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ET SI ON PARTAIT À LA DÉCOUVERTE DE LA LIBRAIRIE DES AUTEURS INDÉPENDANTS ?

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Après une pause estivale bien méritée, je vais essayer d’écrire plus régulièrement des articles sur mon blog, afin de te partager ce qu’il se passe dans mon univers… enfin, on pourrait plutôt parler de microcosme, chacun son point de vue ! Si tu me suis sur les réseaux sociaux, tu as pu voir il y a quelques mois que mon dernier roman est en vente dans une librairie : la librairie des auteurs indépendants ! L’occasion pour moi de te la présenter, et de te parler de la personne qui fait vivre ce lieu unique de partage et d’évasion…


Cette librairie se situe dans la Creuse, à Evaux-les-Bains, et elle a été créée par une auteure ! Oui, tu as bien lu. Si tu ne la connais pas encore, il s’agit de Stéphanie Munch, qui offre un sanctuaire aux livres autoédités dans sa librairie : Le Coin des Indés. Âgée de 45 ans, Stéphanie est elle-même autrice auto-éditée, spécialisée dans le fantastique et l’horreur. Elle a eu envie de mettre en avant ses pairs, voilà pourquoi elle a créé cette librairie qui a ouvert ses portes le 22 avril dernier. Je n’ai pas encore eu la joie d’aller visiter sa petite boutique, mais j’ai pris contact avec Stéphanie pour y exposer mon dernier thriller, « Les Anonymes ». Et je dois t’avouer que je ne suis pas peu fier de voir mon livre dans une librairie, une grande première pour moi !

Tu es un auteur indépendant et tu ne connais pas encore Stéphanie Munch ? Il est temps de réparer ton erreur ! Si tu prends contact avec elle, après quelques questions, la lecture de quelques pages de ton livre et un échange cordial par mail, elle acceptera certainement que tu lui envoies ton roman. Qui de mieux, d’ailleurs, que Stéphanie elle-même pour parler de sa librairie ? Le 24 août dernier, une interview est parue sur le site de Sophie Lim Auteur, où la fondatrice de cette librairie donnait quelques détails sur le nombre d’auteurs qui étaient exposés chez elle : « À ce jour, la librairie compte une centaine d’auteurs, 129 références et un total de 350 livres en rayon. » Comme vous le voyez, Stéphanie ne fait pas de discrimination, tout le monde peut être accepté, le tout est de remplir les conditions requises !

Pour ce qui est du côté pratique, si tu habites du côté d’Evaux-les-Bains, voici les jours d’ouverture de la librairie de Stéphanie Munch : « La librairie est ouverte du lundi au vendredi, de 15h à 18h. Mais pour les jours spéciaux, comme le 15 Août, j’ouvre également le matin. » Enfin, si tu es toi aussi auteur indépendant et que tu souhaites prendre contact avec Stéphanie, voici ces fameuses conditions requises, dont je t’ai parlé, pour soumettre ton livre à la librairie : « Être autoédité, avoir corrigé son livre et m’envoyer des extraits par mail. Je suis ouverte à tous les genres et à tous les styles, mais le critère absolument essentiel, c’est d’être passé par la case correction. » Normal, on ne vend pas n’importe quel livre en librairie. En tout cas, on peut remercier Stéphanie pour son initiative, qui peut nous aider à nous faire connaître.


Voilà, maintenant tu en sais plus sur cette librairie réservée aux auteurs en auto-édition. Si tu veux en savoir plus, je t’invite à découvrir le compte Instagram de la librairie, où Stéphanie Munch publie régulièrement les nouveautés qu’elle expose et les événements qu’elle met en place. N’est-ce pas là une belle initiative ? Qu’en penses-tu ?

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CHAT GPT, L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE QUI VA REMPLACER LES AUTEURS ?

Cher Lecteur, voici un nouvel article (ça faisait longtemps) ! Parfois, je cherche pendant des heures et des heures un sujet à traiter, qui me semble intéressant à la fois pour moi mais aussi (et surtout) pour toi. D’autres fois, comme cela a été le cas ce week-end, il me tombe dessus et me donne envie de le partager avec toi à travers un billet de blog. Nous allons donc tenter de répondre à la question suivante : Chat GPT, l’intelligence artificielle va-t-elle remplacer les auteurs ?


Chat GPT, qu’est-ce que c’est ?

Pour commencer, je vais t’expliquer ce qu’est Chat GPT. Tu n’en as peut-être pas encore entendu parler, même si cela m’étonnerait beaucoup ! Seul un ermite perdu au fin fond des Pyrénées ne sait pas encore ce qu’est Chat GPT. Pour faire simple et ne pas trop rentrer dans des explications techniques (qui ne m’intéressent pas du tout, soit dit en passant…), Chat GPT c’est une nouvelle intelligence artificielle qui peut comprendre et répondre à des questions en utilisant le langage naturel. En gros, Chat GPT répond à vos requêtes, traite ensuite votre demande et y répond en fonction des informations dont elle dispose. Il est important de savoir que Chat GPT ne va pas piocher ses informations sur le net en temps réel. En effet, sa base de données ne contient que des informations antérieures à 2019, ce qui peut poser problème lorsque la recherche concerne des événements plus récents.

Par conséquent, parmi les nombreuses tâches que peut accomplir Chat GPT, il y a la rédaction de contenu. Et c’est ce qui nous intéresse, nous auteurs ! En effet, l’intelligence artificielle peut générer du texte pour des articles de presse et de fiction, réaliser des résumés de documents ou d’articles plus longs, générer des idées d’articles, des titres voire même des paragraphes de textes de fiction ou de non-fiction. Quand on lit cela, on peut prendre peur et se dire que ça y est, les ordinateurs et les robots vont remplacer les humains dans le domaine de l’écriture. Comme je comprends ta réaction ! Moi aussi, tout cela me fait peur. Mais – et c’est ce qui m’a donné envie d’écrire cet article – des auteurs comme Jérôme Vialleton, que je suis depuis quelques temps, préfèrent voir le verre à moitié plein. Car Chat GPT n’a pas que des avantages.

Est-ce la fin des auteurs ? Pas sûr…

Ce samedi, Jérôme Vialleton a publié une vidéo sur sa chaîne YouTube pour démontrer que Chat GPT pourrait remplacer les auteurs, sans pour autant produire des textes de qualité similaire qu’un être humain. En effet, il s’est amusé à tester Chat GPT en lui demandant d’écrire des paragraphes de fiction. Pour plus de détails, je t’invite à regarder la vidéo de Jérôme, que je te partage ci-dessous. Le premier test concernait l’écriture du synopsis d’un roman. Résultat ? Comme le décrit si bien Jérôme, Chat GPT a pu écrire un texte qui tient la route, mais comme il se base sur des milliards de données déjà écrites, il ne peut rien inventer de lui-même. Il parvient très bien à rassembler les informations dont il dispose ; cependant, Chat GPT ne pourra jamais faire preuve d’esprit créatif. Ce que nous, les êtres humains, sommes capables de faire !

Le test ne s’arrête pas là. Jérôme Vialleton a ensuite souhaité faire une recherche plus précise, en demandant à Chat GPT d’écrire un paragraphe dans lequel un personnage voit mourir son ami. Histoire de comparer cela à un texte qu’un auteur comme toi et moi pourrait écrire… Je t’encourage à regarder la vidéo vers 3’38 pour lire le texte produit par l’intelligence artificielle. Si tu as la flemme, pas de panique, je te parle tout de suite du résultat produit. On voit tout de suite que le texte écrit par Chat GPT manque de plusieurs choses : de l’émotion, des précisions et des métaphores. Par ailleurs, le vocabulaire utilisé semble pauvre et le texte est surtout explicatif. Les actions s’enchaînent simplement, sans qu’aucune émotion ne soit transmise au lecteur. Chat GPT ne propose que du factuel, donc il ne peut pas faire mieux qu’un auteur qui sait transmettre des émotions.

Conclusion : Chat GPT ne va pas nous remplacer (ouf !)

Comme on l’a vu dans le paragraphe précédent, Chat GPT n’écrit que des textes explicatifs, avec du factuel. Ce que la plupart des auteurs ne font pas. Je me mets dans le même sac que toi, qui lit cet article : quand on écrit une histoire, on souhaite transmettre une émotion. Ce point est primordial, car c’est justement ce que Chat GPT ne sait pas faire. En revanche, si tu écris des articles comme celui que tu es en train de lire ou si tu es journaliste, tu as peut-être un peu de souci à te faire, car Chat GPT est capable d’écrire des textes explicatifs au moins aussi bien que toi ! Mais pour ce qui est de l’analyse et des émotions, rien à craindre pour l’instant, nous sommes sauvés ! Jérôme insiste sur le « pour l’instant », car cela pourrait changer, ne l’oublions pas…


Comme tu le vois, on peut toutes et tous repartir travailler sur nos manuscrits car Chat GPT ne va pas prendre notre place. Mais on doit quand même prendre conscience que les gens qui créent ce genre d’intelligence artificielle, s’ils ont pu mettre sur pied Chat GPT, pourraient un jour créer un logiciel permettant d’écrire avec de l’émotion et de l’analyse. Nous ne sommes à l’abri de rien, donc à nous de continuer à travailler notre écriture pour montrer à ces inconscients qu’une machine ne pourra jamais remplacer un être humain.

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LES ANONYMOUS, GRANDE INSPIRATION POUR MON TROISIÈME ROMAN

Dans mon troisième roman – que tu pourras découvrir en début d’année prochaine –, j’ai glissé plusieurs références au groupuscule des Anonymous. Ainsi, je vais t’expliquer d’où vient ce collectif d’activiste, et quelles sont justement leurs activités. Puis, dans un deuxième temps, je te révèlerai quelles sont ces références que j’ai évoquées. Histoire de te faire patienter avant la sortie de mon prochain livre…


Qui sont les Anonymous ?

Tout d’abord, il faut noter que les membres du groupuscule Anonymous sont décrits comme des activistes menant leurs activités sur Internet. Ils sont ainsi ce que l’on appelle plus communément des hackers, et il semblerait qu’il soit difficile de les identifier, encore aujourd’hui. Par ailleurs, les membres de ce collectif se présentent comme des défenseurs du droit à la liberté d’expression sur Internet et en dehors. Mais d’où vient ce nom, vas-tu alors me demander ? D’après ce que j’ai pu lire, le nom Anonymous est considéré comme un mot fourre-tout désignant des membres de certaines communautés d’internautes agissant de manière anonyme dans un but particulier, généralement pour défendre la liberté d’expression. Tu as peut-être déjà vu les Anonymous lors de manifestations, notamment grâce à un signe distinctif dont je te parlerai plus tard. Mais attention : les Anonymous n’étant pas une organisation officielle, il est impossible de les rejoindre.

Quelles sont les actions menées par les Anonymous ?

Les Anonymous sont des activistes et ils ne sont pas tendres. Par exemple, il leur est déjà arrivé de participer à des attaques contre des pays dans lesquels la cybercensure était forte. Je peux citer une cyberattaque des Anonymous en Tunisie, en 2011, pour soutenir des manifestants. Cependant, les membres du collectif sont plus connus pour manifester et dénoncer ce qu’ils considèrent être des atteintes à la liberté d’expression, encourageant à la désobéissance civile. Une de leur plus grande action s’est déroulée en 2008, face à l’Église de scientologie. C’était ce qu’ils avaient appelé le « Projet Chanology ». Celui-ci avait mobilisé un bon nombre de manifestations et fait l’objet de propagandes à travers le monde. C’est là qu’on avait pu voir de nombreux manifestants porter un masque à l’effigie du personnage de V, dans la bande dessinée V pour Vendetta (qui a été influencé par l’histoire de Guy Fawkes).

C’est à partir de là qu’a émané l’idée de porter un masque, que l’on peut voir un peu partout désormais. Plus récemment, le 24 février 2022, le groupe Anonymous avait annoncé sur Twitter son entrée en cyberguerre contre le gouvernement russe, à la suite de l’invasion de l’Ukraine. Ils ont notamment piraté le site du Kremlin. Cependant, il y a un mauvais côté au fait que les activistes du collectif veuillent rester anonymes. En effet, les membres d’Anonymous ne font pas partie d’un groupe précis ; n’importe qui peut se réclamer de leur mouvement. Ainsi, les actions de personnes qui revendiquent une appartenance à Anonymous sont parfois confondues avec celles de pirates malintentionnés, surnommés « black hats » (chapeaux noirs en français). Le fait que n’importe qui puisse se revendiquer être un Anonymous pose problème au groupe, qui est contre certaines idées comme celles véhiculées par l’extrême-gauche ou encore l’extrême-droite.

Quel est le lien entre les Anonymous et mon troisième roman ?

Pour finir, évoquons le lien entre ce groupuscule et le roman que je publierai au début de l’année 2023. Comme tu dois t’en douter, on y retrouvera plusieurs références aux Anonymous, à commencer par le masque de Guy Fawkes, qui sera omniprésent dans ce livre. Ce symbole aura une grande importance, et mon petit doigt me dit qu’il apparaîtra même sur la couverture du roman. Par ailleurs, un groupe secret, comparable aux Anonymous, sera mis en scène dans ce qui sera mon troisième roman. Sans vouloir trop en dire ni vous spoiler, il s’agira d’une sorte de secte secrète, inconnue du grand public (si je puis m’exprimer ainsi). Seule une petite frange de la population connaît son existence et il s’agit d’une caste très particulière. La seule différence est qu’il n’y aura aucun lien avec les actions des Anonymous décrites plus haut. Tout cela te rend curieux, n’est-ce pas ?


Tu l’auras compris, le but de cet article est d’attiser ta curiosité et de te donner de quoi patienter jusqu’à la sortie du roman… Maintenant que tu en sais un peu plus sur les influences que l’on pourra y trouver, je vais te distiller, semaine après semaine, quelques petites informations à propos de ce livre : son titre, sa couverture, son synopsis et quelques informations sur les personnages principaux. Histoire d’entretenir ce climat d’attente jusqu’au jour de sortie.

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DÉCOUVREZ LE MEILLEUR CONSEIL D’ÉCRITURE QUE L’ON M’AIT JAMAIS DONNÉ

Dans ce nouvel article, je voulais partager avec toi une chose qui me paraît essentielle. Il s’agit d’un conseil que je m’efforce de suivre dans mon quotidien d’auteur indépendant. Certes, il tient dans une phrase. Cependant, je vais développer en t’expliquant quels principes j’essaie de suivre, qui découlent de cette phrase. De ce conseil qui parfois change la vie d’un écrivain en herbe. Même s’il n’est pas facile à suivre tout le temps, surtout quand on a une vie de famille à gérer.


Après avoir lu cette introduction, je suis sûr qu’il te tarde de savoir quel est ce fameux conseil qu’il m’a été donné de lire. Et que je suis depuis quelques temps maintenant, même si ce n’est pas toujours évident. Ce conseil, je pense que tous les écrivains devraient le suivre, bien que nous ne soyons pas tous pareils. Chacun a ses habitudes de travail et peut-être que certains auteurs aiment écrire avec de la musique, d’autre dans le calme complet. Quoiqu’il en soit, je reste convaincu que tout un chacun devrait suivre ce précepte. Alors, quel est-il ? Je crois que je t’ai assez fait attendre… Ce conseil, très simple, se résume en une phrase : pour rester concentré sur son travail, il vaut mieux se couper de toutes formes de distractions. C’est simple mais je vais te donner quelques détails pouvant aider à appliquer ce précepte au quotidien.

Ce précepte te paraît bateau ? C’est tout à fait normal : il l’est. Cependant, à l’heure des réseaux sociaux, des notifications à gogo et de la vie de famille pour certains auteurs – à gérer en même temps que leur métier d’écrivain – il est essentiel de l’avoir en tête. Le grand Stephen King lui-même en parlait dans son livre « Écriture : Mémoires d’un métier ». C’est là que j’ai lu ce conseil pour la première fois, avec une ligne directrice à suivre. Pour le maître de l’horreur, il suffit de se couper de tout et de s’enfermer dans son bureau pour ne pas être sujet aux distractions de la vie. Cela vaut surtout quand l’écrivain écrit le premier jet de son histoire. À cet instant, il doit se retrouver seul avec lui-même et ses idées. D’où le précepte, pour être efficace, de s’affranchir de toutes ces distractions.

Il y a une autre personne qui, récemment, m’a aidé dans l’application de ce conseil dont je te parle depuis le début. Il s’agit d’un auteur auto-édité, comme moi. Il s’appelle Jérôme Vialleton et publie des livres remplis de conseils pour les écrivains en herbe. Selon lui, à l’heure actuelle, il faudrait appliquer plusieurs préceptes pour pouvoir toujours suivre la même ligne directrice et se sentir efficace quand on écrit. Pour résumer, selon Jérôme, il faudrait couper toutes les notifications sur son ordinateur et son téléphone, mais aussi couper internet pour éviter les distractions. Pas facile dans la société actuelle. De plus, il faudrait se couper du monde extérieur, ce qui rejoint l’idée de Stephen King de s’enfermer dans son bureau. En somme, ce qu’il nous propose est simple : si on décide d’écrire pendant une heure, on ne fait que ça et on remet le reste à plus tard.


Je dois t’avouer qu’il n’est pas toujours facile d’appliquer tous ces bons conseils. Couper sa connexion internet, je suis d’accord mais parfois on en a besoin pour travailler. Éteindre son téléphone portable, pourquoi pas mais cela reste difficile de nos jours. Quoique le plus dur pour moi, depuis bientôt un an, c’est de travailler en ayant une vie de famille et un petit bébé à mes côtés. Mais le maître mot est de s’adapter, en permanence. Pour ne pas perdre l’objectif de vue : rester efficace dans mon travail d’auteur indépendant.

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UNE RENTRÉE LITTÉRAIRE ACTIVE : UNE NOUVELLE ET UN ROMAN EN PRÉPARATION

Bonjour à toi, Fidèle Lecteur ! Je sais, les vacances sont (déjà) terminées et c’est bien triste… Mais tu as quand même de quoi te réjouir : la plupart de tes auteurs préférés ont travaillé et ils ne sont pas restés complètement inactifs pendant l’été. Et je dois t’avouer une chose : je fais partie de ceux-là. Du coup, j’espère que si tu lis cet article, cela veut dire que je fais partie de ces écrivains dont tu raffoles ! Sans aller jusque-là, tu as peut-être lu un ou plusieurs de mes livres et tu attends la suite avec une petite pointe d’impatience… C’est permis de rêver, non ? Allez, trêve de galéjades, voici ce que je t’ai préparé pour une rentrée littéraire qui s’annonce active, de mon côté, d’ici la fin de l’année.


Un nouveau roman pour le mois de décembre

Tout d’abord, je vais te parler d’un projet qui devrait voir le jour au mois de décembre, si tout va bien : mon prochain roman ! J’avais peur d’être en retard par rapport à mon planning annuel, mais j’ai bien avancé durant l’été. Tout d’abord, j’ai passé plusieurs semaines à corriger mon manuscrit, à ajouter des éléments et à en enlever d’autres. Cependant, depuis bientôt trois semaines, il est parti en bêta-lecture ! Je t’avais d’ailleurs partagé cette information via mes différents réseaux, le 16 août dernier pour être précis. Tu l’as probablement vu passer… Dès qu’il sera revenu, je te dirai si j’ai beaucoup de travail pour parfaire ce futur roman, dont j’ai déjà le titre (même s’il n’est peut-être pas encore définitif). Ensuite, il y aura une autre étape primordiale à effectuer : la correction professionnelle, mais ça aussi je t’en reparlerai en temps voulu !

Si j’ai déjà ce qui sera probablement le titre de ce troisième roman, j’ai tout de même de quoi m’occuper en attendant le retour de bêta-lecture. Tout d’abord, je vais devoir réfléchir à la couverture et contacter la graphiste qui confectionne celles de mes livres depuis cinq ans. J’accorde beaucoup d’importance à cette étape, puisque c’est ce que tu verras en premier de mon nouveau livre. D’ailleurs, je ferai peut-être divers essais et te demanderai ton aide pour choisir. Et puis, il y a la partie marketing, qui se prépare plusieurs mois à l’avance. J’ai déjà une phrase d’accroche, que tu as dû voir passer ici ou là… Par ailleurs, je dois rédiger une quatrième de couverture et préparer mon plan marketing pour le jour J. Comme tu le vois, je ne risque pas m’ennuyer jusqu’au mois de décembre, en espérant ne pas prendre de retard !

Le retour de la newsletter pour une rentrée active

Si tu es abonné à ma newsletter, tu n’as reçu aucun mail durant les deux mois d’été. En effet, j’ai décidé de faire une pause pendant les vacances. Pourquoi ? J’avais besoin de trouver de nouvelles idées pour tenter de t’intéresser à mon quotidien d’auteur indépendant. Sois rassuré : je suis prêt à reprendre le rythme d’un mail par semaine, qui te sera envoyé tous les lundis ! Si tu es déjà abonné, tu as l’habitude de ce que j’y raconte. Je te parle de mon quotidien, bien sûr, mais aussi de tout ce qui tourne autour de mon travail d’auteur. J’évoque également mes doutes et mes réussites. Et, si tu veux en avant-première toutes les exclus concernant mes livres, c’est sur la newsletter que cela se passe. Alors, si ce n’est déjà fait, qu’attends-tu pour t’abonner ?

En plus, si tu rejoins ma petite communauté, tu recevras plusieurs cadeaux lors de ton inscription. En effet, je t’enverrai une nouvelle inédite (pour les gourmands de thriller), une nouvelle extraite de mon dernier recueil (publié en février 2021) et un code promo à utiliser sur ma boutique (si ma plume t’a plu…). Si avec ça je ne te donne pas envie de rejoindre les autres personnes qui sont déjà abonnées, je ne sais plus quoi faire ! Si tu es ici, tu as déjà vu la fenêtre pop-up qui te permet de t’inscrire. Cependant, comme on le fait tous très souvent, tu as peut-être cliqué sur la petite croix en haut à gauche. Je t’invite donc à te rendre ICI si désormais tu souhaites rejoindre ma newsletter.

La surprise du chef : une nouvelle à 0,99 € !

Celle-là, je pense que tu ne t’y attendais pas ! En effet, si j’ai passé mon été à travailler sur mon prochain roman, je t’ai également préparé une surprise… de taille ! Tu veux savoir de quoi il s’agit ? Il faut d’abord que tu saches que les abonnés à ma newsletter ont déjà eu cette information il y a une bonne semaine. Tu sais donc ce qu’il te reste à faire si tu veux toi aussi avoir des exclusivités avant les autres… Quant à la surprise, je ne vais pas te faire languir plus longtemps. Il s’agit d’une nouvelle, que je publierai uniquement au format numérique, sur Amazon et sur Kobo au tarif unique de 99 centimes. Oui, je sais : ce n’est pas cher du tout ! En même temps, cette nouvelle ne fera que quelques pages, il ne faut pas exagérer non plus.

Et ce n’est pas tout. Ainsi, cette nouvelle sera publiée le 17 septembre prochain – jour de mon anniversaire, si ça t’intéresse. Et je te dis cela sans arrière-pensée… Bref, il s’agira en fait du premier volume d’une série qui sortira tous les mois, au moins jusqu’à la fin de l’année. Chaque volume sera au même prix de 99 centimes et quand vous aurez acheté et lu chacun de ces volumes, vous aurez la nouvelle complète, avec son dénouement final. Alors, ça ne vous donne pas envie d’en savoir plus ? Dans les douze prochains jours, je vous révélerai le titre et la couverture du premier volume de la série, en attendant le lien pour l’acquérir sur Amazon ou sur Kobo. Je t’avais prévenu : c’est la surprise de la rentrée !

Et toujours des articles réguliers sur ce blog

Enfin, en cette rentrée 2022 – après quelques mois de pause –, je vais reprendre de l’activité sur ce site. Ainsi, je publierai des articles, deux fois par mois, que je partagerai sur les réseaux sociaux. Tu pourras les retrouver, comme d’habitude, dans la section blog de mon site. Je t’invite d’ailleurs à t’abonner à ce blog si tu veux être sûr de ne louper aucun article. Les sujets de ces articles porteront tout d’abord sur mes projets à venir, comme je le fais régulièrement. Cependant, je continuerai à écrire des chroniques des livres que j’ai lus (à partager tout autour de vous). La première, dans environ quinze jours, sera sur le dernier roman de Cédric Sire que je viens de terminer. Pour finir, j’écrirai également des articles de fond sur mon genre de prédilection : le thriller et l’horreur. Pas mal, non ?


Comme tu peux le voir, la rentrée va être active pour moi. J’ai pas mal travaillé durant l’été et entre la nouvelle en différents volumes et mon prochain roman, tu vas entendre parler de moi d’ici la fin de l’année ! Bien entendu, il ne sera peut-être pas évident de tenir le rythme. Je te rappelle que j’ai un travail salarié à côté de mon activité d’auteur indépendant et que j’ai aussi une famille dont je dois m’occuper. Cependant, le roman est presque terminé et je ne me fais pas de souci pour la série de nouvelles, qui devrait trouver son public. Rendez-vous est donc pris pour le début d’année prochaine, afin de faire le bilan de tous ces projets !

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IL Y A CINQ ANS, JE ME LANÇAIS DANS L’AUTO-ÉDITION…

Je ne vous en ai pas encore parlé : cette année, ça fait cinq ans que je me suis officiellement lancé dans l’auto-édition. En effet, j’ai publié mon tout premier livre en mai 2017 et j’ai, pour l’occasion, ouvert mon auto-entreprise pour pouvoir toucher l’argent des ventes réalisées. Même si le travail autour de ce premier projet avait démarré l’année précédente, c’est bien cette date que je retiens officiellement pour parler du lancement de mon activité d’auteur indépendant.


Certains d’entre vous me suivent peut-être depuis le début. Mais tu as peut-être pris le train en marche. Peu importe. Dans cet article, je souhaite faire le bilan de mes cinq années dans l’auto-édition, enrichissantes mais aussi loin d’être faciles. Pour moi, le point de départ se situe en 2017, au mois de mai, quand j’ai publié mon premier livre : un recueil de trois nouvelles intitulé « Des Aventures Hors du Commun ». Mon premier roman est arrivé un an et demi après, en décembre 2018, suivi d’un second en juin 2020. Par ailleurs, j’ai publié deux nouvelles gratuites (« Selfie », sur Amazon et « Un Meurtre Presque (Im)Parfait » sur mon site internet), ainsi qu’un deuxième recueil de nouvelles, « Le Train de l’Angoisse », en février 2021. Enfin, ma dernière sortie en date est la novella « Le Bébé de Francesca », publiée en novembre dernier.

Si je dois tirer un bilan de ces cinq premières années d’auto-édition, je dirais d’abord que mon activité m’a permis de rencontrer des gens intéressants, venus d’horizons différents. Que ce soit à travers mes lecteurs mais aussi des collègues auteurs, notamment quand je faisais partie de l’association des Plumes Indépendantes. Les interactions sont beaucoup moins présentes depuis le Covid, mais je n’ai aucun doute. Je continuerai de rencontrer des gens formidables grâce à ma passion. Je pense notamment aux salons et aux dédicaces, même si j’en fais assez peu depuis environ deux ans. Par ailleurs, je suis très heureux d’avoir pu toucher les gens qui me laissent régulièrement des messages (sur les réseaux sociaux, par mail ou Amazon). Il n’y a pas mieux comme retour que d’avoir votre avis sur mes livres ou ce que je raconte dans ces articles, voire dans mes newsletters. MERCI À VOUS D’ÊTRE LÀ.

D’un autre côté, je me remets souvent en question, surtout cette année. Je suis loin de vivre de cette passion, qui ne me rapporte pas de véritable salaire. Les revenus sont irréguliers et mis à part ma famille et quelques fidèles lecteurs, il m’est difficile d’aller chercher un nouveau lectorat. Je sais que la route est encore longue, que je ne dois rien lâcher, mais ce n’est pas toujours facile de garder la même motivation. En ce moment, par exemple, c’est même difficile. Cependant, quand je vois que mon dernier livre (« Le Bébé de Francesca ») continue à faire parler, à faire des ventes et possède déjà 55 évaluations en six mois de durée de vie, je suis rassuré. Je pense que je devrais peut-être avoir une approche plus originale en terme de promotion de mon travail, et j’ai déjà quelques idées en tête pour la rentrée de septembre…

Ce que je veux te montrer à travers cet article, c’est qu’il y a du positif dans cette activité que je n’ai aucunement envie d’arrêter. Écrire, c’est toujours une passion. Je prends plaisir à construire des histoires et à vous les laisser entre les mains. J’ai toujours plein d’idées dans la tête et quand je suis devant mon ordinateur, le plaisir est toujours le même. Cependant, comme tous les auteurs (enfin, j’imagine), j’aimerais vivre de cette passion et ne plus avoir à remplir le frigo avec une activité salariée. Ce que je ne peux pas encore faire. Voilà qui nourrit parfois ma frustration, car ce travail en plus de mon activité d’écriture me prend pas mal de temps… Ajoutez à cela que j’ai un bébé de désormais huit mois, et vous comprendrez pourquoi j’ai dit que cette année était peut-être plus difficile, en terme de motivation, que les autres !


Bref, toi qui lis cet article, sois rassuré : je ne viens pas t’annoncer la fin de mon travail d’auteur indépendant, après cinq années de dur labeur. Je vais m’accrocher et continuer à travailler sur mon prochain manuscrit. Je vais essayer de nouvelles approches pour essayer d’attirer l’attention de nouveaux lecteurs et, qui sait, peut-être qu’un jour je parviendrai à vivre de ma passion. En attendant, je continuerai à en rêver, tous les soirs, au moment de fermer les yeux pour m’abandonner dans les bras de Morphée.

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QUE FAIRE DE CE FICHU SYNDROME DE L’IMPOSTEUR ?

Comme beaucoup d’artistes et d’auteurs, je ne suis pas épargné par ce compagnon qui, parfois, fait trop entendre le son de sa voix. Elle est agaçante et en plus, quand elle s’immisce dans votre cerveau, elle s’y sent bien au chaud et ne veut plus vous quitter… Bref, je vais te faire part ici, Fidèle Lecteur, de mes doutes, mais aussi des points positifs qui devraient (normalement) m’aider à les lever !


Commençons par mes doutes. J’en ai déjà parlé, je suis en pleine écriture de mon prochain roman. Il s’agit d’un premier jet qui avance bien mais je n’arrive pas à m’en satisfaire. Après tout, ça reste un premier jet et je ferai tout pour le perfectionner. Quitte à devoir en réécrire de nombreuses scènes… Deuxième chose sur laquelle je doute : la direction à suivre concernant ce site. Je me demande si je dois continuer à publier des articles tous les 15 jours, pour une trentaine de personnes (ou alors, je devrais mieux choisir mes sujets…). Par ailleurs, ma boutique ne fonctionne pas. Je n’ai aucune notion de gestion d’une boutique sur le web, je l’ai un peu créée à l’arrache et j’ai vendu un seul livre depuis que je l’ai ouverte. Cela coûte de l’argent et prendrait du temps de la retravailler, alors à quoi bon la garder ?

Enfin, j’ai également des doutes concernant les autres projets que je prépare pour 2022. Je me demande s’il est utile que je publie une nouvelle gratuite pour tenter d’étendre mon lectorat ; par ailleurs, j’ai du mal à me projeter sur ce que j’ai appelé mon projet secret. Je ne sais pas si je dois me lancer là-dedans ou dans un autre projet sur lequel j’aimerais travailler : un thriller historique, avec une enquête qui se déroulerait il y a plusieurs siècles, au Moyen-Âge, par exemple. Et puis il y a cette idée de faire un nouveau podcast, après l’échec de Thriller, que j’ai décidé d’arrêter parce qu’il ne fonctionnait pas et que l’idée de départ n’était pas la bonne. Comme tu vois, je suis en plein questionnement. Ce fichu syndrome de l’imposteur bat son plein dans ma tête et il me met le doute sur pleinde choses.

Pourtant, j’ai relevé plusieurs points de satisfaction qui montrent que mon activité progresse, que je ne dois pas lâcher ! Au mois de janvier, six nouvelles personnes ont rejoint ma newsletter. Ensuite, si on compare mon chiffre d’affaire de janvier 2022 avec janvier 2021, il y a un net progrès : plus de 50 € contre… rien ! Si je vais plus loin, j’ai réalisé mes deux meilleurs mois en novembre et décembre. De quoi me pousser à continuer quand j’ai des doutes… Enfin, j’en suis déjà à 34 évaluations sur la novella « Le Bébé de Francesca ». Et même si la note a du mal à dépasser les 4/5 sur Amazon, c’est super, non ? En plus, je devrais faire de nouvelles séances de dédicaces, notamment au Cultura de Bègles (je devrais avoir une date pour mars) et un salon dans le sud de la Gironde en août.


Pour conclure et ne pas t’embêter plus longtemps avec mes états d’âme, mes livres ne se vendent pas si mal que cela pour un auteur indépendant, mais j’aimerais vraiment passer à l’étape supérieure (et à terme, vivre de ma plume). Ce qui passe par des séances de dédicaces, bien sûr, mais aussi des choix à faire parce que je n’ai pas le temps, pour l’instant, de réaliser tout ce que je souhaiterais…

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POURQUOI DEVRAIS-TU T’INSCRIRE À MA NEWSLETTER ?

Salut à toi, Cher Lecteur ! Voilà ma question de la semaine, simple et basique : pourquoi devrais-tu t’inscrire à ma newsletter ? Comme je suis sympa, je t’en donne déjà la raison principale. Cette année, je vais mettre moins d’images dans mes mails, et donc plus de texte. Ne t’y méprends pas : je vais essayer de t’écrire des choses intéressantes et je te parlerai plus personnellement de moi, de ce que je fais dans mon quotidien d’auteur et des surprises qui t’attendent pour cette année 2022. Mais ce n’est pas tout…


Avant de démarrer mon argumentaire, je souhaiterais te partager le mail de Bruno, un lecteur qui s’est abonné il y a peu à ma newsletter. Bruno m’a contacté par mail, suite à son inscription, pour que je lui envoie la nouvelle « Selfie » au format PDF. D’après ce que j’ai compris, il a été impressionné que je lui réponde. Voici ce qu’il m’a écrit : « Wouha, réponse rapide, j’adore ! Merci beaucoup !! » Eh oui, si tu m’écris, je te répondrai… je fais l’effort de répondre à tout le monde ! Pour en revenir à la newsletter, voilà pourquoi tu devrais t’y inscrire (pas seulement pour recevoir des réponses). Cette année, je vais écrire plus et mettre moins d’images et de liens pour éviter que mes mails ne tombent dans tes spams. C’est déjà un point important si je veux être lu, tu ne crois pas ?

Comme tu peux le voir, j’ai enfin compris une des raisons qui va me pousser à écrire plus dans ces newsletters et à oublier les photos. En effet, les images intéressent peu les lecteurs ; ce qui est important, c’est que je te parle de moi, de mes projets, que je te montre les dessous du métier… Et en plus, les images font tomber les mails dans les spam. Quel idiot j’ai été de ne pas y penser avant ! Bon, mis à part ces révélations, tu devrais aussi t’abonner à ma newsletter pour recevoir des informations exclusives, que les autres n’auront pas (ou plus tard, dans un article comme celui-ci, par exemple). Là, tu vas apprendre que j’ai sérieusement commencé à réfléchir à l’un des projets que je compte publier en cette année 2022, normalement lors du premier semestre.

Si tu as lu le dernier article que j’ai publié, tu te souviens que j’ai parlé de la publication d’un nouveau livre gratuit, qui sera une nouvelle d’une dizaine de pages. Il y a quelques jours, j’ai réfléchi au texte que je voulais t’offrir à toi, Cher Lecteur. Je me suis dirigé vers un manuscrit dont j’ai écrit le premier jet en fin d’année dernière. Il s’agit bien d’une nouvelle. Je vais d’ailleurs devoir la retravailler. En effet, je n’en suis pas satisfait à 100%. D’ailleurs, j’en viens à me demander si c’est une bonne idée, si je ne devrais pas repartir de zéro et écrire un autre manuscrit… Mais comme je suis en pleine écriture du premier jet de mon prochain roman, que je compte publier à la fin de l’année 2022, je me sens un peu perdu !


Voilà une dernière chose que je partage dans mes newsletters : outre l’avancée de mes projets, mes sentiments et les doutes que je peux rencontrer. Je t’en ai parlé ici, dans cet article, mais c’est avant tout pour faire écho à un mail envoyé à mes abonnés il y a deux semaines déjà. Si tu t’abonnes, tu auras tout cela en avant-première. Avant les lecteurs moins fidèles, qui peut-être ne sauront jamais tout ce que tu sauras. Cela ne tient qu’à toi de me rejoindre. Si cela t’intéresse, je t’encourage à cliquer ICI. Merci d’avance, et à bientôt.

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PARTENARIATS 2022 – SOUHAITEZ-VOUS QU’ON COLLABORE ENSEMBLE ?

Comme chaque année, le mois de janvier est l’occasion pour moi de lancer une nouvelle campagne de partenariats ! Pendant trois semaines, jusqu’au 6 février prochain, vous pourrez donc déposer votre candidature pour l’année 2022, où j’aurais plusieurs projets à proposer à mes lecteurs. Vous souhaitez en savoir plus sur ce partenariat ? Je vous explique tout, et je vous détaille comment nous pourrions travailler ensemble.


Le partenariat : explications

Tout d’abord, laissez-moi vous expliquer ce qui, selon moi, se cache derrière ce terme de partenariat. Il s’agit d’un vrai échange. Je recherche des gens qui tiennent un blog ou un compte Instagram et pourront rédiger une chronique qui sera ensuite partagée sur les réseaux sociaux. En échange, je vous offrirai mes différents livres, gratuitement (en numérique ou en format papier), et je partagerai à mon tour votre travail (partage de votre site, de votre compte et pourquoi pas une interview qui apparaîtra dans la section blog de mon site, comme je l’avais fait en 2020 pour Morgane Rocher). Je n’en demande pas plus ! Mon souhait est d’avoir des relations plus personnelles avec les chroniqueurs que je choisirai, avec qui je pourrai discuter de mon travail, du leur et de notre passion pour l’écriture et la lecture. Ils seront également tenus au courant de mes actualités avant les autres…

Alors, ça vous dit de me travailler avec moi ?

 

Quel(s) livre(s) et sous quel format ?

Si vous devenez partenaire, ce sera jusqu’à la fin de l’année. Si vous avez lu l’article que j’ai publié il y a deux semaines, où je parlais des projets à venir, vous aurez une idée des livres que vous pourrez découvrir en avant-première et chroniquer. Pour commencer, il y aura un livre gratuit, en numérique, publié lors du premier semestre 2022. Il s’agira d’une nouvelle, dans mon genre de prédilection : le thriller. Ensuite, vous aurez le privilège de découvrir mon troisième roman, publié en fin d’année (début décembre, peut-être un peu avant). Ce sera la grosse sortie de l’année pour moi, et vous aurez le loisir de le lire quelques semaines avant tout le monde (en broché ou en numérique, au choix) ! Enfin, je travaille sur un projet secret, qui n’est pas sûr d’aboutir mais si je parviens à le réaliser, vous serez les premiers à le savoir.

Comment devenir partenaire ?

Rien de plus simple, il vous suffit de postuler en remplissant LE FORMULAIRE SUIVANT (il vous suffit de cliquer, le lien s’ouvrira automatiquement dans une nouvelle fenêtre). Et si jamais vous avez envie de lire un autre de mes livres et d’en publier une chronique, il vous faudra me contacter par mail (ygiammona@hotmail.fr) ou via le formulaire de contact. Il s’agira de ce que l’on appelle communément un Service Presse, et nous pourrons voir cela ensemble.

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PAUL GUÉRIN, PERSONNAGE CENTRAL DANS « LE BÉBÉ DE FRANCESCA », EN INTERVIEW !

Pour fêter le premier mois de la sortie de la novella « Le Bébé de Francesca », je suis allé interviewer un des personnages centraux de l’histoire : Paul Guérin, le père de Martin, ce bébé si particulier… Découvrez ci-dessous ces réponses à mes questions et la façon dont s’est déroulée la mise en place de l’intrigue, autour de quelques personnages hauts en couleur !


Bonjour Paul, comment vas-tu depuis la sortie de la novella « Le Bébé de Francesca » ?

Bonjour Yannick, je vais très bien, je te remercie. Je me remets petit à petit de cette belle aventure humaine. C’était un travail très intense pendant l’écriture de l’intrigue, tu as été très exigeant mais le résultat vaut le coup. Je suis heureux de ce premier mois de vie du livre, il a l’air de plaire aux premiers lecteurs qui ont eu la chance de le découvrir.

Comment était-ce de faire vivre cette histoire avec un bébé d’un an et demi ?

Je dois avouer que cela n’a pas été facile tous les jours. Travailler avec un enfant aussi jeune peut avoir des mauvais côtés. Il fallait respecter son rythme, que ce soit pour les repas ou le sommeil. Grâce à toi, on a pu s’adapter et construire l’intrigue autour de lui, au fil du temps. Mis à part cela, ce fut très intéressant d’être avec un bébé. Il ne parle pas, mais certaines scènes avec lui ont été géniales à jouer. Notamment la scène de fin, où il a fallu faire preuve de beaucoup d’imagination… Mais je ne vais rien en révéler ici, je ne voudrais pas spoiler ton livre !

Il y a tout de même une chose que l’on peut révéler : le personnage de Francesca est décédé, et elle est absente durant tout le livre. D’où ma question : Francesca existe-t-elle vraiment ?

Le personnage existe vraiment, oui ! Paul, c’est-à-dire moi-même, j’ai été marié à elle. Nous avons ensuite divorcé, quelques temps avant le début de l’intrigue, justement à cause de Martin. C’est un bébé particulier que tu as créé, puisqu’il possède un pouvoir… Hors du commun. En revanche, non il n’y a personne qui a joué son rôle. C’est un personnage fictif, et comme elle n’apparaît pas vivante dans ta novella, je pense que tu n’as pas jugé utile de faire intervenir quelqu’un pour jouer une défunte. Mais ça aurait pu être marrant de la faire vivre à travers quelques flashback, puisqu’il y en a dans le livres…

C’est vrai, oui. C’est une idée qui m’a traversé l’esprit mais j’ai préféré la laisser de côté. Parlons désormais du capitaine Charras, pour continuer avec les autres personnages du livre. Est-il un gentil flic, ou un flic bourru et désabusé ?

Dans le livre, ce personnage est plutôt brut de décoffrage, il agit un peu avant de réfléchir, je dirais. Il semble aussi désabusé après des années passées dans les forces de police. Par ailleurs, il va vite se retrouver perdu avec ce bébé aux capacités surnaturelles. N’y croyant pas au début, il ne saura pas vraiment quoi faire de lui et comment conclure son enquête. Cependant, le flic que tu as décrit dans ton livre n’a rien à voir avec le flic tel que je le connais dans la vraie vie. Le capitaine Charras semble être une personne normale, plutôt joviale d’après ce que j’ai pu voir de lui. Je l’ai un peu suivi dans son job, il le fait avec sérieux mais il est loin d’en avoir marre. Il peut même se montrer drôle, à faire des blagues à ses collègues !

Comment as-tu réussi à faire vivre les scènes d’horreur où on voit le pouvoir de Martin s’en prendre à toi physiquement ?

Comme je le disais tout à l’heure, c’était tout sauf évident, mais c’était plutôt marrant à jouer. En fait, j’avais Martin en face de moi. C’est-à-dire un bébé tout à fait normal, assis dans sa chaise haute, qui me regardait et qui parfois me souriait. Puis, j’ai dû imaginer ce que tu voulais qu’il me fasse vivre. J’ai dû faire abstraction du joli petit chérubin que j’avais en face de moi et imaginer les pires horreurs. Il faut dire que j’ai une bonne imagination, tout comme le capitaine Charras, d’ailleurs. Pour la scène finale, nous sommes parvenus à nous mettre en adéquation. On savait exactement où on voulait aller, l’un comme l’autre. Le résultat est réussi. Enfin, je pense. On a fait plusieurs tentatives, qui ont nécessité plusieurs réécritures de ta part. Au final, quand on a lu le rendu avec toi, tout le monde était satisfait ! Même toi, c’est pour dire…

Justement, cela amène à ma dernière question : comment m’as-tu trouvé pendant tout ce temps où nous avons travaillé ensemble ? Dirais-tu que je suis un écrivain sympa, qui te donnais la bonne direction à suivre ?

Ah oui, tu es très sympa, il n’y a rien à dire. On a toujours travaillé dans une bonne ambiance, malgré toutes les questions que tu as pu te poser pour maintenir la cohérence du récit et intéresser tes lecteurs. En même temps, je t’ai trouvé exigeant. Ce qui a parfois du bon, et parfois du moins bon. Tu as enlevé des passages du livre que j’aurais peut-être gardé, parce que je trouvais qu’on – les personnages – avait fait du bon boulot. Après, tu as su être à l’écoute, notamment des conseils de tes bêta-lectrices. Non, franchement si je devais à nouveau travailler avec un auteur comme toi, ce serait avec plaisir. En plus, pour répondre à la fin de ta question, oui tu donnais bien la direction à suivre. Quand c’était clair dans ta tête, tu savais nous expliquer où tu voulais en venir. On en discutait un jour avec le capitaine Charras, qui n’a pas toujours un rôle évident dans cette histoire. Grâce à toi, nous avons réussi à créer un bon rendu.


Je tiens à remercier Paul Guérin, qui a bien voulu se prêter au jeu des questions/réponses. Bien entendu, vous aurez compris que cette interview est fictive, et que les réponses n’engagent que moi. J’ai bien aimé me prêter à cet exercice, qui je l’espère vous donnera envie de découvrir « Le Bébé de Francesca ». Je vous encourage d’ailleurs à me dire ce que vous en avez pensé, et si vous aimeriez avoir une interview d’un autre personnage du livre (le capitaine Charras, par exemple ?).