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POURQUOI MES COLLÈGUES NE SAVENT PAS QUE JE SUIS ÉCRIVAIN ?

Salut à toi, Fidèle Lecteur ! Aujourd’hui, je voulais mettre en lien mon activité en tant qu’auteur indépendant avec mon autre emploi, salarié, qui me permet de remplir le frigo… Car non, je ne vis pas encore de la vente de mes livres et je dois travailler à côté de cette activité ! Et tu sais quoi ? La plupart de mes collègues ne savent même pas que je suis écrivain. Étonnant, n’est-ce pas ?


1/ Je travaille en CDI à 35h pour une grande enseigne de sport

Si tu me suis depuis quelques temps déjà, tu n’es pas sans savoir que j’ai un emploi salarié à côté de mon activité d’auteur indépendant. Je te l’apprends peut-être, ceci dit : je travaille pour la plus grande enseigne de sport en France, celle-là même où tu vas très certainement t’équiper et équiper tes enfants lors de la rentrée ! Mais là n’est pas le propos… Si j’évoque mon emploi salarié, c’est avant tout pour te parler de mes collègues et du lien avec mon activité d’auteur indépendant. Depuis que je publie des livres en auto-édition, certains savent que j’écris des livres, d’autres n’en ont aucune idée. D’autant plus qu’il y a deux ans, j’ai changé de magasin, passant de la région parisienne à Bordeaux, ma ville d’enfance et de cœur. Mais pourquoi je te parle de tout cela aujourd’hui ?

2/ Comment ai-je fait connaître mon métier d’écrivain à mes collègues ?

Si j’évoque ce sujet, c’est parce que cette année, quand j’ai publié le roman « Les Anonymes », certains de mes collègues ont appris à ce moment-là que j’étais écrivain. Ils se sont mis à m’en parler, ce qui m’a amené à mettre mon roman en libre service dans la salle de pause… Pourquoi ai-je agi de la sorte ? Je me suis rendu compte que je suis très pudique et que j’ose rarement parler de cette activité autour de moi. Ce qui est un tort, quand on sait combien il est difficile de faire connaître ses livres quand on est indépendant ! Mais bon, un de mes collègues a pris le roman en libre service et l’a lu, s’inscrivant ensuite à ma newsletter et achetant mon tout premier livre. Mais il a fallu qu’il vienne vers moi pour qu’on parle de mon métier d’écrivain.

3/ Il faut que je m’affirme plus et que j’ose parler de mon métier d’écrivain

Cette expérience de vie m’a ensuite fait penser à une autre collègue, qui a travaillé chez nous pour la saison estivale. Au détour d’une discussion, pendant la pause repas, elle aussi s’est mise à me parler de mes livres, de l’écriture etc… Alors que je n’avais jamais évoqué le sujet avec elle ! Ce qui doit vouloir dire que mes collègues parlent de mon activité indépendante entre eux, alors que j’ose moi-même à peine affirmer que je suis auteur. Quelle bêtise… En bref, j’aimerais m’affirmer un peu plus, car je ne sais que trop bien qu’il faut en passer par là pour faire découvrir mes écrits au plus grand nombre. Même si mes Fidèles Lecteurs, ceux qui sont inscrits à ma newsletter, m’aident déjà beaucoup… Mais si je ne m’aide pas moi-même, jamais je n’y arriverai ! Qu’en penses-tu ?


Tu en sais désormais plus sur mon activité d’auteur indépendant, mon rapport avec mes collègues et surtout le fait que j’ai un emploi qui me permet de gagner ma vie. Si cet article te fait réagir, je t’encourage à me laisser un commentaire ou tu peux aussi m’envoyer un petit mail à ygiammona@hotmail.fr ! Le moindre petit mot de sympathie peut faire le plus grand bien, tu ne t’en rends pas compte… Quant à moi, je te laisse là-dessus et te dis à bientôt pour évoquer mon quotidien d’écrivain.

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