Publié le Laisser un commentaire

JOYEUX ANNIVERSAIRE : “ZOÉ” FÊTE SA PREMIÈRE ANNÉE !

Ce mardi 22 juin, Zoé a fêté sa première année d’existence ! Si tu ne la connais pas encore, Cher Lecteur, il s’agit du personnage principal de mon deuxième roman, qui a donc vu le jour en juin 2020. Et pour fêter cela, je voulais te reparler de ce personnage, sa genèse (je rappelle qu’elle est d’abord apparue dans une nouvelle publiée en 2017) et t’offrir un petit cadeau. Juste au cas où tu serais intéressé par ce roman que tu n’aurais pas encore découvert…


Zoé, personnage né d’une nouvelle en 2016

Qui est Zoé ? Il s’agit d’un des premiers personnages que j’ai créé quand je me suis mis sérieusement à l’écriture, il y a quelques années. Au départ, ce personnage était une petite fille de huit ans. Elle est d’abord apparue dans la nouvelle “Le Don”, publiée dans le tout premier recueil que j’ai sorti en autoédition. Ce recueil, intitulé “Des Aventures Hors Du Commun”, m’a permis de mettre en scène cette enfant dotée d’un pouvoir singulier : elle parvient à lire dans les pensées. Dans la nouvelle “Le Don”, elle doit apprendre à vivre avec ce pouvoir. Accompagnée par le Dr Clarke et un ami de celui-ci, prénommé Tom, elle va y parvenir. Ce qui ne se fera pas sans quelques accrocs et péripéties mais à la fin de la nouvelle, Zoé a dompté son don. Elle a appris à vivre avec, au grand soulagement de ses parents.

Cette nouvelle t’intéresse ? Rendez-vous sur ma boutique, la réédition illustrée du recueil “Des Aventures Hors Du Commun” y est toujours disponible.

Suite des aventures de ce personnage particulier : le roman “Zoé” (2020)

Quelques temps après avoir sorti mon premier roman, qui a fait suite au recueil de nouvelles “Des Aventures Hors Du Commun”, j’ai eu envie de donner une suite à la vie de ce personnage. Ainsi, j’ai voulu imaginer ce qu’il pourrait lui arriver quand elle entrerait dans l’âge adulte. Arriverait-elle toujours à gérer son pouvoir ? Ne deviendrait-il pas gênant, à plus d’un égard ? Voilà comment l’idée du roman “Zoé” est née. J’ai imaginé cette histoire d’adolescente séquestrée par un psychopathe, qui prie dans sa tête qu’on vienne la sauver. Zoé entend sa voix, même si plusieurs centaines de kilomètres les séparent. Vous l’aurez compris, elle se met ensuite en tête d’aller aider cette pauvre fille. Et je ne t’en dirai pas plus ! Si cela t’intrigue, je t’encourage à lire le roman.

Je voulais juste préciser une chose, qui a pu gêner quelques lecteurs de ce second roman. Une première partie, dans cette histoire, est consacrée à l’adolescence de Zoé. Il me semblait important – et c’est un choix que j’assume, même si cela crée quelques longueurs – de faire la transition entre l’enfance de Zoé et son entrée dans l’âge adulte, quand elle fête ses 18 ans. Voilà pourquoi plusieurs pages sont consacrées à ses années au collège et au lycée. Une fois cette partie passée, le lecteur entre directement dans l’action. Et je ne le lâche plus, jusqu’à une fin ouverte… qui laisse peut-être présager, un jour, une suite à ce manuscrit. Qui sait ? Et là, je te livre une exclu, Cher Lecteur !

Et le cadeau dont je t’ai parlé, dans tout ça ?

Doucement ! On y vient aux cadeaux que je souhaite t’offrir pour fêter cet anniversaire un peu spécial. Le premier concerne le format numérique, toujours disponible sur Amazon. Pour le trouver plus facilement, je t’invite à cliquer ICI. Jusqu’au 30 juin, le prix de l’e-book a été baissé à 0€99 au lieu de 2€99. Si tu lis en numérique, tu n’as plus le choix : profite de cette offre exceptionnelle ! L’autre cadeau concerne les gens qui préfèrent tenir un livre broché entre leurs mains. Sur ma boutique, tu trouveras un pack que j’ai créé spécialement pour l’anniversaire de “Zoé”. Pour le même prix que le roman, soit 15€ (au lieu de 20€), tu pourras acquérir le livre, un marque-pages et une carte postale reprenant une illustration réalisée par Emma Delouhans pour la réédition du recueil “Des Aventures Hors Du Commun”, l’année dernière. Si ces goodies te font envie, rendez-vous directement ICI.


J’espère que tu en as appris un peu plus sur Zoé, ce personnage qui me tenait à cœur quand j’ai commencé à publier en tant qu’auteur indépendant. Parfois, quand j’écris des articles anniversaire, je te parle de chiffres de vente et des retours de mes lecteurs. Là, j’avais envie de changer un peu et de revenir sur la création de cette petite fille dans mon esprit d’écrivain. Peut-être est-ce parce que je vais être papa, moi aussi d’une fille, et que cela me met en joie de t’offrir des cadeaux en lien avec ce que j’écris. Tu aurais tort de ne pas en profiter, n’est-ce pas ?

Publié le Un commentaire

ÊTRE AUTEUR ET TRAVAILLER EN MÊME TEMPS : COMMENT ON GÈRE ?

Allez, venez vous asseoir avec moi sur le canapé, je vais vous expliquer deux-trois petites choses concernant mon quotidien… Je vous rassure, pas de thérapie de groupe ici, ce n’est pas de cela qu’il s’agit ! Non, je voulais juste vous expliquer, en quelques mots, comment je gère mes journées et mes semaines, étant à la fois auteur indépendant et salarié dans une entreprise. Car oui, pour l’instant, je ne vis pas encore de ma passion… Et il faut bien travailler pour remplir le frigo, même si je m’épanouis pleinement dans l’emploi salarié que je fais. Ce qui n’est peut-être pas le cas de tout le monde ! C’est bon, vous êtes bien installés ? Alors je me lance !


Tout est parti d’une publication sur Instagram

Il y a quelques jours, j’ai publié une photo sur mon compte Instagram. Histoire de lancer ce sujet. J’avais envie d’évoquer le fait que je mène une sorte de double vie. Si vous ne le savez pas encore, j’ai deux métiers. Je suis auteur – vous le savez si vous êtes ici – mais j’ai aussi un emploi salarié. Pourquoi ? La raison est simple : mon activité d’auteur indépendant ne me permet pas, à ce jour, de gagner assez d’argent pour subvenir à mes besoins. Pourtant, si un jour cela devient possible, j’aimerais ne me consacrer qu’à cette activité, qui découle d’une passion ! Mais comme ce n’est pas encore le cas, je dois travailler à temps complet. Sans entrer dans les détails, je travaille pour un enseigne de sport. Non pas que cela me dérange, car j’adore ce travail… mais vous allez voir que cela demande quelques ajustements et une organisation au poil !

Je suis auteur, mais j'ai aussi un emploi salarié pour Decathlon

Un seul mot-clé : ADAPTATION

Ce canapé est confortable, n’est-ce pas ? Ne vous endormez pas et ouvrez grand vos oreilles, je vais entamer mon explication. Dans mon travail, j’ai une base horaire à 35 heures par semaine. Cependant, ces horaires sont variables. Je peux travailler jusqu’à 40 heures certaines semaines, et 30 heures d’autres. Avec une telle fluctuation, je dois constamment m’adapter pour pouvoir écrire, réaliser mes corrections/réécritures et faire tout ce qui tourne autour des livres que j’écris. Je dois aussi m’organiser pour garder du temps pour tout l’aspect marketing, publicité et tout ce qu’un auteur autoédité gère au quotidien. Autre chose que je dois gérer : l’amplitude de mes horaires sur une journée. Là aussi, mes plannings changent TOUS LES JOURS. Par exemple, je peux travailler de 8h à 18h le mardi, de 8h à 13h le mercredi et de 14h à 21h le jeudi. Le maître mot de mon vocabulaire est donc : ADAPTATION.

Un seul mot-clé dans mon travail : ORGANISATION

S’organiser, une clé pour réussir ?

Comment je procède pour m’organiser ? Chaque semaine, je consulte mon planning de travail (sachant que parfois je travaille toute la journée et parfois non, comme vous l’avez déjà vu). Ensuite, je répartis les différentes tâches que je veux accomplir, en fonction de ce planning. Cette partie est rébarbative, mais elle est essentielle. J’ai déjà essayé de travailler sans cette forme d’organisation. J’en suis arrivé à la conclusion que je dois absolument en passer par là. Sinon, je finis par procrastiner. Et je n’avance pas comme je le souhaite dans mes différents projets. Je prévois donc des plages horaires pour l’écriture, d’autres pour la relecture et la correction d’un projet en cours. Enfin, je me réserve du temps pour la partie marketing et pour la formation. C’est une petite nouveauté, dont je vous reparlerai plus tard.

Il faut savoir se ménager du repos...

Et le repos dans tout ça ?

L’organisation est donc la clé pour que je puisse me sentir bien dans mon métier d’auteur et l’allier efficacement avec mon emploi salarié. Il y a quelques temps, je vous avais présenté une journée-type de mon quotidien, qui a souvent lieu le lundi, mon jour de repos fixe. Pour en savoir plus, je vous renvoie à l’article qui évoque ce sujet. Je voulais ajouter que quand je suis en congés dans mon emploi salarié, je ne prends pas forcément de vacances concernant mon métier d’auteur ! J’ai d’ailleurs du mal à m’arrêter, voulant rattraper le temps perdu. Cependant, il y a des jours, comme le dimanche, où je ne fais aucune de mes deux activités. J’en profite pour me reposer. Car le repos est primordial. Il y a parfois des semaines de vacances où je mets de côté mes deux activités, comme l’été ou quand je pars en voyage.


Voilà, vous en savez un peu plus sur mon quotidien… Et vous comprenez peut-être pourquoi, certaines semaines, je suis moins présent sur les réseaux sociaux ! Je n’en ai pas parlé, mais parfois mes journées peuvent être de 10 heures dans mon emploi salarié. Et si j’essaie d’écrire à ma pause déjeuner – car écrire tous les jours est essentiel -, cela me laisse moins de temps pour partager des choses avec vous sur les réseaux… Mais je fais ce que je peux et les applications qui permettent de planifier mes publications me sont d’un grand secours ! Cet article vous a plu ? Je vous invite à le commenter et à le partager, pour que les gens se rendent compte qu’il n’est pas évident de vivre de sa passion, notamment quand on travaille à côté…

Publié le Un commentaire

LA QUESTION DU JOUR : ÊTRE AUTEUR INDÉPENDANT, UN CHOIX OU UNE OBLIGATION ?

Hello tout le monde ! Une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de continuer à vous partager mon expérience d’auteur indépendant, publié en autoédition. Non pas que je pense pouvoir aider des auteurs qui souhaiteraient se lancer, mais je pense surtout qu’il est important de partager mon expérience avec mes lecteurs et de vous faire comprendre mes choix. Car oui, asseyez-vous confortablement dans votre fauteuil ou votre canapé : j’ai bien fait le choix d’être indépendant. Pourquoi ? Comme je vous ai vu venir avec vos gros sabots, j’ai préparé tout un argumentaire, que je vais développer dans cet article ! C’est bon, vous êtes installés ? Alors c’est parti !


Bon, puisque vous êtes assis et que je suis parvenu à capter votre attention, je vais commencer par faire le point sur mon parcours, depuis mes début dans l’autoédition. Ce ne sera pas long, puisque je me suis lancé il y a environ cinq ans ! En effet, tout a démarré pour moi au printemps 2016, quand j’ai décidé de mettre ma carrière de professeur des écoles entre parenthèses (pour diverses raisons que je ne développerai pas ici…). J’avais déjà commencé à écrire, sans jamais aller au bout de mes projets, par manque de temps. Ayant le temps, à partir de ce moment-là, j’ai simultanément commencé à écrire mon premier roman (“Double Face”, publié en 2018) et les trois nouvelles qui ont composé mon premier recueil, “Des Aventures Hors du Commun”, publié en mai 2017. Pendant cette période, je ne savais pas trop si j’allais envoyer mes manuscrits à des maisons d’édition ou non. J’ai donc commencé à parcourir le net et les réseaux sociaux (notamment Twitter), à la recherche d’informations concernant l’édition. C’est là que je suis tombé sur l’expérience de plusieurs auteurs : certains partageaient leur déception vécue en maison d’édition, où ils étaient mis de côté au détriment de best sellers, ou alors les contrats signés étaient de réelles arnaques ; d’autre part, j’ai lu des retours d’expérience d’auteurs publiés en autoédition, qui semblaient épanouis même s’il leur était difficile de se faire connaître. Pour ma part, je suis par nature indépendant. Je n’aime pas être sous les ordres de quelqu’un et j’aime l’idée d’être mon propre patron. Voilà une des premières raisons qui m’a poussé à me lancer dans l’autoédition au moment de publier “Des Aventures Hors du Commun”.

J’ai donc démarré mes premières démarches pour savoir ce qu’il fallait mettre en place pour s’autoéditer. C’est là que j’ai créé mon autoentreprise, à mon nom, pour pouvoir distribuer mes livres. Je me suis également renseigné sur les différentes plateformes qui proposent aux gens de s’autoéditer via internet. Mon choix s’est vite porté sur Amazon, qui me semblait être la plateforme la plus simple d’utilisation. Je ne regrette absolument pas ce choix. Pour mon premier livre, j’ai pu assurer ma promotion moi-même, gérer tout ce qui tourne autour de la vente d’un livre et même si cela prend beaucoup de temps, cette activité pouvant rapidement se montrer chronophage, j’ai beaucoup appris. D’ailleurs, cinq ans après mes débuts, je peux vous affirmer que j’apprends toujours et même que je me forme pour pouvoir continuer à progresser, tant dans mon travail d’écrivain que pour le côté marketing, qui ne s’apprend pas en un jour. Mais je vous parlerai certainement de tout cela dans un prochain article… Vous êtes toujours bien assis ? Je ne vous ai pas encore perdus ? Bon, alors je continue !

Au moment de publier mon roman “Double Face”, en 2018, j’ai réfléchi au fait de passer en maison d’édition. Il faut parfois savoir suivre son instinct et le mien me disait de tenter ma chance en envoyant des manuscrits par mail, car cela ne me coûterait rien. C’est donc ce que j’ai fait, après avoir discuté avec une amie qui me conseillait de le faire et m’a guidé dans le choix de plusieurs maisons d’édition. J’ai envoyé mon manuscrit à une bonne dizaine d’entre-elles. Je n’ai reçu que trois réponses, toutes négatives, sans plus d’explications. Les sept autres maisons d’édition n’ont même pas daigné me répondre. Alors, je sais bien qu’elles reçoivent énormément de manuscrits et qu’il est difficile de sortir du lot, mais cette petite expérience m’a conforté dans mon choix de rester en autoédition. Je ne vais pas cracher dans la soupe, si une maison d’édition avait accepté de publier mon roman, j’aurais certainement accepté. Tout gérer, c’est bien mais ça prend du temps et de l’énergie, et parfois on a l’impression de ne pas être suffisamment efficace. Assurer soi-même sa promotion, au quotidien, n’est pas chose facile. Pour autant, je suis heureux de poursuivre l’aventure en autoédition ! Et je vais vous expliquer pourquoi. Non, parce que tant qu’à vous avoir confortablement installé dans votre fauteuil ou votre canapé, je vais poursuivre mon monologue !

Au final, cela me convient très bien d’être un auteur indépendant, publié en autoédition. En effet, à ce jour j’ai sorti quatre livres : deux recueils de nouvelles et deux roman, et j’ai la main sur toutes les étapes, ce qui me convient tout à fait ! En effet, une fois mon manuscrit terminé, c’est moi qui décide de la mise en page, des crédits à mettre, du texte pour la quatrième de couverture et de tout ce qui compose le livre. Il n’y a que la couverture que je ne fais pas (sauf pour le roman “Zoé”), car je n’ai aucune notion de graphisme. Parfois, il faut laisser faire les professionnels et pour ma part, j’ai délégué cette tâche à Virginie Wernert, qui à chaque fois que je travaille avec elle me réalise des couvertures incroyables. J’ai une entière confiance en elle et en étant autoédité, j’ai le choix de la personne à qui je confie cet élément ô combien important dans la création d’un livre.

Par ailleurs, je me suis rendu compte à travers cette expérience qu’il existe une vraie communauté d’auteurs autoédités, qui tend à se développer. Si vous me suivez, vous savez que je fais partie de l’association des Plumes Indépendantes, grâce à laquelle j’ai pu rencontrer d’autres auteurs autoédités et qui se développe de plus en plus au fil des années. Voir autant d’auteurs épanouis et heureux d’être en autoédition m’a conforté dans mon choix. En discutant avec certains d’entre eux, j’ai pu me rendre compte qu’il est important pour certaines personnes – dont je fais partie – d’avoir la main sur plusieurs éléments dans la promotion de son livre. Effectuer des recherches pour trouver des salons et des séances de dédicaces, gérer sa promotion sur les réseaux sociaux, aller à la rencontre de ses lecteurs etc… En fait, tout le succès ou l’échec lié à la sortie d’un livre n’incombe qu’à nous-même. Nous n’avons de compte à rendre à personne. Et je pense sincèrement que c’est ce qui plaît à toutes ces personnes et que c’est également ce qui me plaît dans le fait d’être en autoédition. Nous avons une liberté dans nos choix et nos actions, et aujourd’hui nous pouvons nous unir pour être mieux représentés. Finalement, c’est – je pense – ce qui pourrait nous rendre plus forts à l’avenir. Allez, j’ai fini mon monologue, vous pouvez désormais vous lever de votre fauteuil (ou de votre canapé) et retourner à vos occupations, merci de votre attention !


Cet article vous a donné envie d’en découvrir plus sur mon univers ? Je vous encourage à vous rendre sur ma boutique en ligne si vous désirez découvrir mes livres au format papier (avec, pourquoi pas, une dédicace, que je me ferai un plaisir de vous adresser ) !

Publié le 3 commentaires

UN AN APRÈS AVOIR PUBLIÉ “SELFIE”, L’HEURE EST AU BILAN !

Salut tout le monde ! Il y a un peu plus d’un an, je publiais une nouvelle gratuitement via Amazon Kindle Publishing. Comme vous le savez peut-être déjà, j’ai publié à ce jour trois livres en autoédition grâce à la plateforme d’Amazon. Seulement, l’année dernière, alors que j’écrivais toujours des nouvelles (je vous ai d’ailleurs expliqué pourquoi, dans mon article précédent, j’aimais tant en écrire), j’ai eu envie d’en mettre une gratuite pour essayer de gagner quelques lecteurs. Aujourd’hui, l’heure est au bilan. Ai-je réussi mon coup ? Est-ce que j’ai attiré durablement de nouveaux lecteurs ?


Si vous ne le savez pas encore, il est grand temps de vous mettre au courant… Et si vous ne savez pas quoi lire et que vous avez quelques minutes seulement devant vous, n’hésitez plus et foncez ! Car oui, il y a un peu plus d’un an, fin septembre 2019, j’ai publié une nouvelle gratuite en numérique sur Amazon. Comment la retrouver plus facilement ? Allez, comme je suis un mec sympa, je vous remets le lien ci-dessous :

TÉLÉCHARGER LA NOUVELLE “SELFIE” SUR MA KINDLE

Avant de passer au bilan de la première année d’exploitation de cette nouvelle, je vais m’empresser de vous partager à nouveau son synopsis, comme ça si vous n’êtes pas encore convaincu, vous le serez peut-être : “Avez-vous déjà pensé à ce que vous feriez si vous trouviez un téléphone par terre ? Le prendriez-vous ou le laisseriez-vous ? Feriez-vous tout votre possible pour en retrouver le propriétaire ou prendriez-vous le risque de vous l’approprier ? Imaginez maintenant que ce smartphone soit maléfique, et que des choses étranges surviennent dès qu’une personne prend un selfie avec. Si, malgré toutes ces mises en garde, vous vous sentez encore attirés par cette aventure, libre à vous… mais attention, ce sera à vos risques et périls !”

Maintenant que le décor est planté, je vais – en toute transparence – vous parler du nombre de téléchargements et des avis que j’ai pu recevoir sur cette publication. Commençons par le bilan comptable. En tout et pour tout, c’est pas moins de 636 personnes qui ont lu “Selfie” ! Ce qui en fait, de loin, ma publication la plus lue. J’en suis extrêmement ravi, sachant que ce bilan compte les personnes qui ont chargé cette nouvelle sur leur Kindle ou leur tablette, pas le nombre de lecteurs dans l’absolu. Petite précision : j’ai également mis “Selfie” à disposition sur le site Kobo et j’ai envoyé quelques fichiers par mail à des gens qui me l’ont demandé. Ce qui m’a amené à construire un graphique pour voir la répartition des plateformes sur lesquelles cette nouvelle était lue. On voit tout de suite que c’est Amazon qui se dégage fortement, ce qui me réconforte dans mon choix de m’autoéditer via cette plateforme.

En ce qui concerne les retours que j’ai pu recevoir, encore une fois cela se passe principalement sur Amazon. À ce jour, “Selfie” a reçu 28 évaluations, pour un score total de quatre étoiles. Sachant que cette évaluation globale est plombée par deux notes plutôt négatives : une (pas plus) à une étoile, donc d’un lecteur qui n’a pas du tout aimé, et une à trois étoiles, d’un lecteur plutôt mitigé. Sinon, on en est à 45% de cinq étoiles et 30% de quatre étoiles, ce qui ma foi n’est pas si mal !

Enfin, laissez-moi vous parler des commentaires. Certains sont très positifs et donnent apparemment envie au lecteur de me suivre (allez savoir, cette personne a peut-être même acheté un de mes livres ?) alors que d’autres, comme celui de Morgane Rocher (une de mes partenaires, donc est-elle seulement objective ?) relate un véritable coup de cœur. Mais comme tout n’est pas rose et que l’on ne vit pas dans le monde des Bisounours, je vous partage aussi le commentaire le plus destructeur pour cette nouvelle et son auteur (moi-même, quoi), bien que je trouve cela facile de balancer une telle phrase sans argumentation derrière…

Voilà pour le bilan, un peu plus d’un an après la sortie de la nouvelle “Selfie”. J’espère que vous appréciez cette transparence de ma part. Je ne vous parle pas argent, puisque je n’en gagne pas avec cette publication, mais je trouve intéressant de voir que l’on peut toucher du monde en mettant une nouvelle gratuite sur Amazon. Et si en plus je peux donner envie à de nouveaux lecteurs de la découvrir et de la partager autour d’eux, parce que le thème principal me tient à cœur, j’en serai ravi !

Publié le Un commentaire

Pourquoi est-ce que j’écris des nouvelles et pas seulement des romans ?

Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui, j’avais envie de vous parler d’une chose : pourquoi est-ce que j’écris des nouvelles, et pas seulement des romans ? En effet, quand j’ai commencé à écrire, je me suis testé sur le format nouvelle, que j’apprécie réellement, au point de continuer à en écrire encore et encore… Et si vous ne le savez pas, le premier livre que j’ai publié en auto-édition était un recueil de trois nouvelles, intitulé “Des Aventures Hors du Commun”, que j’ai réédité il y a peu en édition très limitée (seulement 20 exemplaires). Aussi, je vais m’empresser de vous expliquer le pourquoi du comment. Vous êtes prêts ? C’est parti !


Le premier point que j’aimerais aborder dans cette explication, c’est que la nouvelle me permet de tester plusieurs choses. En effet, comme c’est un texte court, je pense que je peux me permettre des choses que je ne ferais pas dans un roman. Ainsi, pour moi (et j’insiste sur le fait que c’est très personnel, d’autres auteurs ne verront peut-être pas l’écriture de nouvelles sous le même angle), la nouvelle est un véritable laboratoire.

Quand j’écris une nouvelle, je teste. Je teste des points de vue différents, des styles d’écriture et des niveaux de vocabulaire qui peuvent passer du soutenu au vulgaire. Je me teste sur des dialogues ou sur des descriptions plus complètes. Tout cela au service de mes romans, dans un but précis : améliorer, jour après jour, mon écriture.

Alors, je vous vois venir, vous allez me dire que mes nouvelles n’ont pas le même niveau d’exigence et la même qualité que mes romans. Déjà, je vais vous mettre en garde : je n’ai écrit que deux romans à ce jour, et je suis en train d’avancer sur un nouveau projet qui, sans vraiment être un roman, sera plus long qu’une nouvelle. Alors que des nouvelles, j’ai dû en écrire pas loin d’une vingtaine ! Certes, elles ne sont pas toutes satisfaisantes et je ne les publierais certainement pas toutes. Cependant, vous le verrez le jour où je publierai un nouveau recueil (surprise…), certaines valent largement le détour. En effet, elles permettent de sortir des sentiers battus et de surprendre le lecteur mais… Non, je ne vous en dirai pas plus !

Deuxième point : une nouvelle est un texte court, qui peut être facilement diffusé et permettre de se faire mieux connaître des lecteurs. Ce qui peut paraître essentiel quand on est indépendant. Comme je l’ai déjà évoqué plus haut, quand j’ai commencé dans l’auto-édition, c’était un choix. J’ai donc choisi de publier un recueil de nouvelles. Le but était de me familiariser avec le monde de l’édition, de voir comment on pouvait faire son auto-promotion et de voir les retours que je pouvais avoir autour de moi concernant mes écrits. Et je dois dire que les retours ont dans l’ensemble été positifs et c’est ce qui m’a permis de me construire un premier lectorat avant la sortie de “Double Face”, mon premier roman. Un lectorat qui m’a ensuite suivi et a plus ou moins été au rendez-vous, en juin dernier, pour al sortie de “Zoé”, mon second roman !

Par ailleurs, l’écriture et la publication d’une nouvelle peut coûter moins cher que la publication d’un roman. Au mois de septembre de l’année dernière, en 2019 donc, j’avais mis à disposition sur Amazon une nouvelle gratuite au format numérique, intitulée “Selfie”. A ce jour, elle a dépassé les 600 lecteurs. Ce qui est incroyable, c’est qu’elle est téléchargée au moins une à deux fois par jour, sans que je fasse une promotion trop tapageuse, plus d’un an après sa publication ! Le côté gratuit aidant, si les gens l’apprécient et sont curieux, cela va me permettre d’accroître mon lectorat. Attention, mes livres ne deviendront pas des best-sellers du jour au lendemain, mais peut-être que quelques lecteurs iront voir mes romans ou seront intéressés par le prochain livre que je publierai quand j’en ferai la promotion. L’essentiel, c’est d’avoir livré un texte de qualité, car la nouvelle ne doit pas être bâclée, au même titre qu’un roman.

Enfin, je terminerai mon article en défendant l’idée que la nouvelle permet de traiter de sujets sans les approfondir. Quand on écrit un roman, il y a toujours une phase de recherche à faire, quasiment dans tous les cas. Cette phase peut prendre du temps selon ce que l’on souhaite écrire. Quand on écrit une nouvelle, il peut y avoir de la recherche également, mais c’est une phase qui se retrouve raccourcie. Quand, comme moi, on s’éclate plus au moment de l’écriture à proprement parler de son texte, c’est un élément non négligeable.

Par ailleurs, la nouvelle permet également de ne pas se perdre dans la construction de personnages trop complexes. Là encore, quand il s’agit d’un roman, il y a tout un monde à construire. Dans la nouvelle, le monde à construire est plus restreint et moins approfondi.  Certains me diront alors que la nouvelle est faite pour les fainéants… Laissez-moi rire ! Vous avez déjà essayé d’écrire un texte plutôt court sans avoir envie de tout développer et de donner une vraie vie à vos personnages ? C’est moins facile qu’on pourrait le penser… Après, il y a un élément qui peut permettre d’aller plus loin dans la construction d’un univers tout en écrivant des nouvelles : écrire des suites ou des nouvelles en plusieurs volets. Je vais prendre deux exemples. Premièrement, si vous ne le savez pas encore, mon deuxième roman, “Zoé”, reprend les personnages et l’univers de la nouvelle “Le Don”, présente dans mon premier ouvrage. Deuxièmement, j’ai également écrit une suite à la nouvelle “De l’autre côté du miroir”, parue dans ce même livre. Nouvelle qui, je le sais déjà, sera publiée un jour ou l’autre dans un recueil. Tout cela pour vous prouver qu’une nouvelle n’est pas un univers fermé, qu’elle peut avoir des suites et vivre dans le temps…

Bref, pour conclure, j’espère qu’avec cet article je vais vous donner envie de lire des nouvelles, et pourquoi pas de découvrir les miennes ! Et si vous avez quelques minutes à perdre, peu d’argent et que vous voulez une nouvelle à lire pour découvrir le genre, n’hésitez pas à télécharger “Selfie”, qui est toujours gratuite et que vous trouverez en cliquant ICI.

Publié le Laisser un commentaire

DES AVENTURES HORS DU COMMUN : UNE RÉÉDITION ILLUSTRÉE EN NOMBRE LIMITÉ…

Ce jeudi 17 septembre, c’est mon anniversaire ! Mais ce n’est pas tout, parce que ça, je pense que vous vous en fichez pas mal… Non, l’autre information importante, elle est là : trois ans et quatre mois jour pour jour après la sortie de mon tout premier livre, j’en publie une réédition. Pourquoi ? Allez, suivez-moi, je vous dis tout !


Le 17 mai 2017, je me lançais dans l’auto-édition en publiant un recueil de trois nouvelles intitulé “Des Aventures Hors du Commun”. Ce jeudi, trois ans et quatre mois tout juste après la publication de ce recueil, j’ai décidé d’en sortir une réédition. Attention, il y a quelques éléments qui seront différents de la première version. Je vais vous expliquer lesquels, sachant que je n’ai pas travaillé seul sur ce projet. Par ailleurs, vous devez vous demander pourquoi j’ai décidé de publier une réédition du livre “Des Aventures Hors du Commun” en ce mois de septembre 2020, moins de trois mois seulement après la sortie de mon deuxième roman, “Zoé”. Eh bien, je vais m’empresser de tout vous expliquer et d’éclairer votre lanterne !

Tout d’abord, il y a une chose qui saute aux yeux quand on voit la réédition de ce premier livre : la couverture est différente. Si j’ai utilisé une image proche de celle de la couverture d’origine, j’ai également voulu la changer pour marquer la différence entre la première version du livre “Des Aventures Hors du Commun” et sa réédition. Et puis, cela m’a permis de bien mettre en avant le côté édition limitée, puisque je n’imprimerai que 20 exemplaires de cette nouvelle publication avant de l’enlever d’Amazon. En effet, je préfère vendre cette réédition lors des salons et séances de dédicaces que je pourrai faire à l’avenir pour bien expliquer aux gens qui aiment lire des nouvelles de quoi il s’agit. Enfin, travailler sur une nouvelle couverture (que j’ai réalisée moi-même pour la troisième fois depuis que je suis en auto-édition) m’a permis autre chose : mettre en avant ma collaboration avec une illustratrice, Emmanuelle Delouhans. Pourquoi ce choix ? D’une part parce que je trouvais intéressant d’ajouter trois illustrations aux trois nouvelles du livre “Des Aventures Hors du Commun”. Ensuite, parce que je connais le travail d’Emmanuelle depuis quelques mois, puisqu’elle fait partie – comme moi – de l’association des Plumes Indépendantes. Je dois vous avouer que j’ai tout de suite aimé ses illustrations, notamment quand elle a travaillé sur le recueil de nouvelle “Plumes d’hiver” publié en fin d’année dernière. Je souhaitais donc qu’Emmanuelle apporte une valeur ajoutée à la réédition de mon livre, et je dois dire que je suis pleinement satisfait par son travail ! Je vous invite d’ailleurs à bien observer les trois illustrations sur lesquelles elle a travaillé pour rendre ce recueil encore plus attractif. Je tiens notamment à la remercier pour sa gentillesse et son travail de qualité, même si cela a déjà été fait dans la sphère privée.

De plus, je dois vous expliquer pourquoi j’ai choisi de publier cette réédition du livre “Des Aventures Hors du Commun” en ce mois de septembre 2020, moins de trois mois après avoir sorti mon deuxième roman, “Zoé”. Si vous ne le savez pas encore, ce roman reprend l’univers de la première nouvelle du recueil “Des Aventures Hors du Commun”, que j’avais intitulée “Le Don”. Sans vouloir tout vous dévoiler, on y découvrait Zoé alors âgée de huit ans, qui devait apprendre à vivre avec un don particulier. Dans le roman qui porte son nom, nous suivons Zoé à l’adolescence et lors de l’entrée à l’âge adulte, à 18 ans. Elle va vivre des aventures palpitantes, que je vous invite à découvrir, ce roman étant toujours disponible au format papier et au format numérique. Voilà pourquoi je voulais rééditer mon tout premier ouvrage : parce que son univers et celui de mon dernier roman sont étroitement liés. C’est d’ailleurs après l’avoir sorti que j’ai pensé écrire une suite à la nouvelle “Le Don”, mettant en scène Zoé grandissant avec sa particularité et devant vivre avec malgré son lot de difficultés. Je ne vous en dis pas plus, et je vous laisse également découvrir (si vous ne les connaissez pas encore) les deux autres nouvelles qui composent ce livre. La deuxième s’intitule “De l’autre côté du miroir”, dans un style fantastique, alors que la dernière a pour titre “Les voisines”, et qu’il s’agit d’un thriller que je conseillerais à un public averti, au risque d’en faire quelques cauchemars…

Voilà, vous savez désormais pourquoi j’ai décidé de publier une réédition du livre “Des Aventures Hors du Commun” le jour de mon anniversaire, qui est forcément une date à part pour moi. J’ajouterai, pour être complet, que j’avais envie de continuer à faire vivre ce premier livre, puisque c’est grâce à cette publication que je me suis lancé dans l’autoédition, que je n’ai plus quittée depuis. Et en attendant quelques nouveaux projets sur lesquels je travaille déjà, rendez-vous avec Zoé, Diana et Jonathan, ainsi que Pierre pour vivre des aventures… hors du commun !

Publié le Laisser un commentaire

C’EST LA RENTRÉE : QU’EST-CE QUE JE VOUS PRÉPARE POUR CETTE FIN D’ANNÉE ?

Même si je n’ai pas vraiment eu de vacances cet été, ce mardi 1er septembre sonne tout de même comme une rentrée pour des millions d’élèves qui retrouvent les bancs de l’école ! Et dont je ne fais plus partie, bien heureusement… Je me suis donc dit que c’était une bonne occasion pour moi de faire le point, avec vous, sur ce qui nous attend d’ici fin décembre… Et je peux vous dire que le calendrier va être chargé !


En effet, pas besoin de vous le cacher plus longtemps : même si j’ai du mal à être activement présent sur les réseaux sociaux de manière régulière, je vous prépare des petites surprises pour cette fin d’année. Mais commençons par une annonce qui me réjouis et qui, je l’espère, va me permettre de relancer mon activité d’auteur, qui se retrouve en difficulté avec la crise sanitaire que nous subissons toutes et tous. Car je ne vais pas vous le cacher : il est difficile de vendre des livres depuis le confinement, vu que la plupart des salons du livre ont été annulés ! Mais c’est là qu’est la bonne nouvelle : j’ai une séance de dédicaces prévue pur la fin du mois de septembre. Elle se déroulera plus précisément le 26 septembre, au magasin Auchan de Villebon-sur-Yvette (91), près de chez moi… J’espère y rencontrer de nombreux lecteurs qui pourront s’intéresser à “Zoé”, mais aussi à mes autres livres. Et ce n’est pas tout, puisque je devrais faire un salon du livre dans la ville de Maisons-Alfort (94) au mois de novembre ou décembre, la date restant encore à définir. Et comptez sur moi : je vais essayer de trouver d’autres séances de dédicaces à faire dans des centres commerciaux, même si ce n’est pas évident avec ce fichu Coronavirus qui traîne encore dans les parages !

L’autre bonne nouvelle dont je voulais vous parler dans cet article est une petite surprise que je vous prépare depuis le début de l’année… En effet, le 17 septembre prochain – jour de mon anniversaire, soit dit en passant -, je publierai en édition très limité (une vingtaine d’exemplaires grand maximum) une réédition de mon tout premier livre ! Ainsi, “Des Aventures Hors du Commun” va subir un petit lifting en format papier, avec une nouvelle couverture et trois illustrations qui accompagneront les trois nouvelles qui composent ce recueil publié pour la première fois en mai 2017. La nouvelle couverture a été réalisée par mes soins, et les trois illustrations sont l’oeuvre d’Emmanuelle Delouhans, une de mes consœurs de l’association des Plumes Indépendantes. Je suis d’ailleurs ravi d’avoir travaillé avec elle et j’ai hâte de faire découvrir ses illustrations à un panel de lecteurs triés sur le volet ! Je ne sais pas si j’ai le droit de tout vous dévoiler tout de suite, mais sachez également que j’ai encore une fois écrit une nouvelle pour un recueil qui sera publié très bientôt par Les Plumes Indépendantes. Je vous en dirai plus dès que l’annone officielle aura été faite, alors je compte sur vous pour garder le secret… La seule chose que je peux vous dire, c’est que j’ai écrit une nouvelle dans un style complètement différent mais qui reprendra les personnages du roman “Zoé”

Enfin, une autre surprise arrivera en toute fin d’année, juste avant Noël, mais… Non, même si vous me soudoyiez, je ne dirais rien avant le mois de novembre ! Il faut tout de même que je vous laisse quelques surprises, sinon ce n’est pas drôle ! Cependant, sachez que, même si parfois je suis pris par le temps et que je n’arrive pas à être présent régulièrement sur les réseaux sociaux, je continue à travailler dans l’ombre. Même si parfois, surtout en cette période délicate, le courage et la motivation viennent à manquer, je ne lâcherai jamais cette passion pour l’écriture. Soyez donc rassurés : je vous prépare de nouvelles choses pour la fin de l’année, ainsi que pour 2021 ! Mais on reparlera de tout cela en temps voulu, je vous en ai assez dit pour aujourd’hui…

Publié le Un commentaire

QU’EST-CE QUE LE MIND MAPPING, ET EN QUOI CELA PEUT-IL AIDER UN AUTEUR ?

Il y a peu de temps, j’ai découvert le mind mapping, que je ne connaissais absolument pas avant. J’ai compris que cela pouvait être très utile dans mon travail d’auteur, et j’ai même commencé à utiliser ce procédé pour l’écriture d’une nouvelle. Je vous en parle justement dans cet article, après vous avoir expliqué ce qu’est le mind mapping…


Pour faire simple, le mind mapping est un outil pour synthétiser nos idées dans un schéma structuré. Composé de deux mots anglais, “mind” qui signifie “esprit, intelligence” et “map” qui veut dire “carte”, le mind mapping est en quelque sorte une carte des idées, ou encore un topogramme, qui s’articule de la façon suivante : au centre, une idée générale (souvent représentée par un mot, un dessin ou une photographie) ; et autour de cette idée générale, un ensemble de ramifications ou une arborescence qui se rattachent à l’idée maîtresse. Ainsi, le mind mapping est une carte mentale que l’on représente sur le papier.

Toutes les cartes crées par le procédé de mind mapping disposent ainsi d’éléments communs. Articulées autour d’un noyau central, elles mettent en œuvre des lignes, des symboles, des mots, des couleurs et des images illustrant des concepts simples et faciles à mémoriser. L’élaboration d’une mind map permet de transformer une longue liste d’idées, parfois rébarbative, en un schéma qui se voudra plus attrayant, parfois coloré, et hautement plus structuré. En somme, cela vous permettra d’organiser les idées qui s’entrechoquent dans votre cerveau.

Lorsque j’ai découvert le procédé de mind mapping, j’ai ensuite cherché les outils qui pourraient me permettre de l’utiliser. Il y en a bien sûr plusieurs, mais mon choix s’est arrêté sur un site gratuit que j’ai trouvé bien fait : MindMeister. Sur ce site, on peut facilement se créer une carte mentale, à partir d’une idée principale. Mais je reviendrai là-dessus dans quelques lignes, après avoir évoqué d’autres outils qui permettent d’utiliser le mind mapping. En effet, j’ai fait mon petit sondage via mon compte Twitter, et j’ai pu voir que plusieurs auteurs utilisent le mind mapping pour ordonner leurs idées avant de se lancer dans l’écriture d’un projet.

Par exemple, ma collègue des Plumes Indépendantes, Céline Spreux, a suivi une formation sur ce procédé, créée par Tony Buzan, qui a d’ailleurs également créé un logiciel : ImindMap. D’autres auteurs ont visiblement suivi des formations, et un logiciel est revenu plusieurs fois dans les réponses qui m’ont été données : Xmind. Ce logiciel est payant, mais il existe également une version gratuite. J’avoue que j’avais vu passer ce logiciel lors de mes recherches, mais le côté payant m’avait un peu refroidi. et le site MindMeister m’a ensuite paru bien fait et je ne regrette pas mon choix ! Notez enfin que parmi les auteurs qui m’ont répondu, certains sont également professeurs et utilisent cet outil dans leur métier, car cela leur permet d’organiser leurs idées… Cela prouve bien que c’est un bon outil !

Comme je l’ai expliqué auparavant, j’ai donc essayé d’utiliser le mind mapping pour l’écriture d’une nouvelle. Une fois que j’ai eu terminé tout ce que j’avais à préparer autour de la sortie de “Zoé”, mon roman paru le 22 juin dernier, je me suis remis à l’écriture avec une nouvelle (ceux qui me connaissent déjà un peu savent que j’aime en écrire de temps en temps, surtout entre deux romans). Cette nouvelle, qui ne portait qu’un numéro quand j’ai commencé à l’écrire (elle porte désormais un titre, que je ne dévoilerai pas ici…), nécessitait que je mette mes idées en ordre pour ne pas m’y perdre. En effet, il s’agissait pour moi de construire un univers autour d’un personnage principal, avec des objets le ramenant à son enfance une trentaine d’années auparavant. De plus, je voulais vraiment construire son historie, avec un élément qui va changer sa vie et le mener dans des noirceurs insoupçonnées. Bref, vous l’aurez compris, le mind mapping est venu à ma rescousse !

J’ai donc créé ma première carte mentale sur MindMeister, et j’avoue que je m’en suis servi à chaque session d’écriture pour cette nouvelle. J’ai construit un plan grâce au mind mapping, puis j’ai noté pas mal d’éléments autour du personnage principal et de son univers que j’aurais pu oublier sans avoir recours à ce procédé. Mon retour d’expérience est donc très positif, et je compte bien continuer à utiliser le mind mapping pour tous les textes que j’écrirai à l’avenir, que ce soient des nouvelles, des novellas ou même des romans.

En conclusion, je ne peux que vous encourager à vous intéresser au procédé de mind mapping si ce n’est déjà fait. Il vous permettra d’ordonner vos idées, de ne rien oublier en route et je pense, même si je n’ai pas encore poussé l’expérience jusque-là, qu’il facilite le travail de relecture et de correction quand on retravaille son manuscrit.

Vous désirez en savoir plus sur mon nouveau roman, “Zoé”, disponible en format numérique et en broché depuis le 22 juin dernier ? Rendez-vous ICI