cinq ans. J’accorde beaucoup d’importance à cette étape, puisque c’est ce que tu verras en premier de mon nouveau livre. D’ailleurs, je ferai peut-être divers essais et te demanderai ton aide pour choisir. Et puis, il y a la partie marketing, qui se prépare plusieurs mois à l’avance. J’ai déjà une phrase d’accroche, que tu as dû voir passer ici ou là… Par ailleurs, je dois rédiger une quatrième de couverture et préparer mon plan marketing pour le jour J. Comme tu le vois, je ne risque pas m’ennuyer jusqu’au mois de décembre, en espérant ne pas prendre de retard !

Le retour de la newsletter pour une rentrée active

Si tu es abonné à ma newsletter, tu n’as reçu aucun mail durant les deux mois d’été. En effet, j’ai décidé de faire une pause pendant les vacances. Pourquoi ? J’avais besoin de trouver de nouvelles idées pour tenter de t’intéresser à mon quotidien d’auteur indépendant. Sois rassuré : je suis prêt à reprendre le rythme d’un mail par semaine, qui te sera envoyé tous les lundis ! Si tu es déjà abonné, tu as l’habitude de ce que j’y raconte. Je te parle de mon quotidien, bien sûr, mais aussi de tout ce qui tourne autour de mon travail d’auteur. J’évoque également mes doutes et mes réussites. Et, si tu veux en avant-première toutes les exclus concernant mes livres, c’est sur la newsletter que cela se passe. Alors, si ce n’est déjà fait, qu’attends-tu pour t’abonner ?

En plus, si tu rejoins ma petite communauté, tu recevras plusieurs cadeaux lors de ton inscription. En effet, je t’enverrai une nouvelle inédite (pour les gourmands de thriller), une nouvelle extraite de mon dernier recueil (publié en février 2021) et un code promo à utiliser sur ma boutique (si ma plume t’a plu…). Si avec ça je ne te donne pas envie de rejoindre les autres personnes qui sont déjà abonnées, je ne sais plus quoi faire ! Si tu es ici, tu as déjà vu la fenêtre pop-up qui te permet de t’inscrire. Cependant, comme on le fait tous très souvent, tu as peut-être cliqué sur la petite croix en haut à gauche. Je t’invite donc à te rendre ICI si désormais tu souhaites rejoindre ma newsletter.

La surprise du chef : une nouvelle à 0,99 € !

Celle-là, je pense que tu ne t’y attendais pas ! En effet, si j’ai passé mon été à travailler sur mon prochain roman, je t’ai également préparé une surprise… de taille ! Tu veux savoir de quoi il s’agit ? Il faut d’abord que tu saches que les abonnés à ma newsletter ont déjà eu cette information il y a une bonne semaine. Tu sais donc ce qu’il te reste à faire si tu veux toi aussi avoir des exclusivités avant les autres… Quant à la surprise, je ne vais pas te faire languir plus longtemps. Il s’agit d’une nouvelle, que je publierai uniquement au format numérique, sur Amazon et sur Kobo au tarif unique de 99 centimes. Oui, je sais : ce n’est pas cher du tout ! En même temps, cette nouvelle ne fera que quelques pages, il ne faut pas exagérer non plus.

Et ce n’est pas tout. Ainsi, cette nouvelle sera publiée le 17 septembre prochain – jour de mon anniversaire, si ça t’intéresse. Et je te dis cela sans arrière-pensée… Bref, il s’agira en fait du premier volume d’une série qui sortira tous les mois, au moins jusqu’à la fin de l’année. Chaque volume sera au même prix de 99 centimes et quand vous aurez acheté et lu chacun de ces volumes, vous aurez la nouvelle complète, avec son dénouement final. Alors, ça ne vous donne pas envie d’en savoir plus ? Dans les douze prochains jours, je vous révélerai le titre et la couverture du premier volume de la série, en attendant le lien pour l’acquérir sur Amazon ou sur Kobo. Je t’avais prévenu : c’est la surprise de la rentrée !

Et toujours des articles réguliers sur ce blog

Enfin, en cette rentrée 2022 – après quelques mois de pause –, je vais reprendre de l’activité sur ce site. Ainsi, je publierai des articles, deux fois par mois, que je partagerai sur les réseaux sociaux. Tu pourras les retrouver, comme d’habitude, dans la section blog de mon site. Je t’invite d’ailleurs à t’abonner à ce blog si tu veux être sûr de ne louper aucun article. Les sujets de ces articles porteront tout d’abord sur mes projets à venir, comme je le fais régulièrement. Cependant, je continuerai à écrire des chroniques des livres que j’ai lus (à partager tout autour de vous). La première, dans environ quinze jours, sera sur le dernier roman de Cédric Sire que je viens de terminer. Pour finir, j’écrirai également des articles de fond sur mon genre de prédilection : le thriller et l’horreur. Pas mal, non ?


Comme tu peux le voir, la rentrée va être active pour moi. J’ai pas mal travaillé durant l’été et entre la nouvelle en différents volumes et mon prochain roman, tu vas entendre parler de moi d’ici la fin de l’année ! Bien entendu, il ne sera peut-être pas évident de tenir le rythme. Je te rappelle que j’ai un travail salarié à côté de mon activité d’auteur indépendant et que j’ai aussi une famille dont je dois m’occuper. Cependant, le roman est presque terminé et je ne me fais pas de souci pour la série de nouvelles, qui devrait trouver son public. Rendez-vous est donc pris pour le début d’année prochaine, afin de faire le bilan de tous ces projets !

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POURQUOI JE PRÉFÈRE ÉCRIRE QUE CORRIGER MES ROMANS ?

Tu te demandes peut-être quelles sont les différentes phases par lesquelles passe un auteur quand il construit un de ses romans. Les principales sont l’écriture du premier jet, suivi de plusieurs phases de relecture/correction, puis de l’envoi en bêta-lecture, qui engendre souvent des recorrections. Dans cet article, je vais partager mon expérience et t’expliquer pourquoi je suis plus à l’aise à écrire le premier jet d’un roman qu’à travailler sur sa correction.


Les différentes phases de l’écriture d’un roman

Comme tous les auteurs, cela me prend plusieurs mois pour écrire un livre. Je dois passer par plusieurs étapes incontournables pour te proposer un produit final qui tienne la route. Il y a d’abord une phase de préparation, où on met l’intrigue et les personnages en place. Vient ensuite l’écriture du premier jet, qui ne doit pas être trop longue. Je suis convaincu que l’on doit laisser court à son imagination, sans se soucier de l’orthographe ni des incohérences qui se glissent dans le texte. En effet, la construction de l’histoire que l’on veut raconter doit être plus importante que ces éléments techniques. Parce qu’on va y retoucher lors de la phase suivante, celle que je vais détailler dans la suite de cet article : les corrections et les différentes réécritures de notre texte. D’ailleurs, je ne suis pas un grand fan de cette phase. Je vais t’expliquer pourquoi.

Relire, corriger et réécrire son premier jet

Si j’ai choisi de te parler de cette phase plus en détail, à cet instant précis, c’est que je suis en plein dedans. En effet, je travaille actuellement sur mon prochain roman. J’ai terminé l’écriture du premier jet et me suis lancé dans la relecture et les premières corrections. Il s’agit de relever les traits physiques et le caractère des personnages que j’ai construits. Par ailleurs, je fais attention à toutes les autres incohérences qui auraient pu se glisser, concernant la temporalité, les lieux décrits etc… Enfin, je corrige les premières fautes d’orthographe, de grammaire et de typologie que je peux relever. En terme d’organisation, j’aime bien imprimer mon manuscrit, le corriger sur papier au stylo rouge (j’ai été prof, que veux-tu !) et enfin appliquer ces corrections sur mon fichier Word. Puis je fais un tableau des personnages et un autre pour détailler les différentes scènes de mes chapitres.

Pourquoi je préfère écrire que corriger mes romans ?

Je dois t’avouer une chose : je ne suis pas un grand fan de cette phase de relecture/corrections. En fait, je préfère largement écrire le premier jet, en laissant les idées sortir de mon imagination, que relire plusieurs fois mon manuscrit pour aller à la pêche aux incohérences, aux fautes et aux éléments qui ne vont pas dans l’histoire que je raconte. J’écris actuellement mon troisième roman, qui sera mon sixième livre. J’ai écrit pas mal de nouvelles et également une novella, qui est toujours disponible. À chaque fois, quand je suis dans cette phase de corrections, je trouve que j’ai du mal à avancer et je prends moins de plaisir. Cependant, cette phase est ô combien essentielle, sinon je vous livrerai un produit fini truffé d’incohérences et de fautes. Je dois donc prendre mon mal en patience, retrousser mes manches et me mettre au travail !


Le but de cet article était de te parler de mon ressenti par rapport à mon travail d’auteur. Tu auras compris que je te donne aussi un petit indice sur ce qui va arriver d’ici la fin de l’année : un nouveau roman. Si tu aimerais en découvrir plus et avoir des informations exclusives (que certaines de mes lecteurs les plus fidèles détiennent déjà), une solution existe : t’abonner à ma newsletter. Tu en apprendras plus sur moi, mon activité mais aussi ce futur roman qui sortira avant les fêtes de fin d’année…