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LE GRAND BLA BLA DU BLACK FRIDAY, MAYDAY MAYDAY !

Comme moi, tu n’as pas pu passer à côté de cet énorme coup marketing, joué par les plus grandes marques… et les autres ! Eh oui, je veux bien sûr parler du Black Friday, nouvelle arnaque trouvée par les plus grands publicitaires pour nous faire croire qu’ils nous offrent des promotions exceptionnelles, alors que c’est juste un prétexte de plus pour nous pousser à la surconsommation. Et tu sais quoi ? J’ai été pris par cette fièvre dans mon activité d’auteur, et je n’en ai même pas honte !


1/ Les origines du Black Friday et son arrivée en France

À l’origine, le Black Friday n’existait pas en France. Ce sont les Américains qui ont créé ce concept. Le terme de Black Friday désigne le vendredi qui suit Thanksgiving, donc le lendemain du quatrième jeudi de novembre. Ils ont décidé que ce serait un grand jour de soldes qui lancerait la saison des achats de fin d’année. Ce terme est apparu pour la première fois dans la presse en 1951. Il désignait, pour les employeurs, le long week-end que prenaient leurs employés. Ainsi, ils avaient un jour de congé le vendredi, ce qui provoquait de gros embouteillages. Quelques années plus tard, les achats du lendemain de Thanksgiving permettaient de sortir du rouge et d’écrire à l’encre noire les nouveaux chiffres positifs, d’où l’expression « vendredi noir ». Cependant, c’est dans les années 1970 que les enseignes américaines ont décidé d’adopter cette expression pour désigner le début des achats de Noël.

En France, le Black Friday prend principalement son essor sur Internet. Quelques enseignes profitent de l’occasion pour proposer des remises importantes, valables seulement vingt-quatre heures ou parfois pendant tout le week-end qui suit. C’est là une particularité française car, aux États-Unis lors du Black Friday, les grosses promotions ont directement lieu dans les magasins. Mais il ne faut pas se leurrer : de plus en plus de promotions commencent à émerger dans les magasins aussi chez nous… D’ailleurs, si le Black Friday a démarré timidement en 2013 en France, il a largement pris son envol depuis environ 2016. Aujourd’hui, de grandes enseignes comme Auchan, la Fnac, Darty, La Redoute, Leroy Merlin et Géant Casino pratiquent désormais de grosses réductions lors du Black Friday. Et, avec l’augmentation du coût de la vie, on remarque que l’intérêt des Français pour l’événement augmente chaque année.

2/ Une période ultra commerciale que les marques ne veulent plus manquer

Comme moi, tu dois avoir entendu partout des offres spéciales Black Friday. Depuis quelques jours, elles pullulent à la radio, à la télévision et sur les panneaux publicitaires. Si ce n’est pas du matraquage en masse pour nous pousser à la surconsommation, je ne sais pas ce que c’est ! Et c’est ça que je reproche à cet événement commercial. Qu’on le joue un peu, que certaines enseignes proposent des remises durant une journée, pourquoi pas. Mais j’ai l’impression qu’on est dans une course à celui qui proposera la meilleure offre pour qu’on aille dépenser le peu d’argent qu’on a chez lui. Certaines marques vont même jusqu’à faire durer le Black Friday tout le week-end, voire une semaine. Trop, c’est trop ! La semaine dernière, j’ai arrêté d’écouter la radio dans ma voiture, avec une phobie d’entendre ces pubs à répétition avec les mots black et friday dans chaque phrase…

3/ Et pourtant, je me suis laisser prendre par le mouvement…

Tu as bien lu : je me suis laissé prendre par le mouvement. En terme marketing, pour un auteur indépendant, le Black Friday est une bonne occasion de baisser ses prix pour espérer vendre plus de livres et se faire connaître. Cependant, je n’avais rien anticipé, trop occupé à peaufiner mon prochain bouquin et à préparer sa sortie. Cependant, quand vendredi j’ai entendu une publicité de plus sur le Black Friday, je me suis dit : « Pourquoi pas moi ? » Ainsi, je me suis laissé prendre et j’ai créé une promotion gratuite sur Amazon, sur deux ebooks. Je l’ai fait sur un coup de tête, juste pour voir ce que ça allait donner. Ainsi, depuis samedi et jusqu’à mercredi, mes deux derniers livres (« Le Bébé de Francesca » et « Le Train de l’Angoisse ») sont gratuits. Je suis faible mais si tu veux en profiter, dépêche-toi…

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“LE TRAIN DE L’ANGOISSE” FÊTE SES DOUZE MOIS !

Salut à vous, mes plus Fidèles Lecteurs, qui vous retrouvez parfois sur ce blog pour lire mes quelques articles… Il y a quelques jours, le recueil de nouvelles « Le Train de l’Angoisse » a fêté sa première année d’exploitation. L’occasion pour moi de dresser un bilan des ventes et des retours que vous avez pu me faire sur ce livre, qui semble continuer d’aller à la rencontre de son public…


Il y a tout juste un an, le 8 février 2021, je publiais un recueil de nouvelles intitulé « Le Train de l’Angoisse ». Comme tu le sais peut-être déjà, j’aime bien regarder dans le rétroviseur de temps à autre. Histoire de me rendre compte du chemin parcouru et de te montrer les dessous de mon métier d’auteur indépendant. Si tu ne me suivais pas encore à l’époque, sache que « Le Train de l’Angoisse » est un recueil de dix nouvelles avec un thème central : nos peurs et nos angoisses, qui peuvent resurgir d’une manière ou d’une autre dans chacun des textes que j’ai pu écrire. Et si tu souhaites l’acquérir, tu peux toujours te rendre sur Amazon pour l’acheter ; ou m’envoyer un petit mail en privé, si tu le veux au format broché avec une jolie dédicace réalisée avec ma plume.

Bon, et ce bilan, ça donne quoi ?

Si on parle de ventes, tu dois savoir que j’ai écoulé un peu plus de 130 livres. Cela va te paraître peu. Dois-je te rappeler que je suis indépendant et qu’il est difficile de se faire connaître quand on n’est pas dans le circuit traditionnel de l’édition ? Voilà pourquoi j’ai besoin de toi pour parler de mes livres à ton entourage. 130 unités en douze mois, cela fait une moyenne de 11 livres chaque mois. Ce qui n’est pas si mal, avec un taux de 2 e-books vendus pour un livre papier. Le point positif, c’est qu’il continuera à se vendre en physique, en dédicaces ou en salon, car les gens aiment me découvrir à travers des nouvelles. J’en ai fait l’expérience lors de ma dernière journée passée dans un Cultura en décembre, où « Le Train de l’Angoisse » s’est plus vendu que tous mes autres livres !

Gloomy scenery with old rusty train, foggy forest and skulls

Bilan financier

Financièrement, je ne suis pas encore rentré dans mes frais avec ce livre mais en gros, j’ai fait 50% du chemin. J’ai donc bon espoir de rembourser ce que j’ai pu dépenser pour le publier. Quant aux retours des lecteurs de ce recueil, ils sont plutôt positifs ! Sur Amazon, j’ai obtenu 23 évaluations, avec une note totale de 4,3/5. Je te fais lire deux avis positifs pour te montrer que ce livre peut plaire ? “Super recueil où plusieurs genres se mélangent. Beaucoup d’inspirations que je connais et qui font plaisir à retrouver. Foncez vous passerez un bon moment.” (Signé : Nathalie). “Ma lecture a été plaisante : les nouvelles sont abouties, même les plus courtes, ce qui est loin d’avoir été facile pour l’auteur. Le style est fluide, les mots assez percutants lorsque c’est nécessaire.” (Signé : Corinne). Merci à ces deux lectrices d’avoir laissé leur avis !


Si tu ne connais pas encore « Le Train de l’Angoisse », voici où tu peux aller te le procurer : au format ebook, sur Amazon (https://amzn.to/34gNHuy) ou au format papier, sur ma boutique en ligne (https://bit.ly/3uvrnIb). Je t’encourage à en parler autour de toi, surtout si tu as lu ces nouvelles et qu’elles t’ont plu !

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JE TE RÉVÈLE TOUT SUR LA COUVERTURE DU RECUEIL DE NOUVELLES « LE TRAIN DE L’ANGOISSE »

Lectrices, Lecteurs, bien le bonjour ! Dans quelques jours, cela fera six mois que mon dernier recueil de nouvelles, “Le Train de l’Angoisse”, a été officiellement publié. Six mois après, j’avais envie de te parler des choix que j’ai faits concernant cette couverture qui, je dois l’avouer, vous a beaucoup plu. Suis-moi, je vais te livrer tous les secrets de création de cet élément indispensable à une œuvre littéraire !


D’où provient l’image de la couverture ?

Je vais d’abord t’expliquer d’où sort cette image d’une locomotive, qui semble sortir d’une forêt hantée, que j’ai utilisée pour la couverture de ce recueil. Plusieurs sites proposent d’acheter des images libres de droit. C’est le cas de 123RF, que j’utilise depuis mon premier livre, en 2017. Pour quelques euros, j’achète des crédits qui me permettront d’acheter des images totalement libres. Je ne vole le travail de personne, je fais tout cela dans la légalité. Pour ce recueil de nouvelles, je voulais une image d’un train qui fasse peur. En tout cas, elle augure du côté angoissant que j’ai voulu donner aux nouvelles qui le composent. Je pense avoir réussi mon coup : je plonge tout de suite le lecteur dans cet univers du train délabré. Comme un train-fantôme qui provoque des frissons. On retrouvera d’ailleurs ce thème du train dans les titres des nouvelles, du wagon 1 au wagon 10.

Une tâche que je confie à une graphiste

Deuxième chose dont je voulais te parler : ce n’est pas moi qui ai réalisé cette couverture. J’ai tenté le coup une fois, pour le roman « Zoé ». Et je me suis promis de ne jamais recommencer. Pourquoi ? Je me suis rendu compte que c’est un vrai métier. D’autres le font bien mieux que moi. Comme pour mes deux premiers livres, j’ai confié cette tâche à une vraie graphiste. Elle s’appelle Virginie Wernert. J’ai toujours été content de son travail. Ce fut à nouveau le cas pour « Le Train de l’Angoisse ». Virginie commence à me connaître, elle sait où sont mes exigences. On échange par mail. Je peux lui dire honnêtement ce que je pense de son premier jet. Elle fait ensuite les modifications que je lui demande. Au final, elle réalise toujours des couvertures efficaces, qui attirent l’œil du lecteur. Je la remercie pour son formidable travail.

Le titre du livre et le nom de l’auteur

Pour cette partie, je laisse en général carte blanche à Virginie Wernert. Je lui demande juste une chose : de préciser s’il s’agit d’un roman ou d’un recueil de nouvelles. Ainsi, elle me fait une première proposition. Si elle me plaît, je valide. Sinon, on retravaille le sujet ensemble. Pour ce recueil de nouvelles, j’ai demandé quelques modifications, que Virginie a bien voulu apporter. Mais c’est elle qui a été force de proposition quant à la police d’écriture du titre. C’est bien grâce à Virginie que les lettres sont un peu effacées. Ce qui ajoute, selon moi, un côté mystérieux à ce livre et à sa couverture. Qu’en pensez-vous ? Pour moi, le job est réussi. Bravo, Virginie !

La quatrième de couverture

Enfin, quelques mots sur la quatrième de couverture. Si Virginie Wernert est une excellente graphiste, elle n’est pas l’auteur de ce livre. C’est bien moi qui ai rédigé la quatrième de couverture. Tout comme j’ai rédigé ma biographie. En revanche, c’est bien Virginie qui a effectué la mise en page de ce tout. C’est elle qui a décidé de mettre la biographie sur un bandeau orange, pour rappeler le code couleur de la couverture. Pour ma part, je lui ai juste envoyé les textes pour qu’elle puisse réaliser la couverture complète. C’est d’ailleurs bien normal qu’on retrouve son nom en bas de la quatrième de couverture. Il faut bien rendre à César ce qui appartient à César ! Enfin, à Virginie… Alors, vous pensez que cette couverture est réussie ? Vous donne-t-elle envie d’en découvrir un peu plus sur ce recueil de nouvelles ?


Comme d’habitude, je vous encourage à réagir à cet article et à répondre, en commentaire ou par mail, à la question que je vous pose à la fin de l’article. Et puis, s’il vous a plu et que vous ne voulez pas louper les prochains que je rédigerai, vous pouvez aussi vous inscrire à ma newsletter !

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QUELS ONT ÉTÉ MES CHOIX CONCERNANT LES PERSONNAGES DANS MES NOUVELLES ?

Cette semaine, alors que nous venons de fêter les trois mois de sortie de mon dernier recueil de nouvelles (intitulé “Le Train de l’Angoisse”), je voulais partager avec vous quelques choix que j’ai fait concernant les personnages qui peuplent les dix wagons de cet ouvrage. Pourquoi ai-je mis un homme dans telle nouvelle et une femme dans telle autre, pourquoi le choix de tel ou tel prénom, telle situation familiale, etc… Je vais tout vous expliquer, afin de vous permettre de mieux décrypter mes écrits !


1/ Homme ou femme ? Le choix du genre et des prénoms

Tout d’abord, je souhaiterais évoquer avec vous le choix du genre. Pourquoi faire vivre telle aventure à un homme plutôt qu’à une femme ; et au-delà du genre, pourquoi un ou une ado dans tel texte et pourquoi une personne âgée dans tel autre ? Prenons quelques exemples pour illustrer mes choix. Dans la nouvelle “La Faucheuse”, j’évoque la mort et l’appréhension que tout un chacun peut avoir quand on s’approche de la fin de notre vie. Je ne pouvais donc pas mettre en scène des gens jeunes, qui sont loin de ces interrogations. Voilà pourquoi j’ai choisi un personnage en fin de vie, très âgé – dans ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui le quatrième âge. Pourquoi avoir choisi une femme ? Tout simplement car selon les statistiques, elles vivent plus longtemps que les hommes, donc ce choix m’a paru logique. A l’inverse, lorsque j’ai commencé à mettre en place la nouvelle “Blue Whale Challenge”, j’ai vite compris qu’elle devait mettre en scène des adolescents, qui plus est des collégiens. En effet, ce jeu a été rendu populaire sur les réseaux sociaux, comme beaucoup d’autres, et devinez qui utilise ces réseaux à longueur de journée : les adolescents et les jeunes adultes ! D’où ce choix… Mais pourquoi choisir une jeune fille plutôt qu’un jeune homme, allez-vous me demander. Là aussi, la décision s’est opérée naturellement : à cet âge-là, les jeunes filles sont souvent plus matures que les jeunes hommes, ce que j’ai essayé de montrer à travers mon texte. Il me semblait donc plus logique de mettre en scène une adolescente plutôt qu’un adolescent. Au contraire, et ce sera mon dernier exemple, j’ai fait le choix de mettre en scène un homme, trentenaire, dans la nouvelle “Game Over”. Il me semblait plus logique de prendre un homme timide et introverti, qui découvre le réel amour pour la première fois, et de lui faire commettre un meurtre sur la femme qu’il aime. Je trouve (mais ce n’est que mon avis) que cela a plus d’impact que si j’avais fait le choix inverse…

Parlons également du choix des prénoms : sachez que c’est toujours une galère pour moi ! Pourquoi ? Premièrement, j’ai du mal à donner un prénom d’une personne que je connais à un de mes personnages. J’ai toujours peur de faire la description (physique et mentale) de ladite personne, et d’être influencé par ce que je sais d’elle… Du coup, je prends généralement à peu près l’âge que je veux donner à mon personnage et je regarde sur internet les prénoms les plus donnés dans son année de naissance. Voilà comment s’opère mon choix, même s’il m’arrive parfois de trouver un prénom que je trouve adapté à l’histoire que je construis sans avoir recours à Google.

2/ L’origine sociale et l’âge donnés aux personnages

En ce qui concerne le choix de l’origine sociale et de l’âge de mes personnages, tout dépend encore une fois du contexte et de ce qui est raconté dans l’histoire que j’écris. Pour la nouvelle “Game Over”, j’avais forcément besoin d’un homme célibataire, qui arrivé à la trentaine n’avait pas encore connu le grand amour. Cela me paraissait plutôt logique. Pour la nouvelle “Le Miroir Maléfique”, il me fallait un jeune couple, avec deux personnages qui entraient dans la vie active après leurs études et qui se mettaient en ménage. Cela me paraissait là encore plus logique pour expliquer qu’ils obtiennent ce miroir qui, si vous n’avez pas encore lu la nouvelle, est plutôt spécial (je n’en dis pas plus…). La nouvelle “Ligne 9” est différente, car n’ayant pu opérer de vrais choix, j’ai décidé de faire vivre la même action selon différents points de vue : trois pompiers, une banquière et enfin le personnage central de la nouvelle. Je ne voudrais pas vous assommer avec les exemples, mais pour la nouvelle “En Mémoire de Noël”, j’ai fait le choix de prendre un enfant d’une dizaine d’années qui vit seul avec sa mère, pour que l’action puisse se mettre en place.

D’où viennent tous ces personnages que je crée ? La plupart du temps, ils sortent tout droit de mon imaginaire, mais certaines situations qu’ils vivent peuvent être inspirées de faits réels. Ce qui est le cas pour ce jeu stupide, le “Blue Whale Challenge”, qui a réellement existé sur les réseaux sociaux (c’est qu’il a fait ses recherches, le petit !). D’autres personnages peuvent être largement inspirés par la vie réelle. Je vais vous parler là d’une nouvelle parue sur mon tout premier recueil, en 2017, intitulé “Des Aventures Hors du Commun”. Pour la nouvelle “Les Voisines”, j’ai choisi de décrire le personnage de Pierre comme étant un instituteur, car j’avais besoin qu’il passe du temps chez lui pour pouvoir voir le manège de ses voisines. Là encore, comme j’ai moi-même exercé ce métier, je sais que l’on peut avoir pas mal de temps chez soi, même si c’est du temps où on travaille pour préparer sa classe ou corriger des copies. Mais l’action se passant pendant l’été, Pierre peut aisément rester chez lui pendant que sa femme est au travail. De plus, les deux voisines de ce pauvre Pierre sont inspirées par des voisines que j’ai moi-même eues, et qui déménageaient. Comme Louise et Joséphine, elles faisaient des aller-retour incessants en passant devant chez moi, et il m’arrivait de discuter avec elle. Même dans la description physique, on retrouve de vrais éléments. Bon, par contre, mes voisines n’étaient pas des tueuses en série et elles transportaient de vrais objets, pas des corps. Désolé si ce détail vient vous décevoir…

3/ Le caractère, un élément lié à l’action que je construis

Selon la longueur des nouvelles que j’écris (certaines sont plutôt courtes mais d’autres plus longues que des nouvelles classiques), je prends le temps de développer – ou non – le caractère de mes personnages. Si le texte est court, je préfère me concentrer sur l’action ainsi que sur leurs sentiments. Mais on peut tout de même déceler quelques traits de leur caractère ! Pour vous donner un exemple, dans la nouvelle “Dans la Tourmente”, qui est peut-être une des plus courtes, on peut tout de même voir que le personnage de Mila est tête en l’air, tout en ayant peur de s’engager dans la vie, puisque les autres personnages pointent ce trait de caractère comme étant un de ses principaux défauts. Quant aux personnages secondaires, pas le temps de les développer dans une nouvelle qui reste courte. Ils peuvent avoir certains traits de caractère marqués, mais en général je ne m’attarde pas trop sur eux… ce qui ne m’empêche pas d’avoir parfois envie de les retrouver dans un autre texte pour les développer un peu plus !

Quant aux nouvelles qui dépassent le nombre de caractère classique de ce genre littéraire, comme “La Faucheuse”, “Blue Whale Challenge” ou encore “Ragots”, le fait d’écrire des textes plus longs permet de construire un peu plus les personnages, notamment ceux qui sont au premier plan. Dans “Ragots”, où deux étudiants sont mis en scène – un jeune homme et une jeune femme -, j’ai pu faire évoluer le comportement de Xavier, qui au départ adore raconter des ragots sur les autres étudiants avec son amie Margot ; mais ensuite, à cause d’un élément dont je ne peux pas vous parler (au risque de tout vous spoiler), il va s’éloigner de son amie dont il est amoureux et avoir un comportement très malsain avec la gente féminine. Sur un texte court, je n’aurais jamais pu développer cela ! Pour prendre un dernier exemple, Noémie évolue elle aussi et s’affirme tout au long de la nouvelle “Blue Whale Challenge”. Si au début elle est désemparée suite au suicide de sa meilleure amie, elle va ensuite devenir la leader d’un mouvement de rébellion contre ce jeu stupide qui se développe dans les collèges et lycées de France via les réseaux sociaux. Elle parviendra à faire entendre sa voix et montrera qu’elle a un caractère fort et bien trempé.


Voilà, je ne voulais pas trop vous assommer avec les exemples, mais j’espère vous avoir aidé à mieux comprendre les choix que j’ai pu opérer tout au long des textes que j’ai écrits pour ce recueil de nouvelles publié il y a un peu plus de trois mois maintenant. Si vous avez déjà lu cet ouvrage, cet article vous aura donné quelques pistes supplémentaires pour mieux comprendre mes textes (enfin, je l’espère). Quant à ceux qui ne l’ont pas encore lu, peut-être que cet article vous rendra curieux ! Si tel est le cas, je vous invite à vous rendre sur ma boutique pour commander votre exemplaire au format broché, ou sur Amazon si vous lisez plutôt en numérique. Je vous encourage également à me dire en commentaire ce que vous avez pensé de ces explications concernant les choix que j’ai effectués sur les personnages de mes nouvelles.

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LA QUESTION DU JOUR : ÊTRE AUTEUR INDÉPENDANT, UN CHOIX OU UNE OBLIGATION ?

Hello tout le monde ! Une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de continuer à vous partager mon expérience d’auteur indépendant, publié en autoédition. Non pas que je pense pouvoir aider des auteurs qui souhaiteraient se lancer, mais je pense surtout qu’il est important de partager mon expérience avec mes lecteurs et de vous faire comprendre mes choix. Car oui, asseyez-vous confortablement dans votre fauteuil ou votre canapé : j’ai bien fait le choix d’être indépendant. Pourquoi ? Comme je vous ai vu venir avec vos gros sabots, j’ai préparé tout un argumentaire, que je vais développer dans cet article ! C’est bon, vous êtes installés ? Alors c’est parti !


Bon, puisque vous êtes assis et que je suis parvenu à capter votre attention, je vais commencer par faire le point sur mon parcours, depuis mes début dans l’autoédition. Ce ne sera pas long, puisque je me suis lancé il y a environ cinq ans ! En effet, tout a démarré pour moi au printemps 2016, quand j’ai décidé de mettre ma carrière de professeur des écoles entre parenthèses (pour diverses raisons que je ne développerai pas ici…). J’avais déjà commencé à écrire, sans jamais aller au bout de mes projets, par manque de temps. Ayant le temps, à partir de ce moment-là, j’ai simultanément commencé à écrire mon premier roman (“Double Face”, publié en 2018) et les trois nouvelles qui ont composé mon premier recueil, “Des Aventures Hors du Commun”, publié en mai 2017. Pendant cette période, je ne savais pas trop si j’allais envoyer mes manuscrits à des maisons d’édition ou non. J’ai donc commencé à parcourir le net et les réseaux sociaux (notamment Twitter), à la recherche d’informations concernant l’édition. C’est là que je suis tombé sur l’expérience de plusieurs auteurs : certains partageaient leur déception vécue en maison d’édition, où ils étaient mis de côté au détriment de best sellers, ou alors les contrats signés étaient de réelles arnaques ; d’autre part, j’ai lu des retours d’expérience d’auteurs publiés en autoédition, qui semblaient épanouis même s’il leur était difficile de se faire connaître. Pour ma part, je suis par nature indépendant. Je n’aime pas être sous les ordres de quelqu’un et j’aime l’idée d’être mon propre patron. Voilà une des premières raisons qui m’a poussé à me lancer dans l’autoédition au moment de publier “Des Aventures Hors du Commun”.

J’ai donc démarré mes premières démarches pour savoir ce qu’il fallait mettre en place pour s’autoéditer. C’est là que j’ai créé mon autoentreprise, à mon nom, pour pouvoir distribuer mes livres. Je me suis également renseigné sur les différentes plateformes qui proposent aux gens de s’autoéditer via internet. Mon choix s’est vite porté sur Amazon, qui me semblait être la plateforme la plus simple d’utilisation. Je ne regrette absolument pas ce choix. Pour mon premier livre, j’ai pu assurer ma promotion moi-même, gérer tout ce qui tourne autour de la vente d’un livre et même si cela prend beaucoup de temps, cette activité pouvant rapidement se montrer chronophage, j’ai beaucoup appris. D’ailleurs, cinq ans après mes débuts, je peux vous affirmer que j’apprends toujours et même que je me forme pour pouvoir continuer à progresser, tant dans mon travail d’écrivain que pour le côté marketing, qui ne s’apprend pas en un jour. Mais je vous parlerai certainement de tout cela dans un prochain article… Vous êtes toujours bien assis ? Je ne vous ai pas encore perdus ? Bon, alors je continue !

Au moment de publier mon roman “Double Face”, en 2018, j’ai réfléchi au fait de passer en maison d’édition. Il faut parfois savoir suivre son instinct et le mien me disait de tenter ma chance en envoyant des manuscrits par mail, car cela ne me coûterait rien. C’est donc ce que j’ai fait, après avoir discuté avec une amie qui me conseillait de le faire et m’a guidé dans le choix de plusieurs maisons d’édition. J’ai envoyé mon manuscrit à une bonne dizaine d’entre-elles. Je n’ai reçu que trois réponses, toutes négatives, sans plus d’explications. Les sept autres maisons d’édition n’ont même pas daigné me répondre. Alors, je sais bien qu’elles reçoivent énormément de manuscrits et qu’il est difficile de sortir du lot, mais cette petite expérience m’a conforté dans mon choix de rester en autoédition. Je ne vais pas cracher dans la soupe, si une maison d’édition avait accepté de publier mon roman, j’aurais certainement accepté. Tout gérer, c’est bien mais ça prend du temps et de l’énergie, et parfois on a l’impression de ne pas être suffisamment efficace. Assurer soi-même sa promotion, au quotidien, n’est pas chose facile. Pour autant, je suis heureux de poursuivre l’aventure en autoédition ! Et je vais vous expliquer pourquoi. Non, parce que tant qu’à vous avoir confortablement installé dans votre fauteuil ou votre canapé, je vais poursuivre mon monologue !

Au final, cela me convient très bien d’être un auteur indépendant, publié en autoédition. En effet, à ce jour j’ai sorti quatre livres : deux recueils de nouvelles et deux roman, et j’ai la main sur toutes les étapes, ce qui me convient tout à fait ! En effet, une fois mon manuscrit terminé, c’est moi qui décide de la mise en page, des crédits à mettre, du texte pour la quatrième de couverture et de tout ce qui compose le livre. Il n’y a que la couverture que je ne fais pas (sauf pour le roman “Zoé”), car je n’ai aucune notion de graphisme. Parfois, il faut laisser faire les professionnels et pour ma part, j’ai délégué cette tâche à Virginie Wernert, qui à chaque fois que je travaille avec elle me réalise des couvertures incroyables. J’ai une entière confiance en elle et en étant autoédité, j’ai le choix de la personne à qui je confie cet élément ô combien important dans la création d’un livre.

Par ailleurs, je me suis rendu compte à travers cette expérience qu’il existe une vraie communauté d’auteurs autoédités, qui tend à se développer. Si vous me suivez, vous savez que je fais partie de l’association des Plumes Indépendantes, grâce à laquelle j’ai pu rencontrer d’autres auteurs autoédités et qui se développe de plus en plus au fil des années. Voir autant d’auteurs épanouis et heureux d’être en autoédition m’a conforté dans mon choix. En discutant avec certains d’entre eux, j’ai pu me rendre compte qu’il est important pour certaines personnes – dont je fais partie – d’avoir la main sur plusieurs éléments dans la promotion de son livre. Effectuer des recherches pour trouver des salons et des séances de dédicaces, gérer sa promotion sur les réseaux sociaux, aller à la rencontre de ses lecteurs etc… En fait, tout le succès ou l’échec lié à la sortie d’un livre n’incombe qu’à nous-même. Nous n’avons de compte à rendre à personne. Et je pense sincèrement que c’est ce qui plaît à toutes ces personnes et que c’est également ce qui me plaît dans le fait d’être en autoédition. Nous avons une liberté dans nos choix et nos actions, et aujourd’hui nous pouvons nous unir pour être mieux représentés. Finalement, c’est – je pense – ce qui pourrait nous rendre plus forts à l’avenir. Allez, j’ai fini mon monologue, vous pouvez désormais vous lever de votre fauteuil (ou de votre canapé) et retourner à vos occupations, merci de votre attention !


Cet article vous a donné envie d’en découvrir plus sur mon univers ? Je vous encourage à vous rendre sur ma boutique en ligne si vous désirez découvrir mes livres au format papier (avec, pourquoi pas, une dédicace, que je me ferai un plaisir de vous adresser ) !

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“GAME OVER”, UNE NOUVELLE TRUFFÉE DE RÉFÉRENCES AUX ANNÉES 90

Hello tout le monde ! Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler un peu plus en détail d’une nouvelle présente dans le recueil “Le Train de l’Angoisse”. Pourquoi ? Parce qu’elle est truffée de références aux années 90, décennie durant laquelle j’ai grandi et qui m’a laissé pas mal de souvenirs. Je vous invite à plonger avec moi dans l’univers de “Game Over”, cette nouvelle qui au final est très sombre, mais qui peut vous faire sourire à l’évocation de ces références… dont nous allons parler sans plus attendre !


Quand j’ai écrit la nouvelle “Game Over”, j’ai tout de suite eu envie d’y mettre tout un tas de références aux années 90. Déjà, l’idée même du titre et d’un personnage masculin qui joue régulièrement à la Game Boy – cette console typique de la décennie dont nous parlons – a été un fil conducteur quand j’ai créé l’univers de ce texte. Si vous vous demandez pourquoi la Game Boy et pas un autre jeu vidéo, c’est parce que j’en ai eu une quand j’étais enfant. Je reprends là la publication que j’ai faite ce vendredi sur les réseaux sociaux, où j’expliquais que, sans être un gamer, je jouais un peu aux jeux vidéos quand j’étais enfant et adolescent. J’ai eu une Game Boy et une console Nintendo première génération et, même si je ne passais pas mon temps devant ces jeux (et que je m’énervais régulièrement quand je perdais…), ça m’a tout de même laissé un bon souvenir. Bon, je vous passe l’endroit où je jouais le plus à la Game Boy, comme il s’agit d’une console portative ça laisse le choix !

Mais revenons-en à nos moutons et à nos références aux années 90. Mis à part la console de jeu, j’en ai mis quelques autres dans la nouvelle “Game Over”. À commencer par les chewing-gum de la marque Malabar, avec son bonhomme blondinet sur le logo, qui je crois existe encore et doit toujours faire le bonheur des enfants (et des dentistes) ! Je me rappelle que, quand j’étais enfant, j’adorais aller chercher le pain à la boulangerie, avec mon petit vélo. Pourquoi ? Parce que ma maman me permettait de m’acheter quelques bonbons avec la monnaie du pain et que, surtout, la boulangère (très gentille) m’en donnait toujours un peu plus pour moi et mon grand frère. Il y a des choses comme ça qui laissent un souvenir impérissable… Par ailleurs, sans que ce soit une vraie référence, Kévin – le personnage principal de la nouvelle – boit du Coca-Cola, cette boisson qui a bercé l’enfance de beaucoup de générations (pas seulement la génération 90) et qui continue de faire plaisir à certains adultes accros aux boissons sucrées et gazeuses.

Si vous lisez cette nouvelle, vous découvrirez au fur et à mesure de votre lecture d’autres références, qui vous rappelleront peut-être votre enfance si vous êtes de la même génération que moi ! Je pense notamment aux billes, qui m’ont accompagné durant mon enfance, au point d’y jouer des heures, seul ou avec des copains, mais aussi aux Pog’s, qui sont arrivés alors que j’entrais doucement dans l’adolescence. Un peu plus loin, je parle des premiers téléphones portables que nous avons connus, à la fin des années 90 et au début des années 2000. Un des plus connus restant le Nokia 3310, avec son fameux jeu du Snake, ce serpent qui devait éviter de se mordre la queue… Sans oublier une série de livres qui m’a fait aimer la lecture : la collection Chair de Poule. Dans la nouvelle, j’ai d’ailleurs retrouvé un titre qui m’avait marqué et que je souhaitais évoquer : “Les vers contre-attaquent”, de Robert Lawrence Stine. Je vous laisse admirer la couverture de ce livre qui, comme bien d’autres de la même collection, ont dû participer à forger l’auteur de thriller que je suis devenu aujourd’hui.

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Enfin, je parle dans la nouvelle “Game Over” des cassettes vidéos, ces fameuses VHS que les moins de 20 ans ne doivent pas connaître, et d’une série qui passait à la télévision quand j’étais beaucoup plus jeune. Il s’agit de la série Friends, dont je ne suis bizarrement pas un très grand fan. Cependant, elle a marqué toute une génération et si j’ai voulu la mettre en avant dans ce texte, c’est parce que mon frère était un fan, lui, de cette série. C’est une sorte de petit clin d’œil, parce que je sais qu’il adorait la regarder pendant des heures, au point d’acheter les cassettes VHS (je crois même que nous en avons encore quelques-unes chez nos parents…). Notez enfin qu’il y a quelques références aux années 2000, comme l’arrivée de l’iPhone, mais elles sont bien moins présentes que celles faites aux années 90. D’ailleurs, un personnage comme Marion, qui – sans vous dévoiler ce qu’il se passe dans la nouvelle – tombe amoureuse de Kévin (n’ayez pas peur, je ne me suis pas mis à écrire de la romance !), va redécouvrir avec grand plaisir tous ces objets appartenant à un passé pas si lointain…


Cet article vous a donné envie de découvrir la nouvelle “Game Over”, ainsi que les neuf autres qui composent le recueil “Le Train de l’Angoisse” ? Je vous encourage à vous connecter sur Amazon pour découvrir ce livre au format numérique, ou à aller directement sur ma boutique en ligne si vous désirez l’acheter au format papier (avec, pourquoi pas, une dédicace 😉). En tout cas, je vous invite à me dire si ces références aux années 90 vous parlent autant qu’à moi et à me dire, si vous le souhaitez, quels sont les objets qui ont marqué votre enfance !

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VOUS AIMEZ LIRE DES NOUVELLES ? MONTEZ AVEC MOI DANS UN TRAIN SPECIAL…

Alors que mon nouveau livre sort dans une semaine, je souhaitais prendre le temps de vous en dévoiler un petit peu plus sur ce recueil de nouvelles. Voici donc quelques détails sur “Le Train de l’Angoisse” – qui sera ma quatrième publication -, ainsi que quelques secrets de fabrication. Prenez garde à la fermeture des portes, notre train en direction de la gare de… l’angoisse va partir !


Prêts pour l’embarquement ?

Pour commencer, laissez-moi vous présenter ce beau bébé de 457 pages pour la version brochée. Il ne s’agit pas d’un roman, mais comme il est écrit sur la couverture (dont je vous parlerai un peu plus loin), c’est bien un recueil de nouvelles. Combien y en a-t-il au total ? Pour ce livre, je souhaitais avoir un chiffre rond : vous pourrez donc lire dix nouvelles, plus ou moins longues. En effet, certaines sont plutôt courtes (comme les nouvelles “Un Voyage Incongru” ou encore “Une Vengeance Au Goût De Sang”), alors que d’autres sont longues pour des nouvelles (prenons en exemple “Blue Whale Challenge” ou encore “La Faucheuse”). Sachez en tout cas que j’ai écrit toutes ces nouvelles lors des deux ou trois dernières années, au gré de mes envies et de mon inspiration. En ce qui concerne la présentation, comme je vous emmène avec moi dans un train qui n’a rien de rassurant, elles sont rangées dans dix voitures, correspondant aux dix wagons de ce train fictif. Vous trouverez d’ailleurs une table des nouvelles à la fin de ce recueil, pour vous permettre de naviguer au mieux à l’intérieur de celui-ci. Pour ce qui est du style littéraire, plusieurs sont mélangés, comme souvent avec moi. Vous voyagerez tantôt dans de l’horreur, tantôt dans du fantastique, et parfois même dans du pur thriller. La seule chose qui est sûre, c’est que vous ressentirez de vives émotions, qui viendront parfois se mélanger dans votre esprit… Enfin, concernant la présentation de ce recueil de nouvelles, je vous renvoie au texte de la quatrième de couverture, que vous pourrez retrouver ICI.

Et la couverture, alors ?

Comme pour mes deux premiers livres, “Des Aventures Hors du Commun” (recueil de nouvelles) et “Double Face” (mon premier roman), j’ai fait appel aux services de Virginie Wernert. J’ai toujours été très satisfait par son travail, et après une pause lors de la sortie de mon deuxième roman, il me semblait naturel de lui confier à nouveau cette tâche. Virginie sait où je veux aller, j’ai juste à lui fournir une image libre de droit, que je trouve représentative de l’univers dans lequel je veux emmener mes lecteurs (dans ce cas bien précis, l’image de cette locomotive pas très rassurante), et elle retravaille le graphisme de cette image, avec le titre et mon nom, pour créer un tout qui met vraiment en avant mon livre. En effet, les premiers retours que j’ai pu avoir de votre part, Chers Lecteurs, ont été extrêmement positifs quant au rendu de cette couverture. Et j’en suis le premier ravi ! J’espère qu’elle vous donnera envie de tourner les pages de ce recueil et de découvrir les différents personnages des dix nouvelles qui le composent.

Où trouver “Le Train de l’Angoisse” et à quel prix ?

Comme vous devez déjà le savoir (surtout si vous me suivez sur les réseaux sociaux), “Le Train de l’Angoisse” sortira lundi prochain, soit le 8 février ! Il sera disponible à partir de ce jour-là, en format numérique, sur le site Amazon. Je vous ai d’ailleurs déjà partagé plusieurs fois le lien de précommande sur les réseaux sociaux, mais si vous préférez attendre la sortie du livre, sachez que lors de la première semaine de sortie, vous le trouverez à un tarif préférentiel. En effet, j’ai fixé le prix de cet e-book à 4€99, seulement pendant les sept premiers jours vous pourrez bénéficier de l’offre de lancement, où le prix sera réduit à 0€99 ! Ne manquez surtout pas cette belle opportunité… Quant au format broché, vous pourrez le commander directement sur Amazon, au prix de 14€. Cependant, comme je le fais à chaque fois, je me suis commandé un peu de stock pour pouvoir envoyer des livres dédicacés, assorti d’un marque-page, aux lectrices et aux lecteurs qui souhaiteraient recevoir ce recueil de nouvelles assorti d’un petit mot de ma part et d’une petite signature. Pour cela, il suffira de me contacter directement via mon adresse mail (ygiammona@hotmail.fr) ou via le formulaire de contact que vous trouverez sur le site. Je vous demanderai juste d’ajouter quelques euros de frais de port pour l’envoi du livre à votre domicile.


Voilà, vous avez désormais toutes les informations essentielles en main concernant mon prochain livre. Pour toutes questions supplémentaires, je suis bien entendu disponible pour vous, mes Fidèles Lecteurs ! Je vous encourage à me laisser un message, tout comme je vous invite à me laisser votre avis, que ce soit sur Amazon, Babelio, Goodreads ou tout autre site du genre, une fois que vous aurez lu “Le Train de l’Angoisse”. Surtout si vous êtes passés par toutes les émotions… Et n’oubliez pas de faire attention : un train peut en cacher un autre.

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PARTENARIATS 2021 – SOUHAITEZ-VOUS QU’ON COLLABORE ENSEMBLE ?

Ce lundi, je reviens vers vous pour lancer ma campagne de partenariats pour l’année 2021 ! Attention, cette campagne ne durera que deux semaines et sera bouclée le 1er février prochain. Vous souhaitez en savoir plus sur les partenariats entre moi, auteur indépendant, et vous, lecteurs/chroniqueurs ? Alors je vais vous en dire plus et vous détailler la façon dont nous pourrions travailler ensemble.


Le partenariat : explications

Tout d’abord, laissez-moi vous expliquer ce qu’il se cache derrière ce terme de partenariat pour moi. Avant tout, il s’agit d’un échange. En effet, je recherche des gens qui tiennent un blog ou un compte Instagram et qui pourront rédiger une chronique qui sera ensuite partagée sur les réseaux sociaux. En échange, je vous offrirai mes différents livres, gratuitement, et je partagerai à mon tour votre travail (partage de votre site, de votre compte et pourquoi pas une interview qui apparaîtra sur mon blog/site, comme je l’ai déjà fait pour Morgane Rocher en décembre dernier). Sachez que je n’en demande pas plus ! Mon souhait est d’avoir des relations plus personnelles avec les chroniqueurs que je choisirai, avec qui je pourrai discuter de mon travail, du leur et de notre passion pour l’écriture et la lecture. Ils seront également tenus au courant de mes actualités avant les autres…

Alors, ça vous dit de me travailler avec moi ?

Quel(s) livre(s) et sous quel format ?

Si vous êtes choisi(e) comme partenaire, c’est jusqu’à la fin de l’année en cours (youpi !). Pour l’instant, j’ai déjà quelques partenaires avec qui je travaillais déjà l’année dernière qui ont reconduit leur souhait de m’épauler pour la sortie de mon prochain recueil de nouvelles, “Le Train de l’Angoisse”, qui sera publié le 8 février prochain. Cependant, rien ne vous empêche de le lire quelques jours avant les autres et de prévoir une chronique pour les jours suivant sa sortie, si cela vous chante (je peux d’ores et déjà vous le procurer en format numérique, comme je l’ai déjà fait pour d’autres partenaires) ! Par ailleurs, je sortirai une novella (roman court) autour du mois de septembre, donc le partenariat que nous pourrions mettre ne place concernera à coup sûr plusieurs livres que je prévois d’écrire et de publier. Sauf si vous décidez de vous-même d’arrêter le partenariat en cours de route, ce quio est toujours possible (c’est pas la prison, hein !).

En ce qui concerne le format, ce sera en format numérique. Je suis sincèrement désolé mais en tant qu’indépendant, je ne peux pas sacrifier de livre papier, surtout avant la sortie officielle du livre. Ceci étant dit, si à un moment ou un autre c’est possible, je procéderai à des envois au format papier. Mais en attendant, ce sera en numérique, et toujours gratuitement, ça j’y mets un point d’honneur !

Comment devenir partenaire ?

Rien de plus simple, il vous suffit de postuler en remplissant LE FORMULAIRE SUIVANT (il vous suffit de cliquer, le lien s’ouvrira automatiquement dans une nouvelle fenêtre). Et si jamais vous avez envie de lire un autre de mes livres et d’en publier une chronique, il vous faudra me contacter par mail (ygiammona@hotmail.fr) ou via le formulaire de contact. Il s’agira de ce que l’on appelle communément un Service Presse, et nous pourrons voir cela ensemble.

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QUELS SONT MES PROJETS POUR L’ANNÉE 2021 ?

Bonjour tout le monde, et bonne année ! Je ne vais rien vous souhaiter de particulier car, si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous avez compris ma philosophie concernant l’année particulière que l’on laisse désormais derrière nous : quand on se souhaite de bonnes choses, il nous arrive le pire, alors autant ne rien souhaiter du tout ! Ce qui ne nous empêchera pas d’en profiter et de travailler, soyez rassurés… Je vais d’ailleurs vous présenter mes différents projets pour l’année à venir, après avoir fait un court bilan de l’année écoulée. Prêts ? Partez !


1/ Bilan 2020

Si je reprends les prévisions et le planning des publications établi au début de l’année 2020, je peux d’ores et déjà vous annoncer que mes objectifs ont été atteints ! En effet, j’avais prévu de publier mon deuxième roman, qui à l’époque n’avait pas encore de titre, au mois de juin. Ce qui a effectivement été fait, puisque comme vous le savez “Zoé” est sorti le 22 juin 2020 en autoédition sur Amazon. Je vous faisais d’ailleurs le bilan des six premiers mois d’exploitation de ce livre le mois dernier, l’article est toujours disponible… Par ailleurs, j’avais prévu de rééditer mon premier ouvrage, le recueil de nouvelles “Des Aventures Hors du Commun”, avec des illustrations. Cet objectif a également été réalisé, grâce à la participation d’Emmanuelle Delouhans, qui a réalisé trois illustrations pour les trois nouvelles de ce recueil. Je l’ai sorti en édition limitée, il me reste d’ailleurs quelques exemplaires en stock si cela vous dit !

Concernant les salons, j’en avais quelques-uns de prévu mais à cause du Coronavirus, je n’ai pu faire que celui de Bussy St Georges (77) le 1er février dernier, tous les autres ayant été annulés… Espérons que cela ira mieux en 2021 ! Pour les séances de dédicaces dans des centres commerciaux, même constat : je n’ai été qu’au Auchan de Villebon-sur-Yvette (91) en septembre, mais malgré la situation je vais faire en sorte d’en faire plus en 2021. Enfin, en ce qui concerne mon planning d’écriture, j’en ai fait plus que ce qui était prévu. En effet, ce planning est souvent amené à bouger selon l’inspiration et en plus des finitions de mon deuxième roman, je me suis lancé en 2020 dans le premier jet d’une novella qui devrait sortir en 2021. Là encore, si vous me suivez sur les réseaux vous avez vu que j’ai terminé cette première mouture il y a seulement quelques jours, ce qui va me permettre de me lancer dans les corrections et réécritures au plus vite ! En somme, malgré la pandémie, cette année 2020 a été bonne si je m’en réfère à mon planning : j’ai publié les deux livres que je voulais publier et j’ai écrit régulièrement pour faire avancer mes projets ; seule ombre au tableau, je n’ai pas pu défendre mon travail comme je le voulais, mais ce n’est que partie remise.

2/ Planning des publications 2021

Comme en 2020, je prévois deux sorties pour l’année 2021 ! La seule différence est qu’il s’agira de deux nouveautés, et non pas de réédition comme ce fut le cas cette année. Pour commencer, vous le savez certainement déjà, je publierai un recueil de nouvelles (dix au total) intitulé “Le Train de l’Angoisse”, qui sera disponible dans à peine plus d’un mois, puisque le livre sortira le 8 février prochain. Je vous ai déjà dévoilé les titres des dix textes sur mes réseaux sociaux, notamment Instagram, je vous partagerai bientôt la couverture et le synopsis, ainsi qu’un lien pour précommander le format numérique si vous lisez sur Kindle. J’ai hâte de vous faire découvrir ces nouvelles qui, je l’espère, vous donneront des frissons ! La deuxième sortie est quant à elle prévue pour août (voire même septembre, selon son avancée). Il s’agira de la novella que j’ai déjà évoquée, et qui possède un titre : “Le bébé de Francesca”. Là encore, j’ai hâte de vous faire découvrir ce roman court, je préfère ne pas vous en dire plus à part que j’ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce texte qui je l’espère ce démarquera des autres histoires que j’ai déjà pu écrire. Bien entendu, vous en saurez plus dès que j’aurai une date de publication pour cette novella…

3/ Les salons en 2021

Pour le début de l’année, les salons se passeront en virtuel. En effet, à cause de la pandémie, il n’y a pour l’instant plus de salons en présentiel, ce que je regrette beaucoup. Mais bon, il faut faire avec ce que l’on a et je me suis déjà inscrit à deux salons virtuels : le salon des Plumes Indépendantes, l’association dont je fais partie, qui se tiendra les 6 et 7 février 2021. Et la 4ème édition du Virtual Book Fair, qui de son côté aura lieu du vendredi 5 au dimanche 7 mars 2021. J’espère pouvoir y croiser de nouveaux lecteurs et pouvoir défendre comme il se doit le recueil de nouvelles “Le Train de l’Angoisse”, que je présenterai d’ailleurs en avant-première au salon virtuel des Plumes Indépendantes. Dès que les salons avec présence physique reprendront, je serai le premier à y prendre part et je vous tiendrai bien entendu au courant ! Vous pouvez vous inscrire à ma newsletter ou me suivre sur les réseaux sociaux… quant aux séances de dédicaces, j’ai déjà prévu de retourner au Auchan de Villebon-sur-Yvette (91) qui se trouve près de chez moi, et j’essaierai bien sûr d’en faire d’autres dans le courant de l’année. Stay tuned, comme on dit !

4/ Planning d’écriture

Enfin, je vais vous présenter mon planning d’écriture pour cette année, qui sera certainement amené à changer selon les inspirations et le temps consacré à l’écriture. Je prévois de travailler, en terme d’écriture, sur trois projets différents :

  • Les corrections et les phases de réécriture du projet “Le bébé de Francesca”, la novella qui sera publiée en août ou septembre 2021.
  • Le premier jet de mon troisième roman, après avoir écrit un plan et fait des fiches de personnages pour préparer ce nouveau projet (j’ai déjà le sujet, il manque plus qu’à peaufiner l’intrigue et me lancer).
  • L’écriture de plusieurs nouvelles, car c’est un genre que j’apprécie toujours écrire et qui me permet de tester de nouvelles choses entre deux projets plus longs.

Enfin, je devrais également écrire une nouvelle pour un prochain recueil des Plumes Indépendantes, qui devrait sortir dans le courant de l’année. Sans oublier les articles sur ce blog, si je parviens à en faire deux par mois ce sera une belle réussite, et les newsletters ! Concernant ces dernières, je les ai lancées le mois dernier et je peux vous assurer que j’en envois désormais une par mois, sans faute. Cela me permet d’être proche de mes lecteurs les plus fidèles et de vous tenir au courant de l’avancée de mes différents projets. Cela vous intéresse ? N’hésitez pas à vous rendre ICI pour vous inscrire à ma newsletter…