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ZÉRO POINTÉ, COMMENT RÉAGIR QUAND ON NE FAIT AUCUNE VENTE

Il y a des fois où… ça ne veut pas ! Il y a quelques jours, j’ai vécu une expérience franchement désagréable. C’était un samedi, lors d’une séance de dédicaces où je pensais pouvoir vendre quelques livres. Oui, mais voilà : j’ai attendu, je me suis ennuyé, j’ai fait chou blanc et la suite logique s’est imposée à moi. Depuis, je me pose tout un tas de questions, me demandant ce que j’ai fait de mal ou si je n’ai pas perdu mon temps pour rien. Vais-je obtenir toutes les réponses à mes interrogations ? Aucune idée, mais cela me fait du bien de partager ce que je ressens via un article…


Le constat : zéro pointé

Pour commencer, remettons les choses dans leur contexte. Samedi dernier, le 16 septembre, je suis allé faire une séance de dédicaces au centre culturel du Leclerc de Léognan, en Gironde. J’avais contacté la responsable, quelques mois auparavant, qui m’avait très gentiment répondu et invité à venir présenter mes deux derniers livres. Pour tout te dire, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. J’étais déjà allé dans un magasin Cultura, où j’avais eu une très bonne expérience, mais je n’avais jamais fait un centre culturel dans un Leclerc. J’avais vu des auteurs le faire sur les réseaux sociaux, et j’avais déjà vu, dans ce magasin où je fais mes courses, des auteurs exposer leurs ouvrages. Quand je suis arrivé, vers dix heures, c’était plutôt calme pour un samedi… mais cela ne laissait en aucun cas présager de ce qu’il s’est passé par la suite.

En effet, j’ai passé six heures de dédicaces à ne vendre aucun livre. Zéro pointé. Il faut dire qu’il y a relativement peu de passage dans ce centre culturel, situé dans un coin du Leclerc. Certes, à côté de l’entrée mais en décalé, ce qui fait que les gens filent tout droit faire leurs courses sans forcément voir qu’il y a là un auteur. Quelques personnes se sont arrêtées à mon stand et j’ai pu échanger avec elles. Mais trop peu. Et puis, leur but n’était pas d’acheter mes romans, mais plutôt de discuter, savoir ce que je faisais et se renseigner, également, sur l’auto-édition. Deux personnes ont vu que j’écrivais du thriller, un genre qui ne les attirait pas. Je ne peux pas leur en vouloir et comme je leur ai dit, il en faut pour tous les goûts. Un monsieur avait l’air plus intéressé, mais n’a rien acheté…

D’où ma question, qui tourne en boucle dans ma tête depuis quelques jours : était-ce le bon endroit pour faire une séance de dédicaces ?

L’analyse : le problème vient-il de moi ou du lieu ?

Depuis cette séance ratée, je me pose beaucoup de questions. Je me dis que le souci vient peut-être de moi. Depuis le Covid, j’ai perdu l’habitude de présenter mes livres lors de salons ou de séances comme celle-ci. Si je disais bonjour aux gens, j’ai eu beaucoup de mal à aller vers eux ou à leur dire une phrase d’accroche du genre « vous auriez deux minutes pour que je vous présente mon travail ? » Si j’avais été capable de capter l’attention de quelques personnes, peut-être ne serais-je pas parti bredouille. La deuxième réflexion que j’ai eue concerne les couvertures de mes livres : peut-être qu’elles n’attirent pas assez le regard ou ne disent pas clairement ce à quoi le lecteur doit s’attendre. Pour « Le Bébé de Francesca », je me dis que la couverture annonce bien la couleur. Mais concernant « Les Anonymes » ? Probablement pas…

Autre réflexion : le lieu n’était pas idéal. Comme je l’ai dit, ce centre culturel se trouve dans un coin du Leclerc, avec les livres qui ne sont pas visibles depuis le sas d’entrée. Voilà pourquoi mon stand a été avancé, mais finalement je me retrouvais à côté des câbles USB et chargeurs de téléphone. Pourquoi ne m’ont-ils pas mis au milieu des ouvrages, pour attirer l’œil des clients venant chercher des livres ? En parlant de cela, des gens qui viennent dans le but d’acheter un livre à Leclerc, il y en a finalement peu. Il s’agit d’un supermarché, et un samedi les gens viennent plutôt faire leurs courses que dépenser leur argent dans l’achat d’un livre. Quoiqu’il en soit, au terme de cette réflexion, je me dis que tous les facteurs que je viens d’évoquer n’ont pas aidé. C’est un tout qui a mené à ce zéro pointé.

Conclusion : ne pas rester sur un échec

Finalement, cette mauvaise expérience va me permettre d’apprendre et de rebondir. Premièrement, je me dis que je ne dois plus aller faire de dédicaces à Leclerc, en tout cas plus celui-ci. Une dame m’a évoqué le Leclerc de Langon, dans le sud du département, qui a l’air plus accueillant et plus propice pour un auteur indépendant. Je tenterai peut-être ma chance, mais j’ai quand même eu de meilleures expériences dans des magasins Cultura, donc je vais en recontacter pour les fêtes de fin d’année pour voir s’ils ont des dates de disponible. Il y a aussi la Fnac, qui parfois reçoit des auteurs donc il faut que j’axe mes recherches sur ce type de magasin, qui vend plus de la culture qu’un supermarché.

Deuxièmement, il faut que je fasse plus de salons, comme je le faisais avant le Covid. Je me suis fait une liste de ceux que j’aimerais faire l’année prochaine, s’ils existent encore. Je vais faire du mailing pour rebondir et ne pas rester sur cet échec. Dans quelques semaines, je serai présent lors d’un salon du livre à Sainte-Hélène, en Gironde, près de Lacanau. Là, les gens qui viendront seront intéressés par les livres et la lecture. J’espère parvenir à prendre mon courage à deux mains pour attirer leur attention avec une simple question pour ensuite pouvoir leur parler de mes livres, de mon univers et des frissons que j’aime provoquer chez le lecteur. Quoiqu’il en soit, je ne compte pas rester sur cet échec et je vais tout faire pour repartir en salon et en séance de dédicaces, car c’est ce qui permet de rencontrer de potentiels nouveaux lecteurs.


Comme je viens de te le dire, j’ai envie de reprendre les salons plus régulièrement et de faire plus de séances de dédicaces. Quand on n’est pas connu, c’est le seul moyen de vendre des livres et de se faire connaître. Le Covid a tout stoppé, d’accord, mais il y a des gens qui se battent pour que tout reprenne. Et si les auteurs ne s’inscrivent pas, les salons ne pourront pas avoir lieu. À moi donc de me bouger, de rebondir après cet échec et de revenir plus fort pour faire connaître mes romans !

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CHRONIQUE – BILLY SUMMERS, DE STEPHEN KING

Cher Lecteur, me revoici pour une nouvelle chronique sous le format « Retour de Lecture » ! Il y a quasiment un an, je te partageais mon ressenti après la lecture du roman « Après » de Stephen King. Je ne t’avais pas caché ma déception, pointant le fait que l’auteur de nombreux best sellers n’arrivait plus à me surprendre comme il le faisait avant. Je t’avais dit que j’avais été déçu par ces derniers livres… Du coup, quand j’ai ouvert « Billy Summers », son dernier roman traduit en français, je ne savais pas à quoi m’attendre. Et c’est très bien ainsi, car je l’ai trouvé meilleur que les deux derniers que j’avais lus. Je t’explique tout dans l’article qui suit !


Présentation : Qui est Billy Summers ?

Ce roman de Stephen King débute avec le personnage de Billy Summers, ancien militaire américain devenu tueur à gages. Il va accepter un dernier contrat, avant de prendre sa retraite. Il est décrit comme le meilleur de sa profession, même s’il ne tue que des méchants. La quatrième de couverture n’en dit pas plus. Pendant les premières pages, on suit le déroulé du plan mis en place par Billy et ses associés pour son dernier contrat. Cependant, plus le roman avance et plus on se dit que la fin, qui paraît fatidique, va vite arriver. Que va-t-il se passer ensuite ? C’est là où Stephen King arrive encore à nous surprendre : il a tout prévu pour la suite, car tout ne va pas se passer comme son personnage principal l’aurait souhaité. Et le meilleur, c’est qu’il le sent dès le début… mais accepte quand même cette dernière danse !

Mon avis : Un roman bien meilleur que les précédents…

Dès l’instant où j’ai terminé ce roman de Stephen King, je me suis dit que c’était un excellent livre. Il est long (quasiment 600 pages) mais je n’ai pas vu le temps passer… et c’est bon signe ! Depuis la trilogie « Mr Mercedes », je n’ai pas toujours été conquis par les écrits du maître de l’horreur. Cependant, je dois reconnaître qu’il m’a conquis avec « Billy Summers », peut-être parce qu’il y a cet aspect polar qu’il avait déjà bien développé avec cette trilogie mettant en scène Bill Hodges, Holly Gibney et Brady Hartsfield. J’ai préféré ce roman à « Après » ou à « L’Institut ». D’ailleurs, il y a autre chose qui m’a beaucoup plu et fait sourire, en dehors de l’intrigue et du dénouement qui sont rondement bien menés : le clin d’œil à son chef-d’œuvre, « Shining », avec l’évocation du fameux hôtel Overlook.

… Mais il y a quand même quelque chose qui manque

Je n’ai pas peur de le dire : ces dernières années, les romans de Stephen King n’ont plus la même saveur. Même ceux que je qualifie de bons livres. J’en discutais il y a peu avec un ami qui est, lui aussi, un grand fan du maître. On en est venu à la conclusion que depuis son accident de voiture, survenu en 1999, qui a failli lui coûter la vie, il n’est plus le même. Il a arrêté l’alcool et, quelque part, son écriture s’en ressent. Pour en revenir à « Billy Summers », il y a parfois des raccourcis qui auraient pu être évités. En plein milieu du roman, un nouveau personnage féminin apparaît. Cette jeune femme sort un peu de nulle part et même si l’histoire se poursuit sans accrocs, je ne peux m’empêcher de me dire qu’avant, Stephen King ne se serait jamais autorisé de tels raccourcis.


Tel est mon ressenti sur ce roman de Stephen King, sorti en septembre dernier en France. Comme je le dis souvent : cela n’engage que moi. Tu as le droit de ne pas être en accord avec mon avis mais, si c’est le cas, je t’encourage à me laisser un petit commentaire pour que nous puissions en débattre. En attendant, je te dis à très vite pour un nouvel article sur mon site internet et pour la sortie de mon prochain roman !

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CHAT GPT, L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE QUI VA REMPLACER LES AUTEURS ?

Cher Lecteur, voici un nouvel article (ça faisait longtemps) ! Parfois, je cherche pendant des heures et des heures un sujet à traiter, qui me semble intéressant à la fois pour moi mais aussi (et surtout) pour toi. D’autres fois, comme cela a été le cas ce week-end, il me tombe dessus et me donne envie de le partager avec toi à travers un billet de blog. Nous allons donc tenter de répondre à la question suivante : Chat GPT, l’intelligence artificielle va-t-elle remplacer les auteurs ?


Chat GPT, qu’est-ce que c’est ?

Pour commencer, je vais t’expliquer ce qu’est Chat GPT. Tu n’en as peut-être pas encore entendu parler, même si cela m’étonnerait beaucoup ! Seul un ermite perdu au fin fond des Pyrénées ne sait pas encore ce qu’est Chat GPT. Pour faire simple et ne pas trop rentrer dans des explications techniques (qui ne m’intéressent pas du tout, soit dit en passant…), Chat GPT c’est une nouvelle intelligence artificielle qui peut comprendre et répondre à des questions en utilisant le langage naturel. En gros, Chat GPT répond à vos requêtes, traite ensuite votre demande et y répond en fonction des informations dont elle dispose. Il est important de savoir que Chat GPT ne va pas piocher ses informations sur le net en temps réel. En effet, sa base de données ne contient que des informations antérieures à 2019, ce qui peut poser problème lorsque la recherche concerne des événements plus récents.

Par conséquent, parmi les nombreuses tâches que peut accomplir Chat GPT, il y a la rédaction de contenu. Et c’est ce qui nous intéresse, nous auteurs ! En effet, l’intelligence artificielle peut générer du texte pour des articles de presse et de fiction, réaliser des résumés de documents ou d’articles plus longs, générer des idées d’articles, des titres voire même des paragraphes de textes de fiction ou de non-fiction. Quand on lit cela, on peut prendre peur et se dire que ça y est, les ordinateurs et les robots vont remplacer les humains dans le domaine de l’écriture. Comme je comprends ta réaction ! Moi aussi, tout cela me fait peur. Mais – et c’est ce qui m’a donné envie d’écrire cet article – des auteurs comme Jérôme Vialleton, que je suis depuis quelques temps, préfèrent voir le verre à moitié plein. Car Chat GPT n’a pas que des avantages.

Est-ce la fin des auteurs ? Pas sûr…

Ce samedi, Jérôme Vialleton a publié une vidéo sur sa chaîne YouTube pour démontrer que Chat GPT pourrait remplacer les auteurs, sans pour autant produire des textes de qualité similaire qu’un être humain. En effet, il s’est amusé à tester Chat GPT en lui demandant d’écrire des paragraphes de fiction. Pour plus de détails, je t’invite à regarder la vidéo de Jérôme, que je te partage ci-dessous. Le premier test concernait l’écriture du synopsis d’un roman. Résultat ? Comme le décrit si bien Jérôme, Chat GPT a pu écrire un texte qui tient la route, mais comme il se base sur des milliards de données déjà écrites, il ne peut rien inventer de lui-même. Il parvient très bien à rassembler les informations dont il dispose ; cependant, Chat GPT ne pourra jamais faire preuve d’esprit créatif. Ce que nous, les êtres humains, sommes capables de faire !

Le test ne s’arrête pas là. Jérôme Vialleton a ensuite souhaité faire une recherche plus précise, en demandant à Chat GPT d’écrire un paragraphe dans lequel un personnage voit mourir son ami. Histoire de comparer cela à un texte qu’un auteur comme toi et moi pourrait écrire… Je t’encourage à regarder la vidéo vers 3’38 pour lire le texte produit par l’intelligence artificielle. Si tu as la flemme, pas de panique, je te parle tout de suite du résultat produit. On voit tout de suite que le texte écrit par Chat GPT manque de plusieurs choses : de l’émotion, des précisions et des métaphores. Par ailleurs, le vocabulaire utilisé semble pauvre et le texte est surtout explicatif. Les actions s’enchaînent simplement, sans qu’aucune émotion ne soit transmise au lecteur. Chat GPT ne propose que du factuel, donc il ne peut pas faire mieux qu’un auteur qui sait transmettre des émotions.

Conclusion : Chat GPT ne va pas nous remplacer (ouf !)

Comme on l’a vu dans le paragraphe précédent, Chat GPT n’écrit que des textes explicatifs, avec du factuel. Ce que la plupart des auteurs ne font pas. Je me mets dans le même sac que toi, qui lit cet article : quand on écrit une histoire, on souhaite transmettre une émotion. Ce point est primordial, car c’est justement ce que Chat GPT ne sait pas faire. En revanche, si tu écris des articles comme celui que tu es en train de lire ou si tu es journaliste, tu as peut-être un peu de souci à te faire, car Chat GPT est capable d’écrire des textes explicatifs au moins aussi bien que toi ! Mais pour ce qui est de l’analyse et des émotions, rien à craindre pour l’instant, nous sommes sauvés ! Jérôme insiste sur le « pour l’instant », car cela pourrait changer, ne l’oublions pas…


Comme tu le vois, on peut toutes et tous repartir travailler sur nos manuscrits car Chat GPT ne va pas prendre notre place. Mais on doit quand même prendre conscience que les gens qui créent ce genre d’intelligence artificielle, s’ils ont pu mettre sur pied Chat GPT, pourraient un jour créer un logiciel permettant d’écrire avec de l’émotion et de l’analyse. Nous ne sommes à l’abri de rien, donc à nous de continuer à travailler notre écriture pour montrer à ces inconscients qu’une machine ne pourra jamais remplacer un être humain.

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LE GRAND BLA BLA DU BLACK FRIDAY, MAYDAY MAYDAY !

Comme moi, tu n’as pas pu passer à côté de cet énorme coup marketing, joué par les plus grandes marques… et les autres ! Eh oui, je veux bien sûr parler du Black Friday, nouvelle arnaque trouvée par les plus grands publicitaires pour nous faire croire qu’ils nous offrent des promotions exceptionnelles, alors que c’est juste un prétexte de plus pour nous pousser à la surconsommation. Et tu sais quoi ? J’ai été pris par cette fièvre dans mon activité d’auteur, et je n’en ai même pas honte !


1/ Les origines du Black Friday et son arrivée en France

À l’origine, le Black Friday n’existait pas en France. Ce sont les Américains qui ont créé ce concept. Le terme de Black Friday désigne le vendredi qui suit Thanksgiving, donc le lendemain du quatrième jeudi de novembre. Ils ont décidé que ce serait un grand jour de soldes qui lancerait la saison des achats de fin d’année. Ce terme est apparu pour la première fois dans la presse en 1951. Il désignait, pour les employeurs, le long week-end que prenaient leurs employés. Ainsi, ils avaient un jour de congé le vendredi, ce qui provoquait de gros embouteillages. Quelques années plus tard, les achats du lendemain de Thanksgiving permettaient de sortir du rouge et d’écrire à l’encre noire les nouveaux chiffres positifs, d’où l’expression « vendredi noir ». Cependant, c’est dans les années 1970 que les enseignes américaines ont décidé d’adopter cette expression pour désigner le début des achats de Noël.

En France, le Black Friday prend principalement son essor sur Internet. Quelques enseignes profitent de l’occasion pour proposer des remises importantes, valables seulement vingt-quatre heures ou parfois pendant tout le week-end qui suit. C’est là une particularité française car, aux États-Unis lors du Black Friday, les grosses promotions ont directement lieu dans les magasins. Mais il ne faut pas se leurrer : de plus en plus de promotions commencent à émerger dans les magasins aussi chez nous… D’ailleurs, si le Black Friday a démarré timidement en 2013 en France, il a largement pris son envol depuis environ 2016. Aujourd’hui, de grandes enseignes comme Auchan, la Fnac, Darty, La Redoute, Leroy Merlin et Géant Casino pratiquent désormais de grosses réductions lors du Black Friday. Et, avec l’augmentation du coût de la vie, on remarque que l’intérêt des Français pour l’événement augmente chaque année.

2/ Une période ultra commerciale que les marques ne veulent plus manquer

Comme moi, tu dois avoir entendu partout des offres spéciales Black Friday. Depuis quelques jours, elles pullulent à la radio, à la télévision et sur les panneaux publicitaires. Si ce n’est pas du matraquage en masse pour nous pousser à la surconsommation, je ne sais pas ce que c’est ! Et c’est ça que je reproche à cet événement commercial. Qu’on le joue un peu, que certaines enseignes proposent des remises durant une journée, pourquoi pas. Mais j’ai l’impression qu’on est dans une course à celui qui proposera la meilleure offre pour qu’on aille dépenser le peu d’argent qu’on a chez lui. Certaines marques vont même jusqu’à faire durer le Black Friday tout le week-end, voire une semaine. Trop, c’est trop ! La semaine dernière, j’ai arrêté d’écouter la radio dans ma voiture, avec une phobie d’entendre ces pubs à répétition avec les mots black et friday dans chaque phrase…

3/ Et pourtant, je me suis laisser prendre par le mouvement…

Tu as bien lu : je me suis laissé prendre par le mouvement. En terme marketing, pour un auteur indépendant, le Black Friday est une bonne occasion de baisser ses prix pour espérer vendre plus de livres et se faire connaître. Cependant, je n’avais rien anticipé, trop occupé à peaufiner mon prochain bouquin et à préparer sa sortie. Cependant, quand vendredi j’ai entendu une publicité de plus sur le Black Friday, je me suis dit : « Pourquoi pas moi ? » Ainsi, je me suis laissé prendre et j’ai créé une promotion gratuite sur Amazon, sur deux ebooks. Je l’ai fait sur un coup de tête, juste pour voir ce que ça allait donner. Ainsi, depuis samedi et jusqu’à mercredi, mes deux derniers livres (« Le Bébé de Francesca » et « Le Train de l’Angoisse ») sont gratuits. Je suis faible mais si tu veux en profiter, dépêche-toi…

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CHRONIQUE – LA SAIGNÉE, CÉDRIC SIRE

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Comme tu dois t’en douter, avant d’être un écrivain je suis un lecteur. Et pour ce nouvel article, je voulais chroniquer le dernier livre que j’ai lu : « La Saignée », de Cédric Sire. Pourquoi ce choix ? Parce que j’ai découvert cet auteur avec « Vindicta », que j’avais beaucoup apprécié. J’avais donc d’énormes attentes sur ce nouveau thriller, dont je vais te parler tout de suite. Et sans tout te spoiler, je vais te révéler ce qui m’a plu dans ce livre, et ce qui m’a moins conquis. Prêt ? C’est parti !


Synopsis : âmes sensibles, s’abstenir !

Avant de vous livrer mon avis sur ce livre que beaucoup ont déjà dû lire, je vais partager avec vous le résumé de l’histoire de Cédric Sire que j’ai pu trouver sur Amazon. Un synopsis qui démarre de la plus belle des manières, par la phrase suivante : une plongée dans un monde où chacun doit affronter ses démons. Ce résumé n’en dit pas trop et j’espère qu’il donnera envie à celles et ceux qui n’auraient pas encore lu ce roman de se plonger dedans !

Estel Rochand a été écartée de la police à la suite d’une terrible bavure qui a causé la mort d’une innocente. Sa vie est en miettes, son couple à la dérive. Désormais garde du corps de seconde zone, cette ancienne championne de boxe se fraie un chemin dans l’existence comme elle l’a toujours fait : à coups de poing. Prise dans un engrenage infernal, Estel a de plus en plus de mal à contrôler ses accès de violence. Quentin Falconnier, policier spécialisé en cybercriminalité, enquête sur un site du Dark Web, qui propose des vidéos de torture et de mise à mort en direct. Qui peut bien se cacher derrière cette « red room » appelée La Saignée, diffusant des meurtres à la perversité absolue ? Le jeune homme se lance corps et âme dans cette nouvelle croisade. Coûte que coûte. Un terrible compte à rebours a commencé.

Points positifs : la plume de l’auteur et le suspense

Déjà, il faut savoir que j’ai découvert la plume de Cédric Sire seulement l’année dernière, quand j’ai lu son best-seller, « Vindicta ». J’avais beaucoup apprécié ce livre, que j’avais d’ailleurs chroniqué sur ce blog. C’était une belle découverte pour moi, et ce roman dont j’avais entendu beaucoup de bien m’avait rapidement conquis. Voilà pourquoi j’ai eu envie de lire « La Saignée ». D’ailleurs, j’ai été très heureux de retrouver la façon d’écrire de cet auteur, qui nous emmène toujours dans une direction qui n’est pas la bonne à suivre. Je pense qu’il prend un malin plaisir à semer de faux indices, qui vont nous faire croire qu’un personnage peut être coupable d’un délit ou d’un meurtre, alors qu’en fait il nous prend à contre-pied à la fin du roman. Sur ce plan-là, Cédric Sire a plutôt réussit son travail, selon moi, dans son dernier roman.

De plus, il y a autre chose que j’apprécie beaucoup quand je lis cet auteur. En effet, il nous amène à réfléchir. Rien n’est jamais acquis dans ses histoires. On doute de la culpabilité de certains personnages et ce n’est qu’au fur et à mesure qu’on peut les innocenter pour découvrir qui sont les vrais coupables. Il y a du sang et c’est parfois violent, ce qui a pu gêner certains lecteurs dont j’ai pu lire les commentaires ici ou là (après ma lecture, je ne voulais pas me faire spoiler…). Pour ma part, cela ne me dérange pas du tout, car je suis un grand amateur de thriller. Et, comme quand j’écris dans ce genre littéraire, j’aime quand il y a de l’action et du sang, donc c’est encore une autre raison qui m’a fait apprécier « La Saignée », du début à la fin !

Faiblesses : beaucoup de personnages et d’histoires parallèles

Comme rien n’est parfait, il y a cependant quelques petites choses que j’ai moins apprécié dans ce roman de Cédric Sire. Dans « La Saignée », je trouve qu’il y a trop de personnages et qu’il ne sont pas assez exploités en profondeur. On connaît leur caractère général, mais leurs histoires personnelles – et notamment leur passé, qui est souvent évoqué en quelques mots seulement – ne sont pas assez développées à mon goût. Je vais illustrer cela avec deux exemples. Les deux flics sont des personnages centraux de l’histoire, dirait-on, mais j’ai eu l’impression de les connaître sans vraiment les connaître à la fin de ma lecture. Par ailleurs, le personnage d’Estel a une histoire qui est explorée plus en profondeur, mais on ne connaît pas tous les éléments de son histoire (même si on découvre son passé avant la fin du roman).

Enfin, j’ai trouvé que l’on se perdait un peu dans les histoires parallèles à l’intrigue principale. Il y a quelques longueurs qui, à mon sens, auraient peut-être pu être évitées. Cela donne parfois une impression d’inachevé. Ou alors, on pourrait croire que l’auteur n’a pas voulu développer certaines mini intrigues pour ne pas perdre le lecteur. Cependant, si elles ne servaient pas l’intrigue principale, pourquoi les garder ? Je n’ai pas de réponse à apporter à cette question, seulement j’ai trouvé cela dommage même si ces faiblesses dont je parle ne m’ont pas empêché de passer un bon moment quand j’ai lu « La Saignée ».


Pour conclure, j’ajouterai que « La Saignée » reste à mon goût un très bon roman, grâce à la plume aiguisée de Cédric Sire. Qui, s’il faut le préciser, reste un grand auteur de thrillers. Cependant, et cela ne reste que mon avis personnel (je préfère le préciser avant de recevoir des tonnes de messages incendiaires), j’ai préféré « Vindicta » à ce roman. Et toi, tu as lu « La Saignée » ? Qu’en as-tu pensé ? Je t’invite à me laisser un petit commentaire, ton avis m’intéresse maintenant que tu as lu le mien !

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LA TÉLÉKINÉSIE À TRAVERS LA LITTÉRATURE ET LE CINÉMA

La télékinésie est un thème exploité depuis fort longtemps, que ce soit dans la littérature ou même le cinéma. Moi-même, j’ai exploré ce thème dans mon dernier livre, la novella « Le Bébé de Francesca ». Peut-être que certains d’entre vous l’ont lu et s’en souviennent ? Le but ici n’est pas de parler de nouveau de ce livre publié en fin d’année dernière, mais de relever quelques films et quelques livres qui explorent également ce thème et qui m’ont marqué, en tant que lecteur et spectateur.


Qu’est-ce que le phénomène de télékinésie ?

Peut-être que vous n’avez jamais entendu parler de ce phénomène et que vous ne savez pas encore ce qu’est la télékinésie. De ce fait, vous avez cliqué sur cet article parce qu’il parle de cinéma et de littérature, sans savoir vraiment où vous alliez. Je vais donc m’empresser de vous donner la définition du Larousse. Elle dit que la télékinésie, ou encore psychokinésie, est la « faculté paranormale d’exercer une action directe de la pensée sur la matière ». En gros, et si vous avez lu mon dernier livre l’exemple sera beaucoup plus parlant, il s’agit d’un phénomène paranormal consistant à déplacer les objets par la simple force de la pensée. Comme le fait de voler dans les airs, je pense que c’est un fantasme que l’être humain continue de se construire depuis des décennies. Et qui a donné des idées à des auteurs et des scénaristes…

Stephen King et Roald Dahl, la télékinésie dans la littérature

Dans la littérature, deux livres qui m’ont principalement marqués ont exploré ce thème de la télékinésie. Tout d’abord, il y a « Carrie », de Stephen King, un des chefs-d’œuvre du maître de l’horreur, publié en 1974. Si vous me suivez, vous savez que je voue un culte à cet auteur, mais il faut dire qu’il avait fait fort avec ce personnage haut en couleurs (sans mauvais jeu de mots) ! Cependant, ce n’est pas le livre qui m’a le plus marqué, je vous en reparle dans quelques lignes… À côté de mon maître à penser, on trouve un auteur de livres pour la jeunesse, le Britannique Roald Dahl. En 1994, il a publié un livre intitulé « Matilda ». En effet, la petite fille qui porte le même prénom que dans le titre est très intelligente et elle peut contrôler toutes sortes d’objets à distance, rien qu’avec ses yeux.

Stranger Things, les X-Men et Lucy : la télékinésie au cinéma et à la télévision

Comme je vous le disais, concernant « Carrie », ce n’est pas le livre qui m’a le plus marqué. Comme de nombreuses œuvres de Stephen King, ce roman a été adapté au cinéma. Je me souviens encore des images choquantes de cette jeune fille capable de tuer… J’en ai des frissons ! Mis à part cela, beaucoup d’œuvres de fiction ont exploré le thème de la télékinésie. En vrac, on le retrouve avec certains personnages des X-Men, mais aussi dans les suites de Carrie, ainsi que dans le film Lucy, de Luc Besson. Je vous l’avoue, je ne les ai pas tous vus, et ma plus grosse influence actuelle sur ce thème est une série : Stranger Things. Je vous ai longuement parlé de la nouvelle saison à venir, la semaine dernière, donc je ne vais pas en rajouter. Mais vous comprenez désormais mieux pourquoi j’adore cette série !


Voilà, vous savez désormais d’où je peux tirer certaines de mes influences. En effet, les idées nous viennent souvent, quand on est auteur, du monde qui nous entoure et des fictions que l’on a vues et lues. Rien n’est laissé au hasard, même si parfois on n’y pense pas tout de suite ! Et vous, est-ce qu’un livre ou un film traitant du sujet de la télékinésie vous a particulièrement marqué ? Dites-moi tout !

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CHRONIQUE – STEPHEN KING, APRÈS

Que vous me suiviez depuis longtemps ou pas, vous devez désormais le savoir : une de mes grandes sources d’inspiration en tant qu’auteur se nomme Stephen King. J’adore cet écrivain et j’attends toujours avec impatience chacun de ses livres. Voilà pourquoi, dans cet article, je vais vous faire un retour de lecture sur son dernier roman, intitulé « Après » (« Later » en version originale).


Ai-je été (trop) impatient de découvrir ce roman ?

Avant de vous livrer mon ressenti sur « Après », je dois vous dire que je suis un grand fan de Stephen King. J’ai rarement été déçu par l’auteur américain, qui est ma principale source d’inspiration en tant qu’auteur. Ces dernières années, j’ai adoré la trilogie « Mr Mercedes », le roman « L’Outsider » et le livre écrit à quatre mains avec son fils – Owen King –, « Sleeping Beauties ». Cependant, le dernier roman du maître de l’horreur m’avait moins marqué, sans forcément m’avoir déplu. Il s’agit de « L’Institut », publié en France courant 2020. Par conséquent, j’en attendais peut-être beaucoup de ce roman, sorti en France en fin d’année dernière : « Après ». Depuis près d’un an, j’ai pu lire des articles et des retours (suite à la sortie américaine) qui m’ont vraiment donné envie de découvrir ce livre de mon maître à penser.

La trilogie "Mr Mercedes", de Stephen King

Présentation du roman « Après », de Stephen King

Voilà un premier paragraphe qui vous aidera, je l’espère, à comprendre mon retour de lecture. Encore un peu de patience, cependant. J’y viens. Je veux d’abord vous présenter ce livre, au cas où vous n’en auriez jamais entendu parler. Le personnage principal est un enfant, prénommé Jamie, que l’on voit grandir tout au long de l’intrigue. Il possède un pouvoir : celui de pouvoir parler avec les morts. Un don qui va lui coûter bien des cauchemars, surtout quand une inspectrice de la police de New York va lui demander son aide pour traquer un tueur qui menace de frapper… depuis sa tombe. En lisant le résumé du livre, je dois vous dire que ça m’a donné envie. Plus que la couverture de la version française, à laquelle j’ai préféré celle de la version originale, titrée « Later », que je vous partage ci-dessous.

Couverture de la version originale du roman "Après"

Mon avis : un bon livre, mais qui ne laissera pas un trace indélébile

Que les choses soient claires : ce livre est vraiment bien écrit. Stephen King a une longue expérience d’écrivain, on ne peut pas lui reprocher de ne pas savoir construire une intrigue capable de happer le lecteur. Mais, et j’ai du mal à expliquer pourquoi, je n’ai pas autant accroché qu’avec les livres cités dans le premier paragraphe. Je n’ai pas réussi à m’attacher à Jamie, à sa mère, ni à tout autre personnage. Mis à part le grand-père dont la femme meurt au début du roman. Jamie voit sa femme défunte, et partage la peine de ce vieil homme. Bref, je me suis parfois demandé où Stephen King voulait en venir dans l’enchaînement des différentes scènes. Je ne me suis pas ennuyé, mais je n’ai pas totalement accroché. Peut-être que ce livre n’était pas pour moi ou que j’en attends trop du maître, en étant un très grand fan.


Pour conclure, comprenez bien que ce ressenti est très personnel. Je ne dénigre pas les qualités d’écriture de Stephen King, qui ne sont plus à prouver. Qui suis-je, d’ailleurs, pour critiquer ce genre d’autre qui vend des millions de livres ? Ce que j’ai simplement voulu faire passer comme message ici, c’est que je n’ai pas accroché, là où d’autres lecteurs auront peut-être adoré ce livre. Au même titre, certains n’ont pas aimé la trilogie « Mr Mercedes », alors que personnellement j’ai adoré. Chacun a son ressenti et ses attentes quand il lit un livre. Les miennes étaient certainement trop fortes et, par conséquent, je me suis senti déçu à la fin de cette lecture. Ce qui n’engage que moi.

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QUI SONT MES PARTENAIRES POUR L’ANNÉE 2022 ?

Comme chaque année, j’ai lancé un appel au partenariat via un article publié sur ce blog, il y a quelques semaines. J’ai mis un peu de temps à prendre en compte les inscriptions et à les accepter, mais c’est bon, on y est ! En 2022, j’aurais ainsi quatre partenaires privilégiés, que je vais vous présenter ici.


Avant de vous présenter ces quatre personnes, je souhaitais vous rappeler que pour moi, le partenariat est une relation privilégiée entre l’auteur et des lecteurs proches (ou des chroniqueuses). Cela doit être un échange donnant-donnant. Voilà pourquoi j’essaierai de vous parler de ces partenaires, à travers des interviews ou des articles de blog, dans le courant de l’année. J’avais déjà interviewé une de mes partenaires en 2020, qui renouvelle son « contrat » pour la troisième année consécutive ! Nous allons d’ailleurs commencer avec elle : Morgane Rocher, une auteur qui est aussi une fidèle lectrice. Comme les trois autres partenaires, elle pourra découvrir mes publications en avant-première, pour en parler autour d’elle le jour de la sortie et m’aider à faire connaître mes livres. Avec Morgane, l’échange est bien engagé : je l’avais interviewée en 2020 et elle vient de publier une interview de moi-même sur son site !

En ce qui concerne mes autres partenaires, il y a parmi elles (oui, il s’agit de quatre lectrices, pour tout vous dire) Nathalie, une autre fidèle lectrice qui me suis depuis quelques temps déjà et n’hésite pas à répondre aux newsletters que j’envoie chaque lundi, pour mon plus grand plaisir. Nathalie est une grande fan de thrillers, d’après ce que j’ai compris. Ce qui m’arrange bien et j’espère qu’elle appréciera mes prochains manuscrits quand je lui ferai découvrir en avant-première ! Car c’est aussi ça, le partenariat : envoyer mes textes pour de la betâ-lecture ou pour que mes lecteurs les plus fidèles m’aident à les relayer pour atteindre le plus de lecteurs possibles. Nathalie, je te souhaite la bienvenue parmi mes partenaires, au plaisir d’échanger encore avec toi par mail.

Enfin, il y a deux petites nouvelles qui me rejoignent cette année : Sonia et Virginie. Je ne connais pas encore ces deux personnes, mais je peux vous transmettre les informations dont elles m’ont parlé lors de leur candidature pour le partenariat. Sonia semble être habituée à offrir ses services pour de la bêta-lecture, en tout cas elle vient de lire ma novella « Le Bébé de Francesca » et a publié son retour sur Amazon : si j’en crois ce qu’elle a écrit, elle a bien apprécié ce livre et mon style, je suis donc soulagé car ce partenariat comment à merveille. Quant à Virginie, elle publie des chroniques sur un site (https://www.sfmag.net/index.php) et m’a parlé d’un blog littéraire à venir au mois de mars. Je pense qu’elle chroniquera des livres qu’elle a lu et ce sera donc une belle plate-forme pour mes propres publications. Affaire à suivre !


Voilà, je vous ai parlé des quatre partenaires qui m’épauleront en 2022 pour les sorties que j’ai déjà prévu, et que vous pouvez retrouver dans cet article où je les avais présentées. Bientôt, je parlerai de ces quatre personnes plus en détails à travers les articles que je publie sur mon blog deux fois par mois…

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PARTENARIATS 2022 – SOUHAITEZ-VOUS QU’ON COLLABORE ENSEMBLE ?

Comme chaque année, le mois de janvier est l’occasion pour moi de lancer une nouvelle campagne de partenariats ! Pendant trois semaines, jusqu’au 6 février prochain, vous pourrez donc déposer votre candidature pour l’année 2022, où j’aurais plusieurs projets à proposer à mes lecteurs. Vous souhaitez en savoir plus sur ce partenariat ? Je vous explique tout, et je vous détaille comment nous pourrions travailler ensemble.


Le partenariat : explications

Tout d’abord, laissez-moi vous expliquer ce qui, selon moi, se cache derrière ce terme de partenariat. Il s’agit d’un vrai échange. Je recherche des gens qui tiennent un blog ou un compte Instagram et pourront rédiger une chronique qui sera ensuite partagée sur les réseaux sociaux. En échange, je vous offrirai mes différents livres, gratuitement (en numérique ou en format papier), et je partagerai à mon tour votre travail (partage de votre site, de votre compte et pourquoi pas une interview qui apparaîtra dans la section blog de mon site, comme je l’avais fait en 2020 pour Morgane Rocher). Je n’en demande pas plus ! Mon souhait est d’avoir des relations plus personnelles avec les chroniqueurs que je choisirai, avec qui je pourrai discuter de mon travail, du leur et de notre passion pour l’écriture et la lecture. Ils seront également tenus au courant de mes actualités avant les autres…

Alors, ça vous dit de me travailler avec moi ?

 

Quel(s) livre(s) et sous quel format ?

Si vous devenez partenaire, ce sera jusqu’à la fin de l’année. Si vous avez lu l’article que j’ai publié il y a deux semaines, où je parlais des projets à venir, vous aurez une idée des livres que vous pourrez découvrir en avant-première et chroniquer. Pour commencer, il y aura un livre gratuit, en numérique, publié lors du premier semestre 2022. Il s’agira d’une nouvelle, dans mon genre de prédilection : le thriller. Ensuite, vous aurez le privilège de découvrir mon troisième roman, publié en fin d’année (début décembre, peut-être un peu avant). Ce sera la grosse sortie de l’année pour moi, et vous aurez le loisir de le lire quelques semaines avant tout le monde (en broché ou en numérique, au choix) ! Enfin, je travaille sur un projet secret, qui n’est pas sûr d’aboutir mais si je parviens à le réaliser, vous serez les premiers à le savoir.

Comment devenir partenaire ?

Rien de plus simple, il vous suffit de postuler en remplissant LE FORMULAIRE SUIVANT (il vous suffit de cliquer, le lien s’ouvrira automatiquement dans une nouvelle fenêtre). Et si jamais vous avez envie de lire un autre de mes livres et d’en publier une chronique, il vous faudra me contacter par mail (ygiammona@hotmail.fr) ou via le formulaire de contact. Il s’agira de ce que l’on appelle communément un Service Presse, et nous pourrons voir cela ensemble.

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CHRONIQUE – CÉDRIC SIRE, VINDICTA

Ma dernière chronique de livre, qui portait sur le thriller « Urbex Sed Lex » de Christian Guillerme, vous a partagé. Avec celle-ci, je pense que nous serons tous d’accord : « Vindicta » de Cédric Sire est un pur chef-d’œuvre ! Et je ne mâche pas mes mots, ce roman étant un de mes coups de cœur de l’année. Allez, suivez-moi je vous explique pourquoi je l’ai tant aimé…


Une belle découverte

Comme pour Christian Guillerme, je ne connaissais pas Cédric Sire avant de découvrir « Vindicta ». D’une part, je me suis laissé porter par les publications que j’ai pu voir sur des groupes Facebook sur lesquels je suis. Par ailleurs, j’ai beaucoup vu passer ce roman sur Instagram, donc je me suis dit que j’allais devoir m’y intéresser. D’un autre côté, Céline Spreux (une collègue auteur mais aussi une bêta-lectrice de ma dernière novella) m’avait conseillé ce livre, je l’ai donc suivi presque les yeux fermés. Après avoir été déçu par « Urbex Sed Lex », pour des raisons qui n’engagent que moi, j’avais peur de ne pas me laisser emporter par la plume de Cédric Sire. Mais bon, je me suis dit qu’il fallait bien découvrir de nouveaux auteurs, notamment dans ce genre que j’affectionne tant et dans lequel j’écris moi-même. Pour la bonne cause, si je puis dire.

« Vindicta » m’a rapidement conquis

Au bout de quelques pages, à peine plus d’une centaine, j’ai envoyé un message à ma collègue Céline. Pour la remercier de son conseil, car j’adorais déjà le livre de Cédric Sire ! Il faut savoir que Céline m’avait conseillé de le lire pour me permettre de progresser, suite à la bêta-lecture de ma dernière novella. Mission accomplie, et en plus j’y ai pris du plaisir. Dans ce roman, il y a tout ce que j’aime dans un thriller : du suspense, des rebondissements, du sang, des personnages forts et parfois sarcastiques. Que dire de plus ? Pour un livre qui fait quasiment 800 pages, on ne s’ennuie jamais et il est impossible de prévoir à l’avance ce que Cédric Sire nous prépare. Je n’ai qu’une chose à lui dire : chapeau, vous avez réussi votre coup et je comprends pourquoi tout le monde adore « Vindicta » !

Cédric Sire, un auteur à découvrir

Sur la couverture de « Vindicta », Cédric Sire est encensé par Franck Thilliez. Un autre auteur de thriller que j”affectionne. Si je ne me range pas encore dans la même catégorie que ces deux créateurs de best-sellers, je souhaiterais les rencontrer un jour dans le cadre de mon métier d’écrivain, et échanger avec eux. Je ne veux pas rentrer plus dans le détail concernant « Vindicta », à part pour vous encourager vivement à le lire. Pour ma part, j’attends impatiemment les fêtes pour me faire offrir « La Saignée », le dernier thriller de Cédric Sire. Pour finir, je dirais que ces deux auteurs que je viens d’évoquer sont une vraie source d’inspiration pour mon écriture, et même si je suis encore loin de leur talent, j’espère un jour pouvoir rivaliser avec eux et offrir à mes lecteurs autant de suspense et de joie de lire.


Toi aussi tu as lu « Vindicta » ? Je t’invite à me dire pourquoi tu as aimé ce livre et à échanger avec moi pour en savoir plus suite à ma petite chronique. Et si tu as également lu « La Saignée », tu peux aussi m’en parler, sans me spoiler l’histoire, bien sûr !