Publié le Laisser un commentaire

ET SI ON PARTAIT À LA DÉCOUVERTE DE LA LIBRAIRIE DES AUTEURS INDÉPENDANTS ?

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Après une pause estivale bien méritée, je vais essayer d’écrire plus régulièrement des articles sur mon blog, afin de te partager ce qu’il se passe dans mon univers… enfin, on pourrait plutôt parler de microcosme, chacun son point de vue ! Si tu me suis sur les réseaux sociaux, tu as pu voir il y a quelques mois que mon dernier roman est en vente dans une librairie : la librairie des auteurs indépendants ! L’occasion pour moi de te la présenter, et de te parler de la personne qui fait vivre ce lieu unique de partage et d’évasion…


Cette librairie se situe dans la Creuse, à Evaux-les-Bains, et elle a été créée par une auteure ! Oui, tu as bien lu. Si tu ne la connais pas encore, il s’agit de Stéphanie Munch, qui offre un sanctuaire aux livres autoédités dans sa librairie : Le Coin des Indés. Âgée de 45 ans, Stéphanie est elle-même autrice auto-éditée, spécialisée dans le fantastique et l’horreur. Elle a eu envie de mettre en avant ses pairs, voilà pourquoi elle a créé cette librairie qui a ouvert ses portes le 22 avril dernier. Je n’ai pas encore eu la joie d’aller visiter sa petite boutique, mais j’ai pris contact avec Stéphanie pour y exposer mon dernier thriller, « Les Anonymes ». Et je dois t’avouer que je ne suis pas peu fier de voir mon livre dans une librairie, une grande première pour moi !

Tu es un auteur indépendant et tu ne connais pas encore Stéphanie Munch ? Il est temps de réparer ton erreur ! Si tu prends contact avec elle, après quelques questions, la lecture de quelques pages de ton livre et un échange cordial par mail, elle acceptera certainement que tu lui envoies ton roman. Qui de mieux, d’ailleurs, que Stéphanie elle-même pour parler de sa librairie ? Le 24 août dernier, une interview est parue sur le site de Sophie Lim Auteur, où la fondatrice de cette librairie donnait quelques détails sur le nombre d’auteurs qui étaient exposés chez elle : « À ce jour, la librairie compte une centaine d’auteurs, 129 références et un total de 350 livres en rayon. » Comme vous le voyez, Stéphanie ne fait pas de discrimination, tout le monde peut être accepté, le tout est de remplir les conditions requises !

Pour ce qui est du côté pratique, si tu habites du côté d’Evaux-les-Bains, voici les jours d’ouverture de la librairie de Stéphanie Munch : « La librairie est ouverte du lundi au vendredi, de 15h à 18h. Mais pour les jours spéciaux, comme le 15 Août, j’ouvre également le matin. » Enfin, si tu es toi aussi auteur indépendant et que tu souhaites prendre contact avec Stéphanie, voici ces fameuses conditions requises, dont je t’ai parlé, pour soumettre ton livre à la librairie : « Être autoédité, avoir corrigé son livre et m’envoyer des extraits par mail. Je suis ouverte à tous les genres et à tous les styles, mais le critère absolument essentiel, c’est d’être passé par la case correction. » Normal, on ne vend pas n’importe quel livre en librairie. En tout cas, on peut remercier Stéphanie pour son initiative, qui peut nous aider à nous faire connaître.


Voilà, maintenant tu en sais plus sur cette librairie réservée aux auteurs en auto-édition. Si tu veux en savoir plus, je t’invite à découvrir le compte Instagram de la librairie, où Stéphanie Munch publie régulièrement les nouveautés qu’elle expose et les événements qu’elle met en place. N’est-ce pas là une belle initiative ? Qu’en penses-tu ?

Publié le Laisser un commentaire

CHRONIQUE – LA SAIGNÉE, CÉDRIC SIRE

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Comme tu dois t’en douter, avant d’être un écrivain je suis un lecteur. Et pour ce nouvel article, je voulais chroniquer le dernier livre que j’ai lu : « La Saignée », de Cédric Sire. Pourquoi ce choix ? Parce que j’ai découvert cet auteur avec « Vindicta », que j’avais beaucoup apprécié. J’avais donc d’énormes attentes sur ce nouveau thriller, dont je vais te parler tout de suite. Et sans tout te spoiler, je vais te révéler ce qui m’a plu dans ce livre, et ce qui m’a moins conquis. Prêt ? C’est parti !


Synopsis : âmes sensibles, s’abstenir !

Avant de vous livrer mon avis sur ce livre que beaucoup ont déjà dû lire, je vais partager avec vous le résumé de l’histoire de Cédric Sire que j’ai pu trouver sur Amazon. Un synopsis qui démarre de la plus belle des manières, par la phrase suivante : une plongée dans un monde où chacun doit affronter ses démons. Ce résumé n’en dit pas trop et j’espère qu’il donnera envie à celles et ceux qui n’auraient pas encore lu ce roman de se plonger dedans !

Estel Rochand a été écartée de la police à la suite d’une terrible bavure qui a causé la mort d’une innocente. Sa vie est en miettes, son couple à la dérive. Désormais garde du corps de seconde zone, cette ancienne championne de boxe se fraie un chemin dans l’existence comme elle l’a toujours fait : à coups de poing. Prise dans un engrenage infernal, Estel a de plus en plus de mal à contrôler ses accès de violence. Quentin Falconnier, policier spécialisé en cybercriminalité, enquête sur un site du Dark Web, qui propose des vidéos de torture et de mise à mort en direct. Qui peut bien se cacher derrière cette « red room » appelée La Saignée, diffusant des meurtres à la perversité absolue ? Le jeune homme se lance corps et âme dans cette nouvelle croisade. Coûte que coûte. Un terrible compte à rebours a commencé.

Points positifs : la plume de l’auteur et le suspense

Déjà, il faut savoir que j’ai découvert la plume de Cédric Sire seulement l’année dernière, quand j’ai lu son best-seller, « Vindicta ». J’avais beaucoup apprécié ce livre, que j’avais d’ailleurs chroniqué sur ce blog. C’était une belle découverte pour moi, et ce roman dont j’avais entendu beaucoup de bien m’avait rapidement conquis. Voilà pourquoi j’ai eu envie de lire « La Saignée ». D’ailleurs, j’ai été très heureux de retrouver la façon d’écrire de cet auteur, qui nous emmène toujours dans une direction qui n’est pas la bonne à suivre. Je pense qu’il prend un malin plaisir à semer de faux indices, qui vont nous faire croire qu’un personnage peut être coupable d’un délit ou d’un meurtre, alors qu’en fait il nous prend à contre-pied à la fin du roman. Sur ce plan-là, Cédric Sire a plutôt réussit son travail, selon moi, dans son dernier roman.

De plus, il y a autre chose que j’apprécie beaucoup quand je lis cet auteur. En effet, il nous amène à réfléchir. Rien n’est jamais acquis dans ses histoires. On doute de la culpabilité de certains personnages et ce n’est qu’au fur et à mesure qu’on peut les innocenter pour découvrir qui sont les vrais coupables. Il y a du sang et c’est parfois violent, ce qui a pu gêner certains lecteurs dont j’ai pu lire les commentaires ici ou là (après ma lecture, je ne voulais pas me faire spoiler…). Pour ma part, cela ne me dérange pas du tout, car je suis un grand amateur de thriller. Et, comme quand j’écris dans ce genre littéraire, j’aime quand il y a de l’action et du sang, donc c’est encore une autre raison qui m’a fait apprécier « La Saignée », du début à la fin !

Faiblesses : beaucoup de personnages et d’histoires parallèles

Comme rien n’est parfait, il y a cependant quelques petites choses que j’ai moins apprécié dans ce roman de Cédric Sire. Dans « La Saignée », je trouve qu’il y a trop de personnages et qu’il ne sont pas assez exploités en profondeur. On connaît leur caractère général, mais leurs histoires personnelles – et notamment leur passé, qui est souvent évoqué en quelques mots seulement – ne sont pas assez développées à mon goût. Je vais illustrer cela avec deux exemples. Les deux flics sont des personnages centraux de l’histoire, dirait-on, mais j’ai eu l’impression de les connaître sans vraiment les connaître à la fin de ma lecture. Par ailleurs, le personnage d’Estel a une histoire qui est explorée plus en profondeur, mais on ne connaît pas tous les éléments de son histoire (même si on découvre son passé avant la fin du roman).

Enfin, j’ai trouvé que l’on se perdait un peu dans les histoires parallèles à l’intrigue principale. Il y a quelques longueurs qui, à mon sens, auraient peut-être pu être évitées. Cela donne parfois une impression d’inachevé. Ou alors, on pourrait croire que l’auteur n’a pas voulu développer certaines mini intrigues pour ne pas perdre le lecteur. Cependant, si elles ne servaient pas l’intrigue principale, pourquoi les garder ? Je n’ai pas de réponse à apporter à cette question, seulement j’ai trouvé cela dommage même si ces faiblesses dont je parle ne m’ont pas empêché de passer un bon moment quand j’ai lu « La Saignée ».


Pour conclure, j’ajouterai que « La Saignée » reste à mon goût un très bon roman, grâce à la plume aiguisée de Cédric Sire. Qui, s’il faut le préciser, reste un grand auteur de thrillers. Cependant, et cela ne reste que mon avis personnel (je préfère le préciser avant de recevoir des tonnes de messages incendiaires), j’ai préféré « Vindicta » à ce roman. Et toi, tu as lu « La Saignée » ? Qu’en as-tu pensé ? Je t’invite à me laisser un petit commentaire, ton avis m’intéresse maintenant que tu as lu le mien !

Publié le Laisser un commentaire

QUI SONT MES PARTENAIRES POUR L’ANNÉE 2022 ?

Comme chaque année, j’ai lancé un appel au partenariat via un article publié sur ce blog, il y a quelques semaines. J’ai mis un peu de temps à prendre en compte les inscriptions et à les accepter, mais c’est bon, on y est ! En 2022, j’aurais ainsi quatre partenaires privilégiés, que je vais vous présenter ici.


Avant de vous présenter ces quatre personnes, je souhaitais vous rappeler que pour moi, le partenariat est une relation privilégiée entre l’auteur et des lecteurs proches (ou des chroniqueuses). Cela doit être un échange donnant-donnant. Voilà pourquoi j’essaierai de vous parler de ces partenaires, à travers des interviews ou des articles de blog, dans le courant de l’année. J’avais déjà interviewé une de mes partenaires en 2020, qui renouvelle son « contrat » pour la troisième année consécutive ! Nous allons d’ailleurs commencer avec elle : Morgane Rocher, une auteur qui est aussi une fidèle lectrice. Comme les trois autres partenaires, elle pourra découvrir mes publications en avant-première, pour en parler autour d’elle le jour de la sortie et m’aider à faire connaître mes livres. Avec Morgane, l’échange est bien engagé : je l’avais interviewée en 2020 et elle vient de publier une interview de moi-même sur son site !

En ce qui concerne mes autres partenaires, il y a parmi elles (oui, il s’agit de quatre lectrices, pour tout vous dire) Nathalie, une autre fidèle lectrice qui me suis depuis quelques temps déjà et n’hésite pas à répondre aux newsletters que j’envoie chaque lundi, pour mon plus grand plaisir. Nathalie est une grande fan de thrillers, d’après ce que j’ai compris. Ce qui m’arrange bien et j’espère qu’elle appréciera mes prochains manuscrits quand je lui ferai découvrir en avant-première ! Car c’est aussi ça, le partenariat : envoyer mes textes pour de la betâ-lecture ou pour que mes lecteurs les plus fidèles m’aident à les relayer pour atteindre le plus de lecteurs possibles. Nathalie, je te souhaite la bienvenue parmi mes partenaires, au plaisir d’échanger encore avec toi par mail.

Enfin, il y a deux petites nouvelles qui me rejoignent cette année : Sonia et Virginie. Je ne connais pas encore ces deux personnes, mais je peux vous transmettre les informations dont elles m’ont parlé lors de leur candidature pour le partenariat. Sonia semble être habituée à offrir ses services pour de la bêta-lecture, en tout cas elle vient de lire ma novella « Le Bébé de Francesca » et a publié son retour sur Amazon : si j’en crois ce qu’elle a écrit, elle a bien apprécié ce livre et mon style, je suis donc soulagé car ce partenariat comment à merveille. Quant à Virginie, elle publie des chroniques sur un site (https://www.sfmag.net/index.php) et m’a parlé d’un blog littéraire à venir au mois de mars. Je pense qu’elle chroniquera des livres qu’elle a lu et ce sera donc une belle plate-forme pour mes propres publications. Affaire à suivre !


Voilà, je vous ai parlé des quatre partenaires qui m’épauleront en 2022 pour les sorties que j’ai déjà prévu, et que vous pouvez retrouver dans cet article où je les avais présentées. Bientôt, je parlerai de ces quatre personnes plus en détails à travers les articles que je publie sur mon blog deux fois par mois…

Publié le Un commentaire

CHRONIQUE – CÉDRIC SIRE, VINDICTA

Ma dernière chronique de livre, qui portait sur le thriller « Urbex Sed Lex » de Christian Guillerme, vous a partagé. Avec celle-ci, je pense que nous serons tous d’accord : « Vindicta » de Cédric Sire est un pur chef-d’œuvre ! Et je ne mâche pas mes mots, ce roman étant un de mes coups de cœur de l’année. Allez, suivez-moi je vous explique pourquoi je l’ai tant aimé…


Une belle découverte

Comme pour Christian Guillerme, je ne connaissais pas Cédric Sire avant de découvrir « Vindicta ». D’une part, je me suis laissé porter par les publications que j’ai pu voir sur des groupes Facebook sur lesquels je suis. Par ailleurs, j’ai beaucoup vu passer ce roman sur Instagram, donc je me suis dit que j’allais devoir m’y intéresser. D’un autre côté, Céline Spreux (une collègue auteur mais aussi une bêta-lectrice de ma dernière novella) m’avait conseillé ce livre, je l’ai donc suivi presque les yeux fermés. Après avoir été déçu par « Urbex Sed Lex », pour des raisons qui n’engagent que moi, j’avais peur de ne pas me laisser emporter par la plume de Cédric Sire. Mais bon, je me suis dit qu’il fallait bien découvrir de nouveaux auteurs, notamment dans ce genre que j’affectionne tant et dans lequel j’écris moi-même. Pour la bonne cause, si je puis dire.

« Vindicta » m’a rapidement conquis

Au bout de quelques pages, à peine plus d’une centaine, j’ai envoyé un message à ma collègue Céline. Pour la remercier de son conseil, car j’adorais déjà le livre de Cédric Sire ! Il faut savoir que Céline m’avait conseillé de le lire pour me permettre de progresser, suite à la bêta-lecture de ma dernière novella. Mission accomplie, et en plus j’y ai pris du plaisir. Dans ce roman, il y a tout ce que j’aime dans un thriller : du suspense, des rebondissements, du sang, des personnages forts et parfois sarcastiques. Que dire de plus ? Pour un livre qui fait quasiment 800 pages, on ne s’ennuie jamais et il est impossible de prévoir à l’avance ce que Cédric Sire nous prépare. Je n’ai qu’une chose à lui dire : chapeau, vous avez réussi votre coup et je comprends pourquoi tout le monde adore « Vindicta » !

Cédric Sire, un auteur à découvrir

Sur la couverture de « Vindicta », Cédric Sire est encensé par Franck Thilliez. Un autre auteur de thriller que j”affectionne. Si je ne me range pas encore dans la même catégorie que ces deux créateurs de best-sellers, je souhaiterais les rencontrer un jour dans le cadre de mon métier d’écrivain, et échanger avec eux. Je ne veux pas rentrer plus dans le détail concernant « Vindicta », à part pour vous encourager vivement à le lire. Pour ma part, j’attends impatiemment les fêtes pour me faire offrir « La Saignée », le dernier thriller de Cédric Sire. Pour finir, je dirais que ces deux auteurs que je viens d’évoquer sont une vraie source d’inspiration pour mon écriture, et même si je suis encore loin de leur talent, j’espère un jour pouvoir rivaliser avec eux et offrir à mes lecteurs autant de suspense et de joie de lire.


Toi aussi tu as lu « Vindicta » ? Je t’invite à me dire pourquoi tu as aimé ce livre et à échanger avec moi pour en savoir plus suite à ma petite chronique. Et si tu as également lu « La Saignée », tu peux aussi m’en parler, sans me spoiler l’histoire, bien sûr !

Publié le Laisser un commentaire

TOUT CE QUE TU DOIS SAVOIR SUR “LE BÉBÉ DE FRANCESCA”

Si tu me suis, tu sais que ce lundi 22 novembre 2021 est une date particulière pour moi. Eh oui, c’est aujourd’hui que sort officiellement mon cinquième livre, une novella intitulée “Le Bébé de Francesca”. Je me suis demandé ce que je pourrais faire pour te donner envie de la découvrir, et j’ai eu l’idée de te dire tout ce que tu dois savoir, sans trop t’en dévoiler non plus…


Les principaux personnages

Il y a trois personnages au cœur de cette histoire. Ils se côtoient tout au long de l’intrigue et tu n’es pas à l’abri que l’un d’eux te fasse un petit peu peur…

  1. Martin, un bébé de dix-huit mois. Tu le découvriras rapidement, il n’est pas un enfant comme les autres. Pas seulement aux yeux de Paul, son père. Le capitaine Charras va l’apprendre à ses dépens mais… Chut, je ne t’en dirai pas plus, pas de spoiler non plus !
  2. Paul Guérin, le père de Martin. Plusieurs fois convoqué par la police, il va se retrouver perdu, à devoir s’occuper seul de son fils. Dans un premier temps, il va être dépité de voir que le capitaine Charras ne l’écoute pas et je tienne pas compte de ses avertissements concernant Martin. Jusqu’au moment où il sera trop tard…
  3. Le capitaine Maxime Charras, un capitaine de la police de Bordeaux. Ce policier est amené à enquêter sur une affaire qui le fera rencontrer Paul Guérin et son fils. Il croira d’abord que Paul est son principal suspect, mais un événement surnaturel le fera changé d’avis. Il assistera enfin à une scène d’une violence inouïe, qui le changera à tout jamais.

Quid de Francesca dans tout cela ? Car son nom est bien dans le titre, me direz-vous ! Je vous laisse découvrir qui est ce personnage et surtout, ce qu’il lui est arrivé…

Les thèmes

Le premier d’entre eux est la relation tendue entre un père et son fils d’un an et demi. Le père, Paul Guérin, se retrouve seul à s’occuper d’un enfant qui lui fait peur. Pourquoi le craint-il ? Je te laisse le découvrir mais il faut retenir que ce thème est au cœur du livre.

Autre thème de ce livre : la télékinésie. Il s’agit d’un pouvoir surnaturel, qu’un des personnages détient. Tu vas découvrir les tenants et les aboutissants d’un tel pouvoir, qui peut s’avérer être désastreux, notamment pour l’entourage de celui qui le possède.

Enfin, le dernier thème est l’enquête policière, qui pourtant n’est pas centrale dans cette novella. Cependant, elle est bien là, menée par le capitaine Charras et les trois autres policiers qui forment son équipe. Sur quoi porte cette enquête ? Va-t-elle être résolue ? Pour répondre à ces questions, rendez-vous dans “Le Bébé de Francesca”.

Les lieux

L’intrigue de mon nouveau livre se passe en Gironde. Le capitaine Charras travaille au poste de police de Meriadeck, qui se trouve en plein centre-ville. Quant à Paul Guérin, il habite une maison dans la ville de Bouliac, qui fait partie de la communauté urbaine de Bordeaux. Elle se situe sur la rive droite, à quelques kilomètres de la capitale girondine. Enfin, une partie de l’intrigue se situe dans une petite maison à Bègles, autre ville de la CUB. Mais je ne peux pas te dire a qui elle appartient, au risque de trop t’en dire et de te gâcher la surprise concernant ce livre.


Voilà, j’ai tout fait pour te donner envie de lire ma nouvelle parution. J’espère avoir réussi… Si tu es convaincu, je t’invite à te rendre sur Amazon en cliquant SUR CE LIEN pour acheter “Le Bébé de Francesca”. Tu feras partie de ces heureux lecteurs qui auront découvert ma novella, ainsi que le capitaine Charras, un personnage qui sera à nouveau au cœur d’un de mes prochains romans (attention, cette fois-ci c’en est une : SPOILER ALERT !!).

Publié le Laisser un commentaire

JE LANCE MON PROGRAMME AUDIO : DÉCOUVRE « THRILLER, LE PODCAST »

Salut à toi qui me suis depuis quelques temps déjà, ou qui tombe sur cet article et sur mon site totalement par hasard… Ce lundi, je viens te présenter mon nouveau projet, en lien avec mon métier d’auteur : un podcast que j’ai voulu intituler « Thriller, le podcast ». Pourquoi ce nom et quel en sera le contenu ? Suis-moi, je t’explique tout et surtout, je te mets le lien du premier épisode qui présente en long, en large et en travers ce tout nouveau programme que je te propose de découvrir…


Depuis quelques temps, j’avais envie de partager autre chose que mes livres avec mes lecteurs. Je me suis donc demandé ce que je pourrais faire pour échanger sur mes genres de prédilection que sont le thriller, l’horreur et le policier. Des genres littéraires que j’aime lire avant tout, et qui sont les genres dans lesquels je m’éclate quand il s’agit d’écrire. Faisant de la webradio depuis quelques temps déjà, j’ai donc eu l’idée de créer un podcast et d’en passer par la voix pour pouvoir échanger avec toi, Chère Lectrice et Cher Lecteur. Cependant, comme je vais te partager le premier épisode de ce nouveau podcast, que j’ai voulu intituler « Thriller, le podcast », je ne vais pas te le présenter à l’écrit. Au lieu de ça, je vais te faire un court descriptif de ce premier épisode, qui sert à présenter ce programme audio que je viens de créer.

Épisode n°1 – Présentation :

1/ Dans ce premier épisode, je commence par vous présenter ce nouveau podcast, en vous expliquant ce qui m’a poussé à le créer.

2/ Puis, je vous parle succinctement des genres thriller/horreur/policier, qui feront partie des thèmes principaux de ce programme.

3/ Ensuite, je vous fais étalage de tout ce que vous ne trouverez pas dans ce podcast. C’est aussi une façon pour vous de savoir si vous êtes au bon endroit…

4/ Je vous présente également tout ce que vous pourrez trouver dans ce podcast « Thriller », sachant que ce sera aussi à vous de m’aider à l’alimenter en échangeant sur les sujets proposés !

5/ Enfin, je vous donne toutes les billes pour pouvoir communiquer avec moi, via le podcast, mon mail perso ou les réseaux sociaux… Pas d’hésitation possible, d’autant plus que le fond musical devrait vous donner quelques frissons.

Allez, je vois que vous trépignez d’impatience alors voici le moment que vous attendez tous : le premier épisode de « Thriller, le podcast » !


Bien entendu, je vous encourage à me laisser un petit message pour me dire ce que vous avez pensé de ce premier épisode ! Je vous invite également à me donner des sujets que nous pourrions traiter dans ce podcast, en rapport avec cette petite présentation. Je te dis à bientôt, Toi qui a écouté ce programme et qui a déjà hâte d’entendre la suite !

Publié le Laisser un commentaire

JOYEUX ANNIVERSAIRE : “ZOÉ” FÊTE SA PREMIÈRE ANNÉE !

Ce mardi 22 juin, Zoé a fêté sa première année d’existence ! Si tu ne la connais pas encore, Cher Lecteur, il s’agit du personnage principal de mon deuxième roman, qui a donc vu le jour en juin 2020. Et pour fêter cela, je voulais te reparler de ce personnage, sa genèse (je rappelle qu’elle est d’abord apparue dans une nouvelle publiée en 2017) et t’offrir un petit cadeau. Juste au cas où tu serais intéressé par ce roman que tu n’aurais pas encore découvert…


Zoé, personnage né d’une nouvelle en 2016

Qui est Zoé ? Il s’agit d’un des premiers personnages que j’ai créé quand je me suis mis sérieusement à l’écriture, il y a quelques années. Au départ, ce personnage était une petite fille de huit ans. Elle est d’abord apparue dans la nouvelle “Le Don”, publiée dans le tout premier recueil que j’ai sorti en autoédition. Ce recueil, intitulé “Des Aventures Hors Du Commun”, m’a permis de mettre en scène cette enfant dotée d’un pouvoir singulier : elle parvient à lire dans les pensées. Dans la nouvelle “Le Don”, elle doit apprendre à vivre avec ce pouvoir. Accompagnée par le Dr Clarke et un ami de celui-ci, prénommé Tom, elle va y parvenir. Ce qui ne se fera pas sans quelques accrocs et péripéties mais à la fin de la nouvelle, Zoé a dompté son don. Elle a appris à vivre avec, au grand soulagement de ses parents.

Cette nouvelle t’intéresse ? Rendez-vous sur ma boutique, la réédition illustrée du recueil “Des Aventures Hors Du Commun” y est toujours disponible.

Suite des aventures de ce personnage particulier : le roman “Zoé” (2020)

Quelques temps après avoir sorti mon premier roman, qui a fait suite au recueil de nouvelles “Des Aventures Hors Du Commun”, j’ai eu envie de donner une suite à la vie de ce personnage. Ainsi, j’ai voulu imaginer ce qu’il pourrait lui arriver quand elle entrerait dans l’âge adulte. Arriverait-elle toujours à gérer son pouvoir ? Ne deviendrait-il pas gênant, à plus d’un égard ? Voilà comment l’idée du roman “Zoé” est née. J’ai imaginé cette histoire d’adolescente séquestrée par un psychopathe, qui prie dans sa tête qu’on vienne la sauver. Zoé entend sa voix, même si plusieurs centaines de kilomètres les séparent. Vous l’aurez compris, elle se met ensuite en tête d’aller aider cette pauvre fille. Et je ne t’en dirai pas plus ! Si cela t’intrigue, je t’encourage à lire le roman.

Je voulais juste préciser une chose, qui a pu gêner quelques lecteurs de ce second roman. Une première partie, dans cette histoire, est consacrée à l’adolescence de Zoé. Il me semblait important – et c’est un choix que j’assume, même si cela crée quelques longueurs – de faire la transition entre l’enfance de Zoé et son entrée dans l’âge adulte, quand elle fête ses 18 ans. Voilà pourquoi plusieurs pages sont consacrées à ses années au collège et au lycée. Une fois cette partie passée, le lecteur entre directement dans l’action. Et je ne le lâche plus, jusqu’à une fin ouverte… qui laisse peut-être présager, un jour, une suite à ce manuscrit. Qui sait ? Et là, je te livre une exclu, Cher Lecteur !

Et le cadeau dont je t’ai parlé, dans tout ça ?

Doucement ! On y vient aux cadeaux que je souhaite t’offrir pour fêter cet anniversaire un peu spécial. Le premier concerne le format numérique, toujours disponible sur Amazon. Pour le trouver plus facilement, je t’invite à cliquer ICI. Jusqu’au 30 juin, le prix de l’e-book a été baissé à 0€99 au lieu de 2€99. Si tu lis en numérique, tu n’as plus le choix : profite de cette offre exceptionnelle ! L’autre cadeau concerne les gens qui préfèrent tenir un livre broché entre leurs mains. Sur ma boutique, tu trouveras un pack que j’ai créé spécialement pour l’anniversaire de “Zoé”. Pour le même prix que le roman, soit 15€ (au lieu de 20€), tu pourras acquérir le livre, un marque-pages et une carte postale reprenant une illustration réalisée par Emma Delouhans pour la réédition du recueil “Des Aventures Hors Du Commun”, l’année dernière. Si ces goodies te font envie, rendez-vous directement ICI.


J’espère que tu en as appris un peu plus sur Zoé, ce personnage qui me tenait à cœur quand j’ai commencé à publier en tant qu’auteur indépendant. Parfois, quand j’écris des articles anniversaire, je te parle de chiffres de vente et des retours de mes lecteurs. Là, j’avais envie de changer un peu et de revenir sur la création de cette petite fille dans mon esprit d’écrivain. Peut-être est-ce parce que je vais être papa, moi aussi d’une fille, et que cela me met en joie de t’offrir des cadeaux en lien avec ce que j’écris. Tu aurais tort de ne pas en profiter, n’est-ce pas ?

Publié le Un commentaire

ÊTRE AUTEUR ET TRAVAILLER EN MÊME TEMPS : COMMENT ON GÈRE ?

Allez, venez vous asseoir avec moi sur le canapé, je vais vous expliquer deux-trois petites choses concernant mon quotidien… Je vous rassure, pas de thérapie de groupe ici, ce n’est pas de cela qu’il s’agit ! Non, je voulais juste vous expliquer, en quelques mots, comment je gère mes journées et mes semaines, étant à la fois auteur indépendant et salarié dans une entreprise. Car oui, pour l’instant, je ne vis pas encore de ma passion… Et il faut bien travailler pour remplir le frigo, même si je m’épanouis pleinement dans l’emploi salarié que je fais. Ce qui n’est peut-être pas le cas de tout le monde ! C’est bon, vous êtes bien installés ? Alors je me lance !


Tout est parti d’une publication sur Instagram

Il y a quelques jours, j’ai publié une photo sur mon compte Instagram. Histoire de lancer ce sujet. J’avais envie d’évoquer le fait que je mène une sorte de double vie. Si vous ne le savez pas encore, j’ai deux métiers. Je suis auteur – vous le savez si vous êtes ici – mais j’ai aussi un emploi salarié. Pourquoi ? La raison est simple : mon activité d’auteur indépendant ne me permet pas, à ce jour, de gagner assez d’argent pour subvenir à mes besoins. Pourtant, si un jour cela devient possible, j’aimerais ne me consacrer qu’à cette activité, qui découle d’une passion ! Mais comme ce n’est pas encore le cas, je dois travailler à temps complet. Sans entrer dans les détails, je travaille pour un enseigne de sport. Non pas que cela me dérange, car j’adore ce travail… mais vous allez voir que cela demande quelques ajustements et une organisation au poil !

Je suis auteur, mais j'ai aussi un emploi salarié pour Decathlon

Un seul mot-clé : ADAPTATION

Ce canapé est confortable, n’est-ce pas ? Ne vous endormez pas et ouvrez grand vos oreilles, je vais entamer mon explication. Dans mon travail, j’ai une base horaire à 35 heures par semaine. Cependant, ces horaires sont variables. Je peux travailler jusqu’à 40 heures certaines semaines, et 30 heures d’autres. Avec une telle fluctuation, je dois constamment m’adapter pour pouvoir écrire, réaliser mes corrections/réécritures et faire tout ce qui tourne autour des livres que j’écris. Je dois aussi m’organiser pour garder du temps pour tout l’aspect marketing, publicité et tout ce qu’un auteur autoédité gère au quotidien. Autre chose que je dois gérer : l’amplitude de mes horaires sur une journée. Là aussi, mes plannings changent TOUS LES JOURS. Par exemple, je peux travailler de 8h à 18h le mardi, de 8h à 13h le mercredi et de 14h à 21h le jeudi. Le maître mot de mon vocabulaire est donc : ADAPTATION.

Un seul mot-clé dans mon travail : ORGANISATION

S’organiser, une clé pour réussir ?

Comment je procède pour m’organiser ? Chaque semaine, je consulte mon planning de travail (sachant que parfois je travaille toute la journée et parfois non, comme vous l’avez déjà vu). Ensuite, je répartis les différentes tâches que je veux accomplir, en fonction de ce planning. Cette partie est rébarbative, mais elle est essentielle. J’ai déjà essayé de travailler sans cette forme d’organisation. J’en suis arrivé à la conclusion que je dois absolument en passer par là. Sinon, je finis par procrastiner. Et je n’avance pas comme je le souhaite dans mes différents projets. Je prévois donc des plages horaires pour l’écriture, d’autres pour la relecture et la correction d’un projet en cours. Enfin, je me réserve du temps pour la partie marketing et pour la formation. C’est une petite nouveauté, dont je vous reparlerai plus tard.

Il faut savoir se ménager du repos...

Et le repos dans tout ça ?

L’organisation est donc la clé pour que je puisse me sentir bien dans mon métier d’auteur et l’allier efficacement avec mon emploi salarié. Il y a quelques temps, je vous avais présenté une journée-type de mon quotidien, qui a souvent lieu le lundi, mon jour de repos fixe. Pour en savoir plus, je vous renvoie à l’article qui évoque ce sujet. Je voulais ajouter que quand je suis en congés dans mon emploi salarié, je ne prends pas forcément de vacances concernant mon métier d’auteur ! J’ai d’ailleurs du mal à m’arrêter, voulant rattraper le temps perdu. Cependant, il y a des jours, comme le dimanche, où je ne fais aucune de mes deux activités. J’en profite pour me reposer. Car le repos est primordial. Il y a parfois des semaines de vacances où je mets de côté mes deux activités, comme l’été ou quand je pars en voyage.


Voilà, vous en savez un peu plus sur mon quotidien… Et vous comprenez peut-être pourquoi, certaines semaines, je suis moins présent sur les réseaux sociaux ! Je n’en ai pas parlé, mais parfois mes journées peuvent être de 10 heures dans mon emploi salarié. Et si j’essaie d’écrire à ma pause déjeuner – car écrire tous les jours est essentiel -, cela me laisse moins de temps pour partager des choses avec vous sur les réseaux… Mais je fais ce que je peux et les applications qui permettent de planifier mes publications me sont d’un grand secours ! Cet article vous a plu ? Je vous invite à le commenter et à le partager, pour que les gens se rendent compte qu’il n’est pas évident de vivre de sa passion, notamment quand on travaille à côté…

Publié le Laisser un commentaire

CHRONIQUE – FRANCK THILLIEZ, IL ÉTAIT DEUX FOIS

Salutations, chers lecteurs ! Ce lundi, j’avais envie de vous faire le bilan d’une lecture que j’ai achevée récemment. Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas aux autres de chroniquer un de mes ouvrages, mais à moi de parler d’un livre qui m’a bien plu. Suivez-moi et plongeons ensemble dans l’univers de Franck Thilliez et de son dernier roman, “Il était deux fois”


Il y a quelques jours, j’ai terminé la lecture du roman “Il était deux fois”, de Franck Thilliez. Il s’agit d’un beau pavé d’environ 500 pages, qui ne m’a pas laissé indifférent. Attention, je n’ai pas tout aimé, ce serait trop beau ! J’avais tout de même envie de vous en parler un peu. Mais avant tout, je vous propose de lire la quatrième de couverture, qui donnera peut-être envie à certains d’entre vous de plonger dans l’univers de cet auteur à succès.

En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.

Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…

Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020, et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu…

Alors, pour commencer, je voudrais vous parler de ce résumé. Je ne sais pas si cela a été fait exprès, mais il ne révèle rien de l’histoire, si ce n’est les toutes premières pages. Ce qui laisse un goût amer une fois cette partie passée. On est tout le temps dans l’inconnu et quasiment rien, dans ce synopsis, nous donne d’indices sur ce qu’il pourrait se passer tout au long des 500 pages de ce roman. J’avoue que cela m’a un peu désarçonné au départ, mais une fois cette “difficulté” passée, je me suis plongé dans ma lecture sans revenir en arrière. Autre élément que j’ai un peu moins aimé, c’est la complexité de l’intrigue, avec plusieurs branches qui se croisent dans l’histoire mise sur pied par Franck Thilliez, et qui parfois nous perd un peu. Il faut sans cesse se rappeler de ce qu’il s’est passé, parfois quelques dizaines de pages auparavant, pour ne pas perdre le fil de ce roman. Par ailleurs, les personnages secondaires sont très nombreux, ce qui personnellement me gêne car je n’aime pas trop quand ils se multiplient. Je n’ai pas toujours compris ce que certains venaient faire là, pour moi leur utilité n’est pas forcément avérée et Franck Thilliez aurait pu se passer d’eux. Mais chacun a ses propres sensibilités et cela n’enlève rien à la qualité globale du récit, selon moi.

Mais passons à ce que j’ai plutôt apprécié dans ce roman. J’ai bien aimé le côté enquête policière, étant un amateur de ce type de roman et écrivant moi-même des histoires où parfois il y a une enquête à résoudre. Je me suis pris au jeu, au point de suivre moi-même l’enquête, par moments, à la place des personnages. Par ailleurs, le personnage de Gabriel Moscato m’a beaucoup plu. Ce père écorché à vif par la perte de sa fille, sa quête de vérité pour savoir si elle est encore vivante ou bien si elle est morte, le fait qu’il ait perdu la mémoire (ce qui m’a rappelé mon premier roman, “Double Face”). J’aime ces personnages qui ont une vie loin d’être facile et qui font face, même si parfois il leur prend l’envie de baisser les bras. Ce personnage est loin d’être lisse, contrairement à d’autres du roman qui m’ont moins touché. Cependant, l’intrigue est très bien ficelée. Même si elle est très complexe, avec – comme je le disais – beaucoup de choses qui se croisent, elle est super bien menée. Ceci étant dit, je me suis fait une réflexion par rapport à ce que l’on me dit parfois de mes thrillers. En effet, certains de mes lecteurs pensent que j’ai un petit grain de folie pour inventer des histoires où les assassins font preuve d’imagination pour venir à bout de leurs victimes… J’ai envie de leur répondre aujourd’hui en leur disant d’aller lire “Il était deux fois” de Franck Thilliez ! Vous verrez, je ne suis pas le seul à avoir des idées folles, et cet auteur est peut-être pire que moi !

Enfin, il y a une petite surprise à la fin du roman, révélée dans les remerciements par l’auteur. Il s’agit d’un petit jeu, d’une petite enquête à mener pour le lecteur en relisant les premières lignes de chaque chapitre. Bon, je vous révèle la règle du jeu sans vous spoiler : en fait, il s’agit de prendre la première lettre de chaque chapitre pour former une phrase qui est… très intrigante, au point de donner envie de relire l’œuvre de Franck Thilliez pour résoudre une ultime énigme ! Je trouve que c’est un tour de force formidable, qui est totalement réussi par l’auteur. J’ai bien envie de relire ce livre pour trouver le fin mot de cette énigme, même si je ne le ferai pas tout de suite car j’ai déjà plusieurs autres livres à lire… Mais si cela vous intéresse, faites le jeu, vous verrez c’est une idée de génie !


En bref, même si je n’ai pas tout aimé dans ce livre, je vous conseille de le lire si vous aimez Franck Thilliez. Pour ma part, je n’avais lu que deux œuvres de l’auteur, toutes des enquêtes du fameux Sharko. Là, j’ai été agréablement surpris de le retrouver dans un registre quelque peu différent, et cela me donne envie de lire d’autres œuvres de Franck Thilliez. D’ailleurs, si vous en avez à me conseiller, je suis preneur ! Et je vous invite aussi à me dire quelles sont vos romans préférés de l’auteur, qu’on puisse échanger sur le sujet. À bientôt pour une nouvelle chronique !

Publié le 2 commentaires

“GAME OVER”, UNE NOUVELLE TRUFFÉE DE RÉFÉRENCES AUX ANNÉES 90

Hello tout le monde ! Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler un peu plus en détail d’une nouvelle présente dans le recueil “Le Train de l’Angoisse”. Pourquoi ? Parce qu’elle est truffée de références aux années 90, décennie durant laquelle j’ai grandi et qui m’a laissé pas mal de souvenirs. Je vous invite à plonger avec moi dans l’univers de “Game Over”, cette nouvelle qui au final est très sombre, mais qui peut vous faire sourire à l’évocation de ces références… dont nous allons parler sans plus attendre !


Quand j’ai écrit la nouvelle “Game Over”, j’ai tout de suite eu envie d’y mettre tout un tas de références aux années 90. Déjà, l’idée même du titre et d’un personnage masculin qui joue régulièrement à la Game Boy – cette console typique de la décennie dont nous parlons – a été un fil conducteur quand j’ai créé l’univers de ce texte. Si vous vous demandez pourquoi la Game Boy et pas un autre jeu vidéo, c’est parce que j’en ai eu une quand j’étais enfant. Je reprends là la publication que j’ai faite ce vendredi sur les réseaux sociaux, où j’expliquais que, sans être un gamer, je jouais un peu aux jeux vidéos quand j’étais enfant et adolescent. J’ai eu une Game Boy et une console Nintendo première génération et, même si je ne passais pas mon temps devant ces jeux (et que je m’énervais régulièrement quand je perdais…), ça m’a tout de même laissé un bon souvenir. Bon, je vous passe l’endroit où je jouais le plus à la Game Boy, comme il s’agit d’une console portative ça laisse le choix !

Mais revenons-en à nos moutons et à nos références aux années 90. Mis à part la console de jeu, j’en ai mis quelques autres dans la nouvelle “Game Over”. À commencer par les chewing-gum de la marque Malabar, avec son bonhomme blondinet sur le logo, qui je crois existe encore et doit toujours faire le bonheur des enfants (et des dentistes) ! Je me rappelle que, quand j’étais enfant, j’adorais aller chercher le pain à la boulangerie, avec mon petit vélo. Pourquoi ? Parce que ma maman me permettait de m’acheter quelques bonbons avec la monnaie du pain et que, surtout, la boulangère (très gentille) m’en donnait toujours un peu plus pour moi et mon grand frère. Il y a des choses comme ça qui laissent un souvenir impérissable… Par ailleurs, sans que ce soit une vraie référence, Kévin – le personnage principal de la nouvelle – boit du Coca-Cola, cette boisson qui a bercé l’enfance de beaucoup de générations (pas seulement la génération 90) et qui continue de faire plaisir à certains adultes accros aux boissons sucrées et gazeuses.

Si vous lisez cette nouvelle, vous découvrirez au fur et à mesure de votre lecture d’autres références, qui vous rappelleront peut-être votre enfance si vous êtes de la même génération que moi ! Je pense notamment aux billes, qui m’ont accompagné durant mon enfance, au point d’y jouer des heures, seul ou avec des copains, mais aussi aux Pog’s, qui sont arrivés alors que j’entrais doucement dans l’adolescence. Un peu plus loin, je parle des premiers téléphones portables que nous avons connus, à la fin des années 90 et au début des années 2000. Un des plus connus restant le Nokia 3310, avec son fameux jeu du Snake, ce serpent qui devait éviter de se mordre la queue… Sans oublier une série de livres qui m’a fait aimer la lecture : la collection Chair de Poule. Dans la nouvelle, j’ai d’ailleurs retrouvé un titre qui m’avait marqué et que je souhaitais évoquer : “Les vers contre-attaquent”, de Robert Lawrence Stine. Je vous laisse admirer la couverture de ce livre qui, comme bien d’autres de la même collection, ont dû participer à forger l’auteur de thriller que je suis devenu aujourd’hui.

æ^ion¹å^»°è^ˆç^Ðó^

Enfin, je parle dans la nouvelle “Game Over” des cassettes vidéos, ces fameuses VHS que les moins de 20 ans ne doivent pas connaître, et d’une série qui passait à la télévision quand j’étais beaucoup plus jeune. Il s’agit de la série Friends, dont je ne suis bizarrement pas un très grand fan. Cependant, elle a marqué toute une génération et si j’ai voulu la mettre en avant dans ce texte, c’est parce que mon frère était un fan, lui, de cette série. C’est une sorte de petit clin d’œil, parce que je sais qu’il adorait la regarder pendant des heures, au point d’acheter les cassettes VHS (je crois même que nous en avons encore quelques-unes chez nos parents…). Notez enfin qu’il y a quelques références aux années 2000, comme l’arrivée de l’iPhone, mais elles sont bien moins présentes que celles faites aux années 90. D’ailleurs, un personnage comme Marion, qui – sans vous dévoiler ce qu’il se passe dans la nouvelle – tombe amoureuse de Kévin (n’ayez pas peur, je ne me suis pas mis à écrire de la romance !), va redécouvrir avec grand plaisir tous ces objets appartenant à un passé pas si lointain…


Cet article vous a donné envie de découvrir la nouvelle “Game Over”, ainsi que les neuf autres qui composent le recueil “Le Train de l’Angoisse” ? Je vous encourage à vous connecter sur Amazon pour découvrir ce livre au format numérique, ou à aller directement sur ma boutique en ligne si vous désirez l’acheter au format papier (avec, pourquoi pas, une dédicace 😉). En tout cas, je vous invite à me dire si ces références aux années 90 vous parlent autant qu’à moi et à me dire, si vous le souhaitez, quels sont les objets qui ont marqué votre enfance !